Les intersignes annoncent la mort. Mais la personne à qui se manifeste l’intersigne est rarement celle que la mort menace.
Si l’intersigne est aperçu le matin, c’est que l’événement annoncé doit se produire à bref délai (huit jours au plus). Si c’est le soir, l’échéance est plus lointaine ; elle peut être d’une année et même davantage.
Personne ne meurt, sans que quelqu’un de ses proches, de ses amis ou de ses voisins n’en ait été prévenu par un intersigne .
Les intersignes sont comme l’ombre, projetée en avant, de ce qui doit arriver.Histoire n° 1 :
Un jour, des enfants qui se promenaient virent un homme étendu et mouillé qui semblait mort et dont les yeux ouverts paraissaient regarder l'un des enfants. L'enfant en question dit aux autres « C'est mon père ! » puis s'évanouit. Quand les autres regardèrent vers le buisson, ils ne virent rien. Peu après, le petit garçon eut la nouvelle de la mort de son père qui s'était noyé en tombant du haut d'un mât.Histoire n° 2 :
Un jour, un homme de la Ruée était à dire ses prières. Il vit un enterrement qui passait à quelque distance de lui ; un homme portait la croix, puis vinrent la châsse, les prêtres, des hommes et des femmes, et il y avait parmi eux des gendarmes.
Huit jours après, un homme du village mourut, et son enterrement eut lieu comme celui que l'homme avait vu, avec des gendarmes qui s'y trouvaient. Le mort était gendarme.Histoire n°3 :
Un matin de bonne heure, un fermier qui tirait de l'eau à son puits, vit arriver dans sa cour une charrette attelée qui ne faisait aucun bruit, puis quatre hommes sortirent de la maison dont pourtant il avait fermé la porte, portant une châsse qu'ils chargèrent sur la charrette. Il fit part à ses voisins de la vision qu'il avait eu et ceux-ci lui dirent que c'était certainement la vision d'un homme qui était né dans la maison et qui mourait au loin.Histoire n°4 :
Etant à la veillée au coin du feu, une jeune femme entendit plusieurs coups frappés violemment dans un coin de l'appartement. Elle se leva mais ne vit rien. Les jours suivants, sa sœur, qui vivait aussi dans le même appartement, vint à mourir, et le fossoyeur apporta chez la jeune femme le bois destiné à porter le cercueil au cimetière. Il déposa l'ensemble juste à l'endroit où les coups étaient apparus peu de temps avant.

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Frissons...
HorrorC'est une compilation de creepy pasta qu'il faut absolument lire dans le noir pour plus de sensation de frayeur...😈👹💀