XXIV

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Deux jours plus tard.

Ada :

Je rangea mes deux valises dans le coffre de la voiture.

Nous avons décidés de prendre qu'une voiture vue que Kaïs prend sa moto.

- Tu fais attention sur la route mon amour. Murmura Sofia à son fils en le prenant dans ses bras.

- Oui promis maman, je t'aime.

- Je t'aime aussi mi figlio.

Le voir autant attentionné avec sa mère me donna des petits frissons dans le ventre.

- Bon aller en route tout le monde !

Leonardo s'assît au volant, Sofia à côté de son mari et ma mère et moi, derrière.

J'aperçus Kaïs monter sur sa moto et enfiler son casque.

Depuis la dernière fois dans la salle de bain, nous nous sommes littéralement ignorés.

La voiture démarra quand j'attacha ma ceinture.

Je mis mes écouteurs dans mes oreilles et lança Les de Childish Gambino.

Je posa ma tête sur la fenêtre en regardant le paysage, puis ferma les yeux pour me reposer un peu.

Je rouvris les yeux en entendant un bruit de moteur proche de la voiture et aperçus Kaïs, son teeshirt relevé a cause du vent qui permettait à tout le monde d'admirer sa musculature impressionnante.

Il tourna sa tête vers moi, releva sa visière pour mieux me regarder et me lança un clin d'œil en relevant un peu plus son haut.

Puis il passa devant nous à une vitesse hallucinante.

Est-ce normal d'être autant sexy ?

Après avoir reprit correctement mon souffle, je reposa ma tête sur la vitre et tomba directement dans les bras de Morphée.

Une heure plus tard

Je me réveilla en sursaut, remplie de sueur après un nouveau cauchemar.

Après mettre lentement calmée, je regarda autour de moi pour voir si quelqu'un m'avait vue, mais quand je remarqua que tout le monde était occupé à faire quelque chose, je soupira de soulagement.

- Maman ?

Elle tourna sa tête vers moi en hochant la tête.

- On pars où en faite ?

- Ah oui c'est vrai, on pars en Grèce !

En Europe ?

- QUOI ? Trop bien !

J'ai toujours rêvée d'aller en Europe, mon père partait souvent la bas pour son travail et il me ramenait toujours des petits cadeaux.

En voyant mon excitation, ma mère rigola doucement en secouant la tête.

- Mais attend, on doit prendre l'avion non ?

Mon seul remèdeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant