Taehyung vient d'une famille riche et traditionaliste, où les valeurs, la culture et les normes sont d'une importance capitale. Ses journées sont rigoureusement organisées, chronométrées à la minute près.
Si ce mode de vie ne l'avait pas dérangé plu...
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
🎧🔞 I feel like I'm Drowning - Two feet Earned it - The Weeknd I see red - Everybody loves an Outlaw Streets - Doja Cat House of cards - BTS Shut up and listen - Nicholas Bonnin, Angelicca
**
PDV Taehyung
La porte s'ouvre. Ma vision se floute, je lutte contre l'excitation.
J'ai besoin de me concentrer. J'ai besoin de me familiariser avec ce qui fait son plaisir.
Alors j'oublie ma timidité et je laisse l'audace, le courage, le désir prendre le dessus.
Il ne dit rien. Ses pas sont lents. Calculés. Précis.
Il me regarde le temps d'une seconde avant de poser sa serviette sur le dossier de sa chaise de bureau.
Il porte un caleçon près du corps qui laisse transparaître la bosse de son sexe encore endormi.
Ce n'est pas mon cas. Et je n'ai pas honte de l'avouer. Il en est la cause.
Je n'arrête pas d'y penser et je ne parviens pas à redescendre.
Il appuie sur une touche.
Le reflet sur la plaque de verre électrique incrustée dans son mur, passe de l'orange au rouge.
Un rouge foncé.
Un rouge passion.
Un rouge sombre qui exprime l'indécence qui est sur le point d'imbiber cette pièce fermée.
J'ai chaud.
Et il me fait attendre.
C'est volontaire.
Je le regarde faire des tours dans la chambre, sa concentration est sur son téléphone.
« Dis Siri, active la playlist spéciale »
Je le dévisage. La commande vocale obéit et la musique me transporte de nouveau, j'ai l'impression que les vibrations s'accordent à l'atmosphère lourde qui plane depuis le début de la soirée.
Il me rejoint sur le lit. Il s'allonge à côté de moi et me fixe.
C'est dangereux.
Même pour moi, surtout pour moi.
« Jungkook? »
« Hum? »
Seulement vêtus de sous-vêtements, face à face dans une pièce à peine éclairée, nous nous fixons.
On se regarde comme si on avait chacun le monde de l'autre en face de soi.
Je caresse la partie de son visage qui n'est pas cachée dans son oreiller.