Je m'étais réveiller ce matin avec le sourire au lèvres. Cela faisait plusieurs jours que je n'avais pas revu Jordan. Seulement quelque message mais nous étions si occupée mutuellement que je n'avais pas eu le temps de le voir.
Lorsque je sortis de ma chambre, mon père et ma mère discutaient dans le salon, ils avaient l'air agacée surtout ma mère.
- C'est ridicule, comment osent-ils écrire de la sorte sur notre famille.
Je m'approche de l'article qu'elle tenait dans les mains. C'était une photo de moi "la jeune héritière doit payer pour avoir un titre de secrétaire."
Je hausse un sourcil, cela semblait futile mais ce genre de chose avait le don d'énerver ma mère. Je pris l'article continuant à le lire.
Si la famille Maréchal est prêt à payer pour que sa fille est une place dans le parti présidentielle, cela signifie qu'elle n'a pas sa place.
C'était ridicule, mais j'étais surprise que je sois citer dans un article. En général la presse évite de me mettre au sein de leurs sujets par crainte de ma famille.
- je devrais appeler Pascal, il sera quoi faire.
Dit ma mère énerver. Je soupire et attrape mon sac dans l'entrée. Mon père lève alors la tête de son article et me regarde.
- Ou vas tu ?
- je vais travailler, nous avons un débat d'ici 2jours avec Monsieur le Premier Ministre.
Mon père me sourit et ma mère me dévisager dans son coin.
- A plus tard.
Je sortis de l'appartement. Une fois à l'extérieur marchant dans les rues de Paris. La fraîcheur de la brise du matin me faisait du bien, je regarde ma montre. J'étais en avance. J'avais menti, bien sûr j'allais travailler mais je rejoignais d'abord quelqu'un avant.
Arrivant devant ce petit parc, je pris place sur ce banc en souriant, j'avais hâte de la retrouver. Et soudain je la vu , accourir vers moi le sourire au lèvre.
- Sana !
- Iris !
Elle me sauta dans les bras, et nous rions ensemble. Nous n'avions pas eu le temps de nous voir et j'avais besoin de lui parler.
Nous pris place sur le banc, elle me racontait ses dernières semaines, elle avait rencontré un garçon très charmant à son travail et elle pensait que ça pouvait devenir sérieux. Ses parents étaient toujours au États-Unis pour affaire et son travail se passait à merveilleux.
- Et toi Iris ?
Je la regarde en souriant
- Je n'ai pas eu de nouvelle de la personne au appel depuis au moins 1 mois, peut être qu'il a abandonner.
Elle me regarde inquiète en prenant ma main.
- je suis désolé j'aurai aimer le retrouver mais c'était trop compliquer, j'ai fais mon maximum. Dans tous les cas il ne pourra rien faire tant que j'existe !
Je lui souris en riant. Je me sentais bien, j'avais l'impression que ma vie reprenait sens depuis plusieurs semaines. J'étais enfin heureuse du moins j'avais l'impression. Sana me fixe puis souris.
- tu es lumineuse, et je ne pense pas que c'est ton travail qui te rend comme ça, dit moi, tu as rencontrer quelqu'un pas vrai ?
Je me stoppe d'un coup, et la fixe les joues commencant à rougir. C'était si évident et en même temps elle me connaît si bien, mais comment lui dire que l'homme est l'ennemi de ma famille.
VOUS LISEZ
Secret Politique
FanfictionIris Maréchal, venant d'une grande famille influente au sein de la politique se retrouve secrétaire du Premier Ministre et intègre le Parti Présidentiel. Pourtant, un homme la tourmente depuis ses débuts, et malheureusement il est l'ennemi numéro...