Chapitre vingt-et-unième

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Soudain, leurs armes que Liria n'avait pas remarquer se retrouvèrent pointées sur eux.

- Vous avez osé amener une humaine sur le territoire des vampires ?! Rage le second garde.

- Quoi ?! Non ! Se défend Zack.

Liria aurait presque envie celui rire à la figure.

- Ce n'est rien, continu-t-il, elle a juste dérapé ce... c'est une vampire ! De toute façon il faut qu'on aille voir le représentant !

- Oh ne vous inquiétez, pas vous allez le voir, annonce l'un des deux gardes.

Il fait signe à deux autres de leur congénères -que personne n'avait remarqués- et ces deux même firent prisonniers les jumeaux. Quant à Liria, le plus colossal des deux nouveaux gardes la regarda en souriant.

- Je présume que tant que tes copains sont attachés, tu vas nous suivre ?

Jamais elle ne les définirait comme ses "copains".

D'un autre côté, elle pourrait profiter de sa liberté pour fuir... Quoi que : elle serait rattrapée et finirait le cou briser en moins de deux.

Tant pis. Elle soupire et emboîte le pas au garde qui ne prête même pas attention à elle, pauvre humaine qu'elle est pour les vampires.

Le chemin s'est fait sans encombres, sans riposte. Elle regretterait presque de ne pas entendre les jumeaux parler ou même lui faire des reproches. Elle soupira une seconde fois. Ou plutôt elle soupira une demi seconde : ils se trouvaient devant un bâtiment marron, haut de trois bon étages et vraiment imposant.

- Nous y voilà, déclare le garde.

Dans une ruelle sombre. Ils sont dans une simple ruelle sombre et caverneuse, dépourvue de maisons ou d'habitats. D'un autre côté, s'il s'agit de la maison du représentant s'est beaucoup mieux : beaucoup de vampires doivent convoiter sa place, et dans un endroit pareil, même un vampire aurait les jetons de s'aventurer. Pour être plus claire, c'est le genre d'endroit où traînent les "fauteurs de troubles", les personne qui aiment persécuter les autres passants en leur posant des questions inappropriées.

- Entrez.

Les deux garçons -n'ayant pas vraiment le choix- rentrent en mode ralenti, comme s'ils voulaient retarder le plus le moment qui leur sera fatal. Mais imaginez celui de Liria, humaine ! À coups sûrs sa sanction sera la mort inévitable...

- Toi aussi l'humaine ! Tu n'es pas exclue d'entrer dans un bâtiment vampirique à ce que je sache.

Liria avait à peine remarquer qu'elle était encore sur le pas de la porte, à regarder Zack et Aiden les yeux globuleux.

Elle repensa à sa tentative d'évasion, mais maintenant c'est trop risquer : le garde se mettrait à sa recherche, les jumeaux aussi -ils ne laisseraient pas leur proie leur échapper- et bien évidemment, le représentant serait aussi de la partie!

C'est d'un pas hésitant qu'elle franchi la porte et examine le grand hall qui se présente à elle.

Un plafond bombé avec des reliures en or, des murs aux tapisseries anciennes,de même que les chaises et la table qui pourrait accueillir une trentaine de personnes.

Ils empruntèrent un escalier de bois en colimaçon que Liria avait remarqué tout à l'heure, et qui était découvert sur une immense bibliothèque qui faisait la longueur du hall.

Le couloir, quant a lui, tout tapissé de marron. Marron foncé, Martin clair et même rarement beige. Exemple, comme la porte devant laquelle ils s'arrêtent tous.

Ce que Liria ne comprend pas, c'est que les rues et les couloirs sont totalement désert ici... Enfin, on ne va pas se poser de question !

Le garde frappe à là porte et rentre instinctivement. Assis à un bureau en face à l'autre bout de la pièce, un homme à la quarantaine, les cheveux blanc, ne se retourne que lorsque les "prisonniers" ne fasse l'écho du bruit de leurs chaussures qui claquent sur le sol de marbre procurant bien leurs reflets.

- Tient tien, Elmund ! Encore de nouveaux prisonniers ? Et avec une humaine en plus ! Dis l'homme amusé en allant s'asseoir à la table la plus proche des trois autres disposées près des colonnes dorées.

Liria déglutit. Aiden et Zack restent calmes.

- Je te pris, détache ces messieurs et tu pourras repartir.

Le dénommé Elmund exécute l'ordre et se congédie sans même saluer l'homme. Qui ce dernier demanda aux trois adolescents de prendre place près de lui.

- Alors, jeunes gens, dit-il en dévisageant les deux frères. Les jumeaux Santos. Ça faisait un bon bout de temps qu'on ne vous avez plus vu. Et vous revenez maintenant, mais en plus de ça en enfreignant la plus importante de nos trois règles, dit-il en pointant du doigt Liria. Après tout, on a eu l'habitude avec vous. Vous les Santos avez tous fait une grosse erreur. Même encore maintenant. Et même si votre frère Louis à toujours été un saint d'esprit, il fera tôt ou tard sa bêtise. Et croyez-moi, elle ne sera pas de moindres.

Blablatage, blablatage et encore blablatage...! Il ne lui arrive jamais de souffler un peu et d'arrêter de faire des sermons ? Car il a un entête à en faire à vu d'oeil. Pourtant aucun très trois n'a encore donner sa propre version des faits. Justement, nous y voilà :

- J'aimerais savoir, Aiden Santos, pourquoi avoir mener une humaine au saint de votre pays natal ?

Aiden répond sans tarder.

- J'aurais aimer pouvoir l'éduquer comme nous, les vampires.

- Hum... et toi Zack ?

Cet homme pose des questions tel.un psychologue à son patient !

- Pour la même raison que mon frère.

- Jamais je ne me souviens vous avoir vu complice avant ça dit donc ! Dit le représentant avec amusement. S vous le voulez bien, j'aimerais poser la question à cette... fille.

Il lui fit un signe du menton pour l'indiquer à commencer son récit, mais elle se demande quoi faire. Après tout, eux, ils ne lui ont pas cacher la vérité. Alors pourquoi elle le ferait ?

- Je... je leur ai désobéi alors pour me "punir" ils ont employer la force et ont voulu m'amener ici afin de... m'éduquer comme les vampires...

L'homme hoche la tête en signe de compréhension, puis il souffle montrant que la situation paraît plus coriace qu'elle en a l'air.

- Très bien. Je ne vais pas tourner autour du pot. Je vous épargne votre sentence à tous les trois seulement à une condition : que l'humaine reste ici, avec mon fils Eléos, ma fille Nina et moi même.

Aiden haïssable les sourcils, et Zack regarde Liria.

"Ils ne vont quand même pas accepter ?!"

- Pour combien de temps ? Questionne Aiden.

Le représentant souri. Un sourire sadique.

- Le temps qu'elle ait bien souffer de son sort, et qu'elle n'en puisse tellement plus qu'elle seffondrera sur sol en suppliant la mort de venir lui arracher la vie.

***

Bisous :-*

Kidnappée par un vampireOù les histoires vivent. Découvrez maintenant