Par Amour de la Vengeance

Chapitre 17

Oui vous ne rêvez pas le chapitre 17 est bien là :D

Je suis désolée de tout ce retard, j'ai vraiment été débordée par ce début d'année et j'étais tellement crevée que j'avais plus la foi d'écrire ... Mais bon je suis en vacance cette semaine donc j'ai profité pour finir ce chapitre 17 qui fait tout de même 11 pages sur word... Cécile me mettait une de ces pressions ... Je vous jure, je suis sure que le perso de Dalia déteint sur elle, c'est de l'esclavage :D

Si vous n'avez pas encore remarqué hier Cécile a posté le prologue, nous avons quelques problèmes d'ordre parfois... Mais c'est une idée qui nous est venue très récemment et on trouve que cela rajoute une touche de mystère, n'hésitez pas à aller le lire, je ne pense pas que ce soit dérangeant pour la lecture. :)

Voili voilou, j'espère que vous apprécierez ce nouveau chapitre. J'espère que ça motivera ceux qui reprennent les cours demain (je pense à toi Cécile ♥).

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Je vous fais un petit recap' parce que bon depuis janvier ça fait un peu long. Alors Dalia a débarqué chez Arianna, elle a foutu tout sans dessus dessous et a réussi à faire fuir notre pauvre Mael chéri... Un illustre inconnu répondant au nom de Bob Canab a fait son apparition et c'est à peu près à ce moment que nous nous sommes arrêtées :)

Voilà vous pouvez dès maintenant lire ce chapitre 17 tant attendu :D Bonne lecture !

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Chapitre 17

« Ma con l'aure serene

Tu te ne vai felice et io qui piango »*

Arianna

Un baisemain ! Il avait osé baiser ma main ! Je n'avais qu'une envie tremper : ma main dans de l'acide au plus vite, et en cas de pénurie de la lave en fusion ferait également l'affaire. Je sentais déjà des virus contaminer ma peau. Serait-ce de la fièvre que je commençai à ressentir ? Je n'allais pas tarder à défaillir.

Mais si ce n'était que cela ! En plus d'avoir dû supporter cet affront, son animal s'était empêtré dans mes cheveux. De ses sales pattes, il les avait touchés, tirés et arrachés ! J'étais au bord de l'apoplexie. J'allais devoir passer des heures à tout peigner et à les laver ! Car avec un peu de chance, ce primate m'avait refilé ces poux !

Je finis par me calmer après plusieurs grandes inspirations. Je jetai un regard à Loreley, comment se faisait-il qu'elle n'avait pas encore essayé de tuer quelqu'un ? Il avait quand même deux familiers qui se pavanaient devant elle en très bonne santé. D'ailleurs le nombre de deux étaient des plus surprenants. Les sorciers n'avaient qu'un seul familier... Enfin, je supposais que c'était un sorcier puisqu'il avait déboulé de nulle part, mais je n'irais pas vérifier. Je refusais de m'approcher un peu plus de cette chose !

Soudain, il fit un pas dans ma direction. Je le regardai, effarée.

- Ne t'approche pas ! Ordonnai-je.

Mais il ne m'écouta pas et fit un deuxième pas. Je réagis vite, j'appelai ma magie et en un rien de temps, cet intrus se trouvait à un mètre du sol en train d'essayer de retirer un objet invisible autour de sa gorge. Je n'aimais pas me sentir menacée, donc je prenais des mesures exceptionnelles dans ces cas-là. La chose aux cheveux sales et filasse se débattit en vain. Mon sort d'étranglement était infaillible. J'admirai d'un air extasié la scène, il tentait désespérément de respirer.