Ch.24

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Le lendemain, je fus réveillais par mon réveil que j'avais activer la veille. Ce matin il faisait assez frais. Je me vêtis de ma robe de chambre et ouvre mes volets pour aérer ma chambre. Je me dirige dans la salle de bain et fait ma routine du matin. En revenant dans ma chambre,  je ferme mes volets et fait mon lit. Je me poste devant mon armoire. Je m'habille d'un jean blanc push up, d'une abaya rose pâle avec une ouverture de chaque côté (de la cheville à la taille) et des birkenstock grise pailletés. Mes cheveux étaient lisses (dû à la veille) mais je repasse tout de même un coup dessus. Je ne me maquille pas, hormis les sourcils.

Prête, je me dirige dans la cuisine. Ma mère s'y trouvait.

- Yemma: Salem 3leykoum Benthi.
- Moi: Wa 3leykoum salem Yemma.
- Yemma: Tu as bien dormi?
- Moi: Oui et toi?
- Yemma: Oui al hamdoullillah. Tiens, je t'ai préparer ton petit déjeuner.
- Moi: Merci.

Ma mère m'avait concocter une petit déjeuner de princesse. Pendant que je mangeais, la sonnette de l'entrée retentit. Ma mère s'empressa d'aller ouvrir et revient avec Hakim. Il ne m'avait pas manquer celui là.

- Yemma: Tu veux heja à manger wouldi (mon fils)?
- Hakim: Non shoukrane (merci) Khalti je viens de manger.
- Yemma: Ilhem presse toi, ton rahjl (mari) t'attend.
- Ilhem: Mh.

Ptdr à croire je vais me presser pour lui. Je prends mon temps exprès. Je finis de manger délicatement, et je passe par la case salle de bain pour me brosser les dents. Je vais dans ma chambre, prends ma pochette argenté, mon téléphone et ma carte bleue. Je retourne dans le salon, il était plongé dans son téléphone.

- Moi: Je suis prête.

Il relève la tête et se lève.

- Hakim: Khalti, on y va nous.
- Yemma: D'accord, à tout à l'heure.

Elle nous accompagne jusqu'à la porte. On monte dans l'ascenseur. Je sentais le regard de Hakim sur moi. On arrive en bas, il tcheke les mecs qui était déjà là. J'avais oublier, je me dirigeais vers ma voiture.

- Hakim: Tu vas où? Ma voiture est garé derrière.

Je le suis. On arrive à la hauteur d'une voiture. Pas n'importe quelle voiture, une belle BMW noire mate avec vitres teintées. Il déverrouille sa porte et monte. Puis déverrouille la mienne. Je monte à mon tour. Il consulte son téléphone, le branche puis démarre. Dans la voiture, c'était le roi des silences. On roulait en direction du centre. Lui était concentré sur la route et moi sur mon téléphone. Je regardais les stories. Quand je tombe sur celle d'un garçon, Hakim m'observait.

- Hakim: Tu vas me supprimer tous les mecs que t'as.
- Moi: Ptdr ok.
- Hakim: Y a heja qui te fait rire?
- Moi: Roule, roule. Qu'on finisse d'acheter ce qu'il faut et que je rentre chez moi.
- Hakim: Oui change de sujet c'est mieux pour toi.

On arrive au centre ville. On se rend dans un premier temps dans un magasin oriental spécialisé dans les mariages. Hakim essaie différentes djellaba avec pantalon qu'il pourrait mettre lors du hlel. Tout lui allait à merveille, faut pas mentir.

- Hakim: Je prends laquelle?
- Moi: J'aime bien la première.

La première était un djellaba accompagné de son pantalon. Elle était dans les tons beiges marrons. Elle faisait ressortir son teint. C'était maintenant à mon tour. N'étant pas fan de l'habit traditionnel du henné, je me devais de choisir deux tenues à porter pour le jour du hlel. J'essayais de multitudes de caftans et takchitas. Deux avaient retenues mon intention. Tout deux étaient d'un vert foncé. Le caftan était ornait de motif doré au niveau du col et des bras. Le bas, c'était le même concept sauf que il y avait deux pièces. Il y avait le caftan dont le motif doré commençait à partir de la ceinture et continuait à l'horizontale. La deuxième pièce, nous retrouvons un tissu d'un vert plus léger que le reste du caftan et simple. Ce tissu ne débutait qu'à partir de la ceinture, nous retrouvons ici le concept de la takchita. Concernant la takchita, elle était totalement ornait de pierres dorées.

« 𝐋𝐞 𝐝𝐞𝐬𝐭𝐢𝐧 𝐞𝐧 𝐚 𝐝𝐞́𝐜𝐢𝐝𝐞́ 𝐚𝐮𝐭𝐫𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant