That's why I love you, again.

6.

"Et parce que chaque personne merde, j'aimerais m'excuser, je l'ai sûrement cherché mais je le faisais pour ton bien "

J'étais là, assise par terre, espérant que ce cauchemar cesse, que cela ne sois qu'un rêve et que la réalité revienne. On frappais à la porte, mais je m'en fichais, je voulais rester seule perdue dans mes pensées. Je ne voulais voir personne, cela n'aurais tenue qu'à moi je serais partie en courant mais j'avais déjà louper assez de cours comme ça. Finalement je me résigna à sortir de ma barricade. Je devais relever la tête montrer à tous ces gens que je n'étais pas ce qu'ils croyaient, que tout ce que ce connard d'Aïden était faux, que j'étais bien plus forte qu'il ne l'imaginais, à ce jeux il risque de perdre. Il était là ce connard, ça devait l'amuser de me voir là, me lamenter sur mon triste sort.

- On ne t'as jamais appris que les garçons ne devaient pas aller dans les toilettes des filles.

- Et toi on ne t'as jamais appris à être polie.

- Que avec les personnes qui me respectent en retour. Pourquoi tu as dis ça ?

- Je ne suis pas quelqu'un qu'on laisse en plan au milieu de l'océan.

- Oh pauvre chou tu aurais préférer que je te tienne la main et que je t'apportes une serviette Mickey pour te sécher ? Je ne t'ai jamais obliger d'y aller.

- Fous toi de moi, on verrais bien qui pleureras à la fin. Tu m'as laissé tombé

- Je ne t'ai jamais obligé à me suivre, c'est toi qui en décidé ainsi.

- J'aurais dû évité alors.

     Bien sûr que tu aurais dû évité, je ne suis pas la personne fréquentable en ce moment, je ne compris pourquoi il s'acharne.

- Je te l'ai toujours dis. Maintenant oublies moi.

- Ne crois pas t'en tirer comme ça.

- Mais bon sang pourquoi tu t'accroches autant.

- Ana...

- Ne m'appelle plus Ana, je ne suis plus Ana maintenant pour toi je deviens Anastasia. Comme si on ne se connaissais pas, comme si l'on était des étrangers au final ce que l'on est vraiment.

- Je ne peux pas te laisser dire ça, tu ne peux pas me dire que tu n'as pas ressentis ce sentiment de connexion entre nous pendant la baignade.

- Tu est le seul as avoir ressentis ça alors.

     Je l'avais blessé, son visage se refermât. Il n'avais plus ses petites fossettes, ses fossettes dont il avait l'habitude de laisser figer sur son visage. Je me demandais ce qu'il voulait, ce qu'il attendait de moi. Il pouvait se trouver être le plus grand des cons devant tout le monde au fond se cachait une personne sensible. On ne peux s'empêcher de se posé des questions sur le monde qui nous entoure, sur les personnes qui nous entourent. Au fond entre Aiden et moi c'était quelque chose de similaire on ne cessais de se poser des questions l'un sur l'autre, à voir qui céderas le premier. Mais dès que l'on est trop proches on se repousse s'éloigne. Je ne me suis jamais vraiment intéressé à Aïden avant, pour moi il n'était rien d'autre qu'un simple gars de mon simple lycée. Je le connaissais juste de nom, ou de réputation surtout, tout le monde buvait ses paroles et ses actes, chaque personne ici ne cherchait qu'à attirer son attention. Et je ne vois pas pourquoi cette année changerais. D'ailleurs je devais faire en sortes que tout redevienne comme avant, j'ai fais une grosse erreur en le laissant entrer dans ma vie.

- Ana tu est une putain de connasse.

- C'est pour cela que tu dois m'oublier, fais en sorte que tout reviennes en ordre, chacun à sa place.