< Quand je me regarde je m'inquiète, quand je me compare je me rassure. >
INSAF.
Ce soir Tasnim et Hamza nous avaient invité à manger chez eux, ils étaient apparement enfin installé. Il y avait tout ma famille sauf Ayness bien sûr et toute la famille de Tasnim aussi, ses parents et ses petits frères.
Avec elle on retrouvait peu à peu notre complicité avant son mariage mais après c'était le néant, aucune nouvelle, aucun message, qu'elle fasse sa vie ma foi...
Une fois le repas terminé je l'aide à débarrassé puis sort les verres pour le café et le thé, elle sort les gâteaux puis sert tout ça. Pendant ce temps je vais à la salle de bain pour me rafraîchir parce que je me sentais pas bien, Hamza me rejoint et attend devant la porte.
Hamza - On sort 2 minutes ?
- Ouai ça serait bien, dis-je en le suivant
On sort sur le balcon de leur chambre à coucher puis Hamza referme la porte.
Hamza - Ça va ?
- Hum et toi ?
Hamza - Ouai... Tu t'ennuies ?
- Nan pourquoi tu dis ça ?
Hamza - J'sais pas tu tire la gueule
- J'me sens pas très bien
Hamza - Hum...
- Alors t'aime bien ta nouvelle vie ?
Hamza - Ouai on avance tranquillement
- Tant mieux
Hamza - Pourquoi ?
- Comme ça. Si t'es heureux j'suis heureuse...
Hamza - Tu fais la tête à Tasnim ? Demande-t-il après quelques instant de silence
- Non pourquoi ?
Hamza - J'sais pas tu lui parle pas trop depuis que vous êtes venu
- T'es pas resté avec nous une seule fois depuis le début de la soirée, dis-je septique
Hamza - Change pas sujet
- C'est elle qui t'envoie ?
Hamza - Change pas de sujet !
- C'est elle qui t'envoie ?
Hamza - In...
- C'est elle qui t'envoie oui ou non ? C'est simple comme question ! Demandais-je calmement
Hamza me fixe en fronçant les sourcils puis détourne le regard.
Hamza - Elle est au bout qu'tu la calcul plus comme avant
- A qui la faute ?
Hamza - Hein ?
- C'est pas moi la fautive dans l'histoire c'est elle et toi en quelque sorte
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[2] Insaf « Avec euphorie, je vis ma vie »
RomanceLa vie est un long fleuve tranquille... Jusqu'au jour où tout ce qu'on a construit sur des bases solide tombent en miettes. Un jour on rit un jour on pleure mais avec euphorie, je vis ma vie. 13 Septembre 2o15 © Istanbuliote