La chambre 114

391 13 1
                                    

Avertissement: Cette histoire est un fait réel. Les personnes de cette histoire ne seront pas nommées vu le fait traumatisant qu'elles ont vécu en découvrant la scène.

Dans un internat anglais près de Manchester, les étudiants se préparent à rentrer chez eux ou à passer noël à la résidence. Tout le monde était joyeux et attendait noël avec impatience. Les habitudes ne changeaient pas avec les cours en moins.
Les "grands" organisaient des activités pour les plus jeunes ou faisaient des randonnées dans le parc de l'internat. Le soir, des veillées était accoutumées aux vacances et plus particulièrement aux vacances de noël. Mais même si les vacances de noël étaient faites de gaité et de joies, certaines personnes n'étaient pas gentille avec tout le monde et même plus particulièrement avec une personne.
Un garçon chétif petit de taille craintif et surtout très naïf. Personne ne mérite ça et encore moins pendant les vacances les plus belles de l'année. Presque tout le monde ce moquait de lui à cause de sa couleur de cheveux et de ses lunettes. Le pauvre garçon était roux et portait des lunettes roses que lui avaient choisi ses parents à cause du prix, mas ces lunettes ne lui servaient plus à grand chose puisque il n'y voyait plus rien depuis très longtemps. Les surveillants étant les préfets de chaque maison (les écoles anglaises sont divisées en plusieurs maisons) donc étant aussi des élèves ils ne bougeaient pas quand ils avaient des ennuies. Le garçon est en perpétuel stress et accumule des troubles obsessionnels compulsifs qui ne l'avantagent pas plus que son apparence. Le plus étrange dans sont comportement est qu'il se parle lorsqu'il est dans un coin, puis roule de l'œil pour être attaqué par une crise d'épilepsie (perte de connaissance avec contraction frénétique des muscles du corps comme si on était procédé par un être inhumain (ce qui n'est pas possible, cette histoire est réelle je vous le rappelle)). Après la crise, il partait se coucher et on l'entendait hurler à la mort dans son sommeil comme si on l'égorgait vif. Imaginez vous dans votre sommeil qu'une main vienne vous prendre une épaule et une lame froide qui se glisse dans votre gorge lentement pour vous faire voir la mort arriver pas à pas et vous envelopper.
Cet enfant, enfin, cet adolescent vivait ça dans son sommeil sans pouvoir se réveiller en vivant cet horreur seconde par seconde chaque nuit. Beaucoup de personnes deviendrait vite fou. Ce garçon n'a presque plus de cœur ni de pitié pour ses camarades, il devenait froid hostile même envers les quelques professeurs qui étaient restés. Noël approchait et le garçon ne se montrait plus beaucoup, il restait enfermé dans sa chambre qui, même si c'était un petit dortoir, resté souvent vide et sans activité. Le soir il sortait du dortoir et allait à la cuisine, puis revenait. Ses camarades de chambre eux ce moquaient encore plus du garçon, les remarques étaient de plus en plus blessante et le garçon lui devenait un glacier plus rien ne pourrait réchauffer son cœur. Enfin arriva le 24 décembre tout le monde était à la fête au préparatif sauf le garçon mais contrairement à d'habitude il se promenait dans les cuisines fasciné par les ustensiles argentés. Les lames aiguisées comme des rasoirs, pendant au dessus du plan de travail ce balançaient doucement avec les petits courants d'air qui venaient par ci par là et les faisaient entrechoquer les lames qui émettaient de petit titillements. Puis, tout d'un coup le plus long couteau sortit de son crochet et fendit pour se planter dans le plan avec un bruit net sec et précis. Le garçon resta les yeux fixés sur la lame. Puis une voix se fit entendre de l'autre côté de la cuisine. C'était le cuisinier, mais le garçon s'enfuit. Le cuisinier était arrivé de bonne heure pour préparer le repas de noël, les dindes étaient arrivées il fallait les farcir et les faire cuir ce qui prend beaucoup de temps. On ne revit plus le garçon de l'après midi. Le repas arrivât et les enfants se réunirent à table. L'enfant ce retrouvât au bout de la table comme d'habitude mais les autres autour de lui ne s'arrêtèrent pas de se moquer de lui, de le charrier. Ils étaient vraiment cruels avec lui, ne lui laissant jamais profiter de la gaité du repas. Le garçon ne prit même pas de la bûche de noël il était parti en courant dans le dortoir tout en hurlant et pleurant. Tout le monde à ri même les professeurs et les surveillants. Il se réfugiât dans son lit. Mais son cœur se refroidit pour de bon il se rétractât, s'asséchât, il ne ressentait plus que de la haine envers tout le monde, il se haïssait lui même, ses parents et le monde entier. Les enfants après la veuillée allèrent vite au lit pour s'endormir avant les douze coups de minuit. Tout le monde s'endormi, tous, non le garçon lui était toujours réveillé avec cette haine qui lui terrassait le ventre, une haine qu'il faut assouvir au plus vite mais qu'il faut savourer. Minuit commença à sonner au clocher de l'internat puis au douzième coup une lame argenté s'abattit sur la gorge d'un enfant de la chambre puis un autre au cœur. Un autre enfant se fit éventré et égorgé pour éviter les cris, puis un troisième se vit enfoncer la lame dans la bouche lui cassât une dent lui coupant la langue et s'abattit au fond de sa gorge un petit cri se fit entendre et deux coups lui transpercèrent les poumons. Le dernier de la chambre fut égorgé et eu les yeux crevé puis arraché avec le bout de la lame. Une lame qui l'avait nourrit durant son internat, la lame du cuisinier un coup long mais léger que le garçon maltraité s'emparât l'après midi avant que le cuisinier le remarque. La seule personne étant encore vivante était ce dernier, il était couvert de sang et tenait toujours larme des crimes dans la main. Mais il ne décidât pas de s'arrêter là , il était décidé d'aller plus loin comme si tout le mal de la terre était venu en lui, il prit les corps les traînât aux milieu de la chambre puis commençât à découper leur membre il mit les bras droit d'un côté les gauches de l'autre puis les jambes ou il suivit le même procédé. Il prit les têtes les faisant rouler sur le sol comme des ballons. Puis il commençât une partie de lego humain il assemblât une tête sur un corps avec un bras d'une autre personne il échangeait les jambes et les bras s'amusant à leur donner des noms différents à chaque fois plutôt des surnoms humiliant. L'horreur ne s'arrêta pas là, il voulait que tous les élèves voient ça. Il alla dans chaque chambre et déposât un membre ou une tête au milieu de chaque pièce pour qu'à leur réveil ils voient leur camarade en charpie. Il mit une tête dans la chambre des surveillants et un corps sans membre ni tête dans celle des professeurs. Imaginez vous, vous réveillant le matin de noël avec un morceau de corps ensanglanté dans votre chambre ou sur votre lit, à peine réveillé imaginez-vous l'effroi que vous auriez. L'enfant sortit et alla dans les bois sous la pluie, le couteau sanglant toujours dans la main il trouva un arbre ou s'abriter et attendit. Il voulait entendre les hurlements des enfants se réveiller avec leur morceau de corps devant le nez. 6h00 un cri retentit, puis l'internat entier hurla un cri effroyable montant des murs sortant des cheminées. Le garçon sourit, puis partit en s'enfonçant dans la forêt. Plus personne ne le revit et certain crois encore qu'il pourrait roder aux alentours de l'internat...
Mais attendez? REGARDEZ DERIERE VOUS!!! IL EST LAAAAAAAAAAAAAAAAA.

Frissons...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant