That's why I love you, again.

2.

Je détourna rapidement mon chemin car les cours allaient reprendre dans quelques minutes juste le temps pour moi de passer un rapide coup d'oeil vers les grands panneaux qui allaient sûrement décider de quelle manière tu allais passer ton année, avec qui tu partagerais ta classe. Je ne me fais aucune illusion, chaque année les groupes d'amis sont divisés, parfois certain on de la chance et passe entre les mailles du filet, mais c'est là unes des bien rare fois. Aucune illusion m'étais je dis et bien j'avais raison. Personne. Il n'y avait personne de mes amies dans la classe à laquelle on m'avait attribué, bien sûr je connaissais certaines meme beaucoup des filles qu'il y avait autrement, il faut dire que nous sommes un bien petit lycée, beaucoup d'entre nous se connaisse depuis la cours de maternelle. Il est bien triste aujourd'hui de se dire que plus de la moitié ne se parle plus, les gens changent et évoluent de différentes manière, certaines amitié ne tienne alors plus qu'un fil jusqu'à ce que celui ci ne lâche. Je ne vais pas m'attarder devant ces colonnes, il faut que je les fuis et vite, je sens le courage et l'envie des cours se dissiper peu à peu et je sais que sans cela je n'aurais pas la force de continuer. Mes amies se tenaient non loin de là, assises ur un banc elles parlaient. De larges sourires apparus, scotché à leurs visages, leurs regards braqués sur moi.

-Anaaaaaaaaa, on as crus que tu n'arriverais jamais.

Je détestais quand elle criais de la sorte, Melody avait beau être ma meilleure amie, parfois je haïssait ses gestes ou ses paroles qui ne faisait qu'attirer les regards des personnes alentours, j'avais besoin qu'on m'oublie, que je m'efface. Je n'allais rien lui dire de toutes ses pensées, une fois de plus j'allais contourner les choses, je n'avais besoin d'aucun autre problème j'étais assez servie comme cela. Mon seul reflex était de hocher la tête.

- Vasy racontes nous tes vacances, et vite la sonnerie ne vas pas tarder à sonné.

- Rien de spécial des vacances banales.

Mensonge.Mensonge.Mensonge.

- Comment ça se fais qu'on ne t'ais pas vue des vacances, on as essayé de te joindre tu ne répondais à aucun des messages, d'ailleurs pourquoi tu est partis si vite de la dernière soirée ?

Oh non, tous ce que je voulais éloigné de mon esprit revint au galop. Pourquoi putain, n'allais ton ne jamais me laisser tranquille.

- Juste je n'ai pas à me justifier.

Je partis aussi loin et vite que je pus d'elles. Je me dirigeais vers mon premier cours de la journée. le couloir sombre qui desservait toutes les salles de classes du rez de chaussée, malgré les température d'été qui ont dépassé les 40 degrés il restait froid, petit à petit il allais reprendre vie, les élèves allaient le marteler plus d'une fois, les premières histoire d'amour allaient prendre vie pour d'autre cela en serrait la fin. Jarrivais dans la première salle de cours, au programme Français. Je fus surprise de voir que je n'étais pas la première à m'asseoir, Alex se tenait là assis non loi de moi.

-Tu fiches quoi ici, lui lançais je

-Les cours c'est important

-Ne me prends pas pour une conne, tu est toujours le dernier en cours et qu'est ce que ça peut te faire les cours tu t'en fous, ne me fais pas croire des choses dont je connais la vérité.

-Tu as raison, je t'ai vu avec tes amies tout a l'heure, tu semblais bien énervée disons, c'est par rapport à ta mère ?

- Je t'en supplie ne parle de ça à personne, même si on se déteste depuis la nuit des temps je t'en supplie garde le pour toi.

-Je n'aurais rien à dire car ce n'est pas ta faute, elle l'avait cherché.

-C'est de ma faute un point c'est tout.

J'étais tellement absorbé par ma discussion avec Alex que j'en avais oublié la sonnerie, et les autres et après en ils nous regardaient d'une drôle de manière.Le prof vint à s'asseoir et envoya chacun à sa place. Je redoutais ce cours comme je redoutais ce prof ou même ces gens qui m'entouraient. Mr Bredol, était désormais notre prof de Français et je n'aurais pu espérer pire. Quelques chose ne tournais pas rond dans sa manière de me regarder avec insistance, il devait tout savoir , il allait me mettre au défi et je le savais.

- VoilàVoilà aujourd'hui nous allons faire quelque chose de plus ludique, qui sort du programme assez charger de terminale, laissant le temps à certains de se réveiller.

Il regardais à présent un gars du fond, qui baillais sans aucune retenue. Aïden je crois.

-Passons, le sujet du jour consistera a faire une autobiographie de vos vacances quelque chose d'assez complet, je ne ramasserais pas vos copies à la fin c'est un travail personnel mais qui ce veux d'être bien fais et sérieusement.

S'il vous plaît tous sauf ça. Je ne veux pas c'est tout. Je ne peux pas. L'heure tourne ma copie reste blanche. Le stress me monte, cela ne mettais jamais arrivé, je ne comprends pas, je ne me comprends plus. Le prof tourbillone entre les tables et je prie pour qu'il se tienne loin de moi. Je sens le regard d'Alex dans mon dos, j'ai beau le détesté, son regard m'aide a ne pas craquer comme si je n'étais pas seule. Il ne restait que quelques minutes avant la fin des cours, j'y suis presque. Mais comme un coup de maître il vint à se placer devant moi. Mr Bredol je te haie.

-Alors mademoiselle Ana on ne veux pas travailler où il aurait il autre chose que j'ignore, n'auriez vous pas quelques chose à nous raconter sur vos vacances moi je crois bien que si non ? Expliqué a ces jeunes qu'elles bêtises il ne faut pas faire.

Il avait parlé assez fort pour que toutes la classe l'entendes.

-Taisez vous je vous en supplie, s'il vous plais arrêté

-Et bien non dites nous tout.

- Arrêté... je.. vou..vous en supplie arrêtez

Mes jambes tremblaient, ma voix se fissurait, les murs se rapprochaient de moi. Je ne voyais plus rien tout était trouble. Seule une voix me parvenait celle d'Axel, juste avant de fuir cette classe ce lycée, dans quel but je ne sais pas, poir allez ou je l'ignore juste fuir l'espace d'un moment cet enfer qui m'oprime. Et voici les dernières paroles que je pus entendre, quelqu'un me tendait enfin la main en repoussant tout ce qui me tuait à petit feu.

"Laissé la tranquille ptn, elle n'as pas besoin de con supplémentaires dans sa vie et encore moi d'une personne qui ne connais rien. Elle n'y est pour rien ce n'est pas sa faute."

Apres mettre enfuite j'ai remarqué être suivis, par quelqu'un, quelqu'un de très spécial, un mystérieux Aïden.

/Excusez moi des fautes qui auraient pus se glisser dans le texte, je l'ai finis vers 23h30 ce soir et mes yeux ont dû mal a rester ouvert.Chapitre assez court mais important car voici enfin l'apparition d'un personnages principale. Aïden./