- Ed Sheeran. Photograph.
Louis
- Tenez et bonne journée.
Elle hocha la tête et s'en alla, je n'allais pas lui en vouloir car comment passer une bonne journée dans ce bled tout pourri ? Toutes mes journées se ressemblaient: Je me levais, je buvais un café ou du moins ce que je trouvait, je saluais mes deux familles et ensuite j'allais au boulot. Je travaillais dans une des rares épiceries du coin qui ne faisait pas du trafics de stupéfiants : Chez Bob. Bob était un gros monsieur qui était très gentil avec tout le monde, il nous a raconter être venu ici après une mission qui a mal tournée. Bob Sullivan dit le détaupeur est un ancien marine de guerre, on le surnomme ainsi car il a réussis à dénoncer plus d'une dizaine de taupes envoyer par le camp ennemi. Mais un jour lors d'un combat il a désobéis aux ordres et aller sauver, d'une mort certaine, ses frères de combat ce qui était contraire aux ordres que leur commandant avaient donner. Il a été destitué de ses fonctions et sa façon violente de s'opposer à ceci lui a coûté sa place dans l'autre côté et il a été débarquer ici. Depuis il a sombrer dans la dépression et appris quelques bons kilos mais il a su se relever et il essaye d'aider les jeunes d'ici du mieux qu'il peut en leur offrant de l'emploi.
Tiens en parlant du patron il arrive.
- Allez Louis, il est midi va prendre ta pause.
- Je n'en ai pas envie.
- Que tu en es envie ou non ne m'intéresse pas mais je ne veux pas que tu deviens anorexique à cause de ta négligence alors maintenant tu vas prendre ta pause.
- Mais...
- C'est un ordre Louis, exécution.
Je souffla et sortis de derrière la caisse, les ordres de Bob commençaient vachement à me taper sur les nerfs. On n'est pas au combat là !
Je sortis de l'épicerie ma sacoche au cou et marcha jusqu'à un banc un peu loin des bâtiments, là où l'air nauséeux ne se fait pas trop sentir. Je sortis le sandwich que ma mère m'avait fait et croqua dedans, puis tout à coup une ombre vient perturber mon champ de vision. Je releva la tête et vu une personne que je connaissais bien.
- Salut Louis.
- Salut Malia.
- Comment sa va ?
- Sa va...et toi ?
- Bah on se plaint pas.
Elle s'assit à côté de moi et passa une main dans sa tignasse bouclé avant de plisser les yeux dû au soleil.
Malia est orpheline de père, elle dit être arriver ici à l'âge de sept ans avec sa mère enceinte. Avant elle vivait de l'autre côté mais son père a été accuser d'être un espion et de collaborer avec l'ennemi, il a été abbatu et comme le gouvernement ne voulait pas que sa famille se rebelle, ils ont envoyer sa femme et sa fille ici. Malia et sa mère ont été recueillis par le Père Matthew, le pasteur de la cité et depuis elles lui sont très reconnaissant. Le Père Matthew est né ici mais il n'a pas raconter comment sa famille s'est retrouvée là, c'est le fondateur du concept des oubliés. C'est un homme très généreux. Malia travaille dans le seul dispensaire de la cité, elle est dans le secteur des nouveaux arrivants mais elle intervient parfois lors des accouchements.
- Un nouveau est venu.
Je releva immédiatement la tête. Lorsqu'une nouvelle personne arrivait à la cité cela se savait très rapidement.
- A bon ?
- Oui.
- Une femme et deux enfants.
- De grands enfants ?
- Oui. Une fille et un garçon. La fille dit avoir 19 ans et le garçon 16.
- Et où vont-il habiter ?
- Le père Matthew leur a trouver un endroit où habiter.
- Où ça ?
- Juste à côté de chez vous.
- Tu veux dire qu'ils seront nos voisins ?
- Exactement.
Je mangea une autre bouchée de mon repas, cette information est très intéressante depuis le temps que nous n'avions aucun voisin.
- Et quand s'installerons t-ils ?
- Eh bien ils sont déjà entrain de le faire.
Je releva le regard vers elle en arquant un sourcil. Cette expression l'a fit éclater de rire.
- Si vite ?
Elle hocha la tête et vola un bout de mon casse-croûte ce qui me décrocha un air outré du genre << Non mais t'es pas gêner toi...>>. Elle éclata de rire une seconde fois et je souris, cette fille était un grand bol d'air pour moi et Zayn.
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Derrière-moi //Ziall// [Terminée] #wattys 2017
FanfictionTout les jours je m'asseyais ici. Tout les jours j'étais dos aux grilles. Tout les jours je lui parlais. Lui, je ne savais pas qui il était ou même de quoi il avait l'air, en faite je ne savais même pas comment il s'appelait mais ça fait quelques mo...