Kidnappée par un vampire

Chapitre vingt-quatrième

Dès que Liria eu entendu que Cade voulais tuer Tôka en plus de Kaneki, ses forces sont revenues et elles était déjà dressée sur le lit à défendre Tôka.

- Laissez la en vie ! Elle ne m'a rien fait !

Sur le coup, elle s'est sentie un peu bête d'hurler comme telle. Mais quand elle a vu comment Nate, Will et Cade regardaient Tôka et Kaneki, elle s'est sentie rassurée. Aiden recula ses trois frères de la jeune fille aux cheveux violets, et fusilla Kaneki du regard.

- Alors, à toi de voir. Que fais-tu ? Tu nous laisse nous échapper, ou also on sera obligés de te tuer.

Kaneki prend un air faussement frustré, et déclare :

- Très bien. Vous voulez partir ? Soit. De toute façon, q'aurais-je pu faire de vous tous ? Je suis conscient - à mon plus grand regret- que si nous venions à nous battre vous gagneriez en quelques secondes.

Cette fois, c'est tous ensembles qu'ils devisagent Kaneki et sa décision. Apparemment, aucun d'entre eux, pas même Tôka, ne s'attendaient à avoir cette réponse de la part du garçon.

Comme lui aussi voit que personne ne le crois, il leve les bras au ciel innocentement.

- Je vous jure. Je peux même vous accompagner à la sortie si vous voulez.

Aiden, une arme blanche tantôt cachée à la main, fait signe à Kaneki d'avancer devant eux, et aide Liria à se relever avant de s'engager dans le grand escalier.

A force et au bout de deux jours, Liria savait pertinemment ou aller pour trouver la sortie. Par ailleurs, si Kaneki tentait de les berner, elle et Tôka saurait le dire. Pourtant, aussi étonnant que cela puisse paraître, il les amena à la grande porte de sortie.

Sur le chemin, Cade, qui lui aussi avait apporter une arme, s'était fait un plaisir de "jouer" avec Kaneki.

On aurait dit qu'il avait peur de l'arme. Pourtant, un vampire ne peut être tué que par un coup fatal fraternel... Ou alors, sans doute joue-t-il lui aussi.

Un fois dehors, la nuit dominante et pas un chat, tout le monde s'éparpilla devant. Liria inspira une grande bouffée d'air, qu'elle pensé fragment empoisonné... mais qui ne l'est pas.

Aiden tente de lui prendre la main mais elle retire la sienne. Alors il tente ne deuxième approche, sauf que cette fois, ce n'est pas Liria qui l'en empêche, mais le bruit d'une cloche semblable à celle qui sonne la fin ou le début d'un cour au lycée.

- L'enflure ! Grogne Aiden, il a déclencher l'alarme !

En effet, cette cloche est une alarme. Et elle retenti très fortement ! Les vampires se tiennent la tête entre les mans tellement le bruit leur est assourdissant, de même que Liria.

Cependant, ils font face à la douleur et se concentrer sur Aiden qui donne les ordres :

- Allez tous vous éparpiller sur le territoire, ne vous faites pas attraper mais attrapez cette ordure et amenez-la moi !

Tous acquiescèrent et s'en vont sauf Tôka, qu'Aiden interpelle.

- Tu es de notre côté ?

Elle regarde Liria et fini par hocher la tête.

- Alors prend Liria avec toi, et restez ensemble. Je me charge d'essayer de retrouver ton frère.

Sans ajouter un mot, il court à vitesse vampirique quelque part d'inconnu. Tôka prend Liria par le bras et fait de même mais à vitesse normale.

Tout en restant cachées, les filles parviennent à voir des troupes de garde armés jusqu'aux os (sûrement des armes permettant de blesser et non de tuer un vampire).

- Reste cachée ici, je reviens.

- Tôka ! Ou vas-tu ?

- Je vais vérifier qu'il n'y a personne sur notre chemin. Tu ne bouges pas.

Autant obéir. Liria admire Tôka qui part d'une façon très minutieuse. On pourrait presque croire qu'il.s'agit d'un chat. Tout y es : la délicatesse, la discrétion et la classe.

Une fois Tôka hors de portée de vue, Liria s'enfonce dans la plus obscure partie du mur, pensant être bien cachée.

Un coup de feu retenti et des cris font sursauter Liria son cœur ne s'arrête pas de battre la chamade. Son nez bouché l'empêche de respirer correctement, puis d'un coup, elle n'y parvint plus du tout. Ses pieds se lèvent de terre et elle bat l'air de ses mains qui finiront bientôt en train d'essayer d'arracher la peau de celui ou celle qui la retient.

"Tôka... ou es-tu...?"

Elle sent sa tête devenir rouge et compresser du fait de sa mal respiration et son cœur s'emballe de peur. Si seulement cette fois elle pouvait tomber dans les pommes.

On l'amène dans une pièce bien éclairée malgré qu'elle y voit flou, et on l'assoie lourdement sur ne chaise de bois et on l'attache. Une fois que l'agresseur eut enlever sa main de la bouche de la prisonnière, Liria se mit à suffoquer et à avaler l'air pour respirer.

Dès qu'elle eut enchanté repris ses esprits, elle remarqua qu'il n'y avait personne avec elle et l'autre personne, alors elle se dit :

"Autant jouer la carte rebelle."

- Je vous prévient, commence-t-elle menaçante, que si vous ne me...

Lorsque l'inconnu se posta face à elle, et resta bouche bée.

- Louis ?!