Ça fait tellement longtemps qu'on a pas fait ce genre de chose ensemble, que ça nous fera le plus grand bien.
Pdv Daniella
Je sais que quelques chose ne vas pas dès que j'ouvre les yeux, j'ai mal au bas - ventre, j'avais complètement oublié que ça pouvait m'arriver, je me lève rapidement et je vérifie. Ce sont bien mes règles, tout d'abord je rechigne et je me plain, puis je le rend compte que ça peut être une occasion pour échapper à tout ces vieux pervers qui m'attendent aujourd'hui. Je m'approche du grillage et j'appelle Amir, l'armoire à glace ne tarde pas à apparaître devant moi.
- quoi? Demande t'il sévèrement.
- il faut que je vois la patronne.
- pour quoi?
- parce que j'ai un léger problème.
- comme quoi?
- j'ai mes règles.
- crois pas.
- tu veux que je te montre peut être!? Tu t'y connais mieu que moi question sang qui coule dans ton slip!?
Il me regarde un moment, puis marmonne qu'il vas m'émmener à elle. Il ouvre la cage et m'emporte violemment.
Une fois que je suis en face de la dame rousse, je degluti au moins trois fois avant de prononcer un mot.
- j'ai mes règles.
Elle m'observe en plissant les yeux, elle s'attarde sur mon bas ventre, ce qui me met mal à l'aise.
- tu as mal?
-oui. Mentis je. Je n'ai pas vraiment mal mais quand même, tout sauf être abandonné au mains ridé de tout ces hommes.
- donne lui de la drogue, et un tampon, elle ne sert que pour les préliminaire ça ne dérangera pas. Finit elle par dire avant de retourner à ses occupations, je fais une grimace, perdu par ce qui viens de ce passer, elle est aussi cruel que ça ? C'est une femme elle aussi elle devrait savoir ce que c'est. Amir m'attrape le bras pour me ramener avec les autre, et me préparer. Il m'a donné un tampon et de la drogue comme c'était prévu, mais j'ai l'impression qu'il a un peu forcer la dose, je vois double et je n'arrête pas de sourir. Il me conduit à la chambre qui m'est réservé,à peine entré le premier client débarque,je ne suis pas assez lucide pour soupirer,alors je me contente juste d'attendre que ça commence. Le vieil homme, rigole en enlevant ses chaussures.
- j'ai mis tellement d'argent pour cet instant,j'espère que ça en vaut la peine. Dit il en montant sur le lit.
- biensur que ça en vaut la peine. Repliquai je, faisant semblant d'apprécier. L'homme commence à me déshabiller pour me faire toute les cochonneries aux quelles il pense. Je ne bronches pas, la drogue m'aide à ne pas prêter attention à ce qui se passe,je sent ses doigt ridé circuler sur mon corps, me toucher, me carresser, me griffer. Il me mord, réalisant sans doute un de ses fantasme. Je laisse faire, faisant de mon mieu pour ne pas le repousser. Même avec de la drogue dans mon sang, je n'arrive pas à oublier cette horreur, mais il faut que je m'y habitu. J'entend de l'agitation dans la chambre d'à côté, c'est sans doute une des filles réservé au coït, j'ai mal pour elle, j'entends les gémissement de l'homme. Cette vie est un enfer, nous sommes en enfer. Je ferme les yeux. J'ai l'impression que le bruit des autre chambre est plus fort, que j'entends tout les gémissement, ça me donne mal à la tête. J'ai l'impression que la drogue me monte au cerveau. L'homme près de moi retire ses mains de mon corps à moitié nu, je m'attend à une récidive, mais rien ne vient. Lorsque j'entends un bruit sourd, j'ouvre difficilement les yeux pour voir ce qui se passe. Le vieil homme n'est plus sur le lit, je me redresse comme je peux pour essayer de le trouver, je le vois allonger sur le sol inconscients, je vois flou alors j'ai du mal à bien voir. Je vois une forme d'hommes,qui se tien devant moi.
- c'est votre tour? Demandais je avec une voix pâteuse.
- non.
Le visage d'un homme que je ne connais pas apparaît.
- vous êtes qui?
La personne ne me répond pas, il se contente de me prendre dans ses bras et de sortir.
- je l'ai trouvé! Entendis je crier.
- donne la moi.
Je passe de bras à d'autres, je connais bien cette odeur. Je relève la tête, je vois d'abord flou, puis le profil de Julian se dessine, il a l'air furieux et inquiet. Je ferme les yeux et m'accroche à lui comme si ma vue en dépendait, ce n'est sans doute qu'un rêve.