Taehyung vient d'une famille riche et traditionaliste, où les valeurs, la culture et les normes sont d'une importance capitale. Ses journées sont rigoureusement organisées, chronométrées à la minute près.
Si ce mode de vie ne l'avait pas dérangé plu...
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
« L'amour engendre les sacrifices »
- Pain
* *
⚠️ Ce genre de chapitre j'aime les poster et disparaître pendant deux/trois jours 🤧
PDV Extérieur
« Très bien, expliquez-moi parce que je n'y connais rien »
Taehyung avait effectué sa prière, il était remonté se changer. Il portait désormais un ensemble confortable.
« Quoi tu ne connais pas action/vérité? », Hoseok demande
Après une longue session d'initiation aux jeux vidéos, le petit groupe a décidé de changer d'activité.
Taehyung et Yoongi ont pris un moment pour jouer au piano sous le regard admiratif de leurs amis puis Jimin a remis son idée de départ sur le tapis.
« Monsieur, Adeline vous fait monter le repas? »
La commande vocale s'active et ils peuvent voir un petit écran incrusté sur le mur s'allumer automatiquement.
On y distingue parfaitement l'employé qui s'adresse au plus jeune mais lui ne peut pas les voir.
« Joshua, il faudra dresser sept couverts et prévoir des quantités plus consistantes. Le menu s'il vous plaît ?»
« En entrée des tomates cerises et de la mozzarella, puis des penne au fromage et blanc de poulet, en dessert un cake citron et graines de pavot », cette fois c'est Adeline qui répond
Taehyung regarde ses amis qui ne cachent pas leur joie.
« Personne n'a d'allergies ça vous va? »
Ils acquiescent tous.
« Monsieur? »
« Je vous écoute »
« Je sollicite une heure de plus pour préparer une plus grande quantité. Je m'en excuse, je ne savais pas que vous étiez accompagné »
« Cela convient Adeline, ne stressez pas pour ça »
Les employés adoraient leur petit patron, il était moins rigide que la gouvernante de la maison à qui Insoon laissait les rênes de la maison trop souvent.
« Bien, merci monsieur »
La communication se coupe. Tout le monde le regardait encore avec cette même fascination.
