Les jours étaient passer. Après le dîners entre les députés à Strasbourg nous étions moi et Gabriel rentrés sur Paris.
Je travaillais très dure, l'approche des résultats pour les européens arrivaoent à une allure folle et c'était très compliquer pour Gabriel qui subissait beaucoup de pression.
De mon côté, j'avais retrouver Jeanne. Elle ne me lachait pas, me donner beaucoup de paperasse et ce venter au prêt de ses collègues que je ne lui arriverais pas à la cheville quand elle partirait à la retraite. Heureusement que Gabriel me soutenait même si c'était compliquer.
Chez moi, ma mère était encore pire que d'habitude. Elle organisait cette réception là veille des résultats. Elle avait beaucoup de pression et elle voulait s'assurer que je serais le parfait petit soldat. Ce qui me rassurait c'est qu'elle ne pouvait pas m'attaquer trop du fait que mon père était rentrer. Même s'il ne voyait rien, elle devait être la parfaite mère aimante devant lui.
La femme et la fille parfaite disait mon père.
Thomas et moi parlions souvent au téléphone pour mettre en accord les réunions entre nos patrons respectifs. Il me donnait des astuces et chercher toujours à qu'on se voit. Je refusais systématiquement car j'étais dans une période bien trop compliquer et la surveillance de ma mère était bien trop élever. Elle ne me laissait même pas voir Sana en dehors du travail même si vous vous en doutez.
Sana escaladrait ma fenêtre même si il y aurait des épines le long de mon mur. Elle m'avait aidée à chercher l'identité de l'appel mais encore une fois un échec, numéro pas attribuer. Seulement la localisation de l'appel. C'était dans le château où nous étions.
La personne n'était donc pas si loin de moi et avait dû mobserver.
Et puis il y a Jordan, rien, pas un message. Depuis le dîner où je l'avais observer de loin, je n'avais plus aucune nouvelle. J'étais contente d'un côté car ça me permettait de rester concentré sur ma fonction et les taches que j'avais à faire. Mais à la fois j'étais triste. Une part de moi voulais le voir.
Peut être était il trop pris par la campagne. Peut-être n'avais je été qu'un jeu pour lui. Et pourtant une part de moi voulait lui envoyer ce message.
《 viens tu a la soirée de ma famille ?》
Je supprime directement le message. Quelle question idiote, il se doute que je sais qu'il sera présent. Ma famille gèrent la liste des invités.
Je souffle en lâchant mon téléphone à côté de moi. J'étais épuisée par ses jours de travail, les remarques de ma mère en rentrant n'arrangent rien. J'étais épuisée.
Je ferme les yeux, et repense aux yeux de Jordan sur moi. La proximité de nos lèvres et je souris.
- Iris ?
Jouvre soudain les yeux en me redressant de mon lit. Ma mère était à ma porte, les bras croisés. Je savais que cela ne signifie rien de bon.
- Ton père t'attend en bas.
Je hausse un sourcil, mon père voulait me voir ? Lui qui ne me remarquait que très peu.
Je descends les escaliers suivi de ma mère.
Mon père était sur le balcon de notre appartement. Il fumait une cigarette, scrutant les rues de Paris.
J'entre ouvre la porte fenêtre.
- tu voulais me voir père ?
- viens Iris. Referme la porte derrière toi.
Je referme la porte fenêtre et sentit le regard de ma mère froncer les sourcils en tournant les talons.
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Secret Politique
FanfictionIris Maréchal, venant d'une grande famille influente au sein de la politique se retrouve secrétaire du Premier Ministre et intègre le Parti Présidentiel. Pourtant, un homme la tourmente depuis ses débuts, et malheureusement il est l'ennemi numéro...