L'amour Vampire

Chapitre 3: Amour ?

Je ne pus comprendre ce qu'il m'arrivait. Une tâche noir remplit ma vue et la dernière chose que je vis fut Julien. J'entendais encore des bruit lointains, des cris qui essayait de me réveiller. Puis plus rien, le néant. Je m'étais évanouie. J'avais dépasser mes limites et avait sombrés dans l'inconscient. Quand je me réveilla, c'était dans ma chambre que je me trouvais. Au près de moi, à mon chevet se trouvait Julien. Je fut surprise et choqué. Je ne pouvais détourner mon regard; il pleurais. Il était déroutant mais pris d'une grande tristesse. Enfin, il remarqua mon réveil. Entre deux sanglots, il s'excusa de m'avoir bu autant de sang et d'avoir provoquer mon évanouissement. Je tenta de le consoler mais se fut impossible. Comme une personne assistant à l'assassinat d'un proche adorer et ne pouvant que pleurer du désastre. Julien était dans se même état secondaire. Il ne pouvait se pardonner car cela aurait put être plus grave me disait-il. C'est alors que je lui dit que sans lui, je me serai déjà écrouler en larme, sans doute suicider. Il était mon réconfort et mon pilier. Le soutien qui empêchait ma solitude de s'installer, de me posséder et de me plongée dans le néant ou encore de me pousser a la dépression. Puis une question me vint à l'esprit. Pourquoi m'avait-il bu autant de sang. Ne s'était-il pas approvisionner en nectar vital pour lui chaque jour? Comme à chaque fois il répondis à ma question sans que j'ai à la formuler. Ce qui me désespérait. Je lui demanda d'arrêter de lire dans mes pensées et je reformula donc ma question a voix haute.
- Je veux seulement ton sang. Je t'aime plus que tout au monde et il est donc hors de question de prendre le sang d'une autre fille. Une fille dont je n'aurai jamais de sentiments. Dont le sang ne serai pas remplie de ton amitié et de ta reconnaissance a son égard. Je n'attende pas de toi de sentiment en retour mais juste ta présence. Je veux ton amitié et rien de plus tant que tu n'est pas prête a cela. Pas prête a me donner ton coeur.

Il avait besoin de moi comme j'avais besoin de lui. Nous étions complémentaire. Nous pourrions faire qu'un. Et je voulais que nous faisions qu'un. Je voulais m'abandonner à lui corps et âmes. Et je voulais qu'il s'abandonne à moi corps et âmes. Que son enveloppe corporel m'entoure de ses bras fort et me bercent. Je savais que son sourire pouvait illuminer mes journées. Je savais que dans ses bras tout problème pouvait s'envoler. Pour la première fois je fut heureuse qu'il puisse lire dans mes pensées...