chapitre 24

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Avec cette odeur immonde je suppose qu'on est dans un égout, c'est dégueulasse.

Amir nous a ramener dans notre "cage" où des matelat sont étendu un peu partout. Chacune s'allonge après avoir bu la soupe sans goût que l'on nous a servi.
- vos photos ont été mise en ligne, à partir de demain vous commencerez votre travail, la première semaine vous serez solliciter seulement pour les préliminaire vous n'aurez pas de pénétrait des caméra vous surveillerons alors n'oubliez pas d'être souriante et surtout de répondre aux désirs de vos clients. Dormez bien. Fini par dire la dame rousse, avant de faire claquer ses talon et de s'en aller. Les lumières s'éteignent, toute les filles sont réveillé, J'entend des sanglot silencieux, je regarde dans le noir, je n'ai aucune envi de pleurer, ça n'arrangera pas les choses, je sais que la police est trop incompétente pour retrouver notre trace, on est condamné à rester ici toute notre vie.
- hé tu dors?
Je tourne ma tête vers la fille allongé à ma droite.
- non.
- à quoi tu penses?
- à comment j'ai atterri ici.
- tu as l'air timide.
- oui.
- moi c'est Stéphanie.
- Dany.
La conversation s'arrête là. Plus personne ne parle. Je fini par avoir la vision trouble et à m'endormir.

Un bruit strident me réveille en sursaut. Je regarde autour de moi complètement paniqué. Les autres fille sont aussi réveillé, je vois Amir taper contre les parois metalique avec une matraque.
- lever vous! Et que ça saute! Hurle t'il en ouvrant la porte. Il attrape chacune d'entre nous et nous enchaîne. Il nous met en sous vêtements et nous passe un violent jet d'eau froide avant de nous sécher et de nous vêtir de vêtements neuf. La dame rousse nous compte, verifi qu'on est bien vêtu, nous parfume pour finalement nous jetter à l'arrière d'un camion.
Lorsqu'on nous fait descendre Amir nous enleve nos chaînes et nous fait entrer dans un grand bâtiment.
- bien, les filles aligné vous et affichez votre plus beau sourir, les hommes vont vous choisir et vous les suivrez. Nous explique Amir. On s'exécute. Plusieurs hommes tous dépassant la quarantaine s'approche et nous examine comme ils le feraient pour des marchandises. Plusieurs des filles s'en vont se faisant tirer par un des hommes. Un homme s'approche de moi et me regarde sous toutes les coutures avant de me faire un sourir pervers et de me prendre la main pour m'inviter à le suivre. Me coeur tambourine contre ma poitrine, qu'est ce que je vais devoir faire? J'atteris dans une grande chambre, le vieil homme ferme a clé puis se tourne vers moi, commençant à enlever sa veste, je sais que des caméra nous surveille alors je reste à ma place sans me départir de mon sourir. L'homme s'approche rapidement de moi et se met à m'embrasser rageusement, je suis dégoûté mais je me laisse faire. Il me prend et me jette sur le lit. Il enleve ses vêtements et fait pareil avec ma mini robe rouge. Il me mord les oreilles pour continuer par des petit bisous dans le cou. Je serre les dent pour ne pas hurler et me débattre. Il efleur mon ventre de ses doigts ridés puis il enleve ma culotte. Il me regarde de ses yeux vicieux avant d'introduire ses doigts dans mon intimité, je me crispe, je n'y connais rien mais ce que je ressens à x être instant n'a rien à voir avec du plaisir, je me sens sale et utilisé.
- je m'appelle Carl, cri mon nom. Ordonne le vieil homme. J'ai envi de pleurer de hurler et de m'enfuir, je prend sur moi et je cri son nom comme il me l'a demandé. Quand je sens son erection contre mon bas ventre. Je commence a sérieusement paniquer. La rousse nous a bien dit Seulment les préliminaire.
Monsieur Santos votre temps est écoulé si vous voulez plus ça vous coûtera plus cher. Résonne une voix robotisé. Le vieux ne bronche pas et se rhabille. Avant de sortir de la chambre. Quelque seconde après un autre entre. Mon premier réflexe est de me couvrir mais je me souviens qu'on m'observe alors je ne fais rien et je me laisse faire jusqu'à ce que lui aussi s'en aille. Lorsque la journée est terminée on rentre toute avec des mines dévasté. Amir nous conduit directement à la cage sans qu'on est pu avoir le luxe d'avoir une douche et de se laver de toute ces cochonneries.

TimideOù les histoires vivent. Découvrez maintenant