La fille aux loups

Ce rêve de bouffe

On ne peut pas, on ne peut pas,je répète on ne peut pas répondre à quelque chose qui n'a pas été dit.

- Tu lis dans les pensées ?!

- Comme tout les âmes-soeurs, on à accès à la tête de l'autre, c'est pour ça que je sais que tu as ton petit pouvoir.

- J'te crois pas.

- Fait ce que tu veux ma douce.

Beurk.

- Oh ! Notre petit couple est réconcilié !

Brian débarque de nul part et je suis de nouveau subjugué par sa beauté.

Veux-tu m'épouser ?

Je vois Dave me tuer du regard.

Dave aussi est beau, très même mais ils ne sont pas comparable.

C'est comme si je te mettais du Nutella et du beurre de cacahouètes et que je te demandai de choisir quel aliment tu mangerai jusqu'à la fin de ta vie.

On ne peux pas choisir.

T'a le choix entre devenir obèse, et devenir la plus grosse femme du monde.

Tu vois un peu le délire ?

Dave est le Nutella et Brian le beurre de cacahouètes.

Miam.

Putain j'ai faim.

Et j'ai envie de beurre de cacahouètes maintenant.

En quelques secondes je vois deux mains me tendre deux pots differents.

L'une me tend un énorme pot de Nutella tandis que l'autre, du beurre de cacahouètes.

Je lève les yeux sur les deux cons devant moi.

Ils sont sérieux ?

Dave prend mes mains et déposent le pot de Nutella dans l'une et dans l'autre, une cuillère.

Le beurre de cacahouètes est périmé.

Il attrape Brian par les épaules et le fout dehors avec son pot.

Je le fusille du regard.

On me prend pour une conne, je veux bien que Dave m'ai ramené un pot de nut' mais pourquoi le dieux roux m'a ramené un putain de pot de beurre de cacahouètes ?

- Coïncidence. Ment Dave.

Il me prend réellement pour une conne.

Je travaillai dans le monde des stars, je sais reconnaître les gens qui mentent.

Et là, je le sens, ça me prend aux tripes, ça pue le mytho.

Je sonde sa tête, à la recherche d'une brèche où je puisse m'introduire.

- Arrête.

- Toi arrête. Râlai-je

- Arrête de quoi ? C'est toi qui veut entrer en moi !

Il y a un blanc après ses mots, le temps qu'on se rende compte de ce qu'il a dit et que ça nous monte au cerveau, nous faisant devenir plus rouge que le rouge lui même.

Il begaie trois, quatre mots sans que je n'en comprenne un seul, puis s'éloigne, les jous rouge, boire de l'eau.

Bon..

- Je veux dormir.

- Bah vas dormir, que veux-tu que je te dise ? Grogne Dave.

- Oui mais où ? Je dors pas avec toi en tout cas.

- Parce que tu crois que je veux dormir avec toi ? Pour que tes pets nucléaires m'intoxifient ? Me dit-il.

Quoi ?!

- Quoi ?!

- Tu pète en dormant, non seulement c'est dégueulasse mais en plus ça pue la mort. Je ne tiens pas à revivre l'expérience, j'ai eus largement ma dose.

Je m'empourpe un peu plus, quand j'avais dis que le stress me donnait des gazs, je ne plaisantais pas.

- Tiens, t'as enfin fermé ton clapet ?

- Tu... toute façon je préférai quand tu parlai pas !

Et je pars. Bien évidemment, comme une conne je dois ouvrir plusieurs porte sous son regard moqueur avant de trouver une pièce avec un lit bancale.

Je ne préfère pas me demander comment il est arrivé dans cet état, ça me ferait faire des cauchemars.

J'ai pas trop envie de dormir sur le truc, j'ai trop peur de me fracasser au sol dès que je fais un mouvement donc c'est avec agacement que je prends le matelas une place et demie de 350 kilos et le tire pour le foutre au sol.

Bien.

Je m'allonge enfin et paisiblement, ferme les yeux.

Jusqu'à ce que je sente un truc froid glissé contre ma jambe.

Non...

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I SAY HÉ HA  HÉ HÉ NANANANANAABANANANA BABIBADIBADIDIDI !

Ouais j'suis en retard mais r'garde j'ai fais un chapitre sur de la bouffe.

N'est-ce pas merveilleux

Et oui, j'avais faim en le faisant.