Chapitre 28

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On pensait tous que les indices pour nous en sortir se trouveraient sur les griffeurs. Mais, le soir de la tuerie, nous nous étions couchés en les laissant, après le choc, personne ne pouvait s'en occuper tout de suite. Le  lendemain matin, ils n'étaient plus là. Et là, le griffeur était devant moi. J'étais devant lui, et un pue gluant sortait de sa "bouche" et de ses blessures. J'entendais une sorte de tintillement, quelque chose de répétitif dans l'une de ses pattes. Je tirais sur l'objet que je pensais être l'origine, et sortait un boîtier. C'était une sorte de gps à mon sens, mais il n'y avait que écran, avec le chiffre 3, en vert. Alors je rentrais tranquillement, avec mon boîtier à la main. Quand je rentrais dans le bloc, je le remis à une activité normale, pour que les gens croient que je n'étais pas aller dans le labyrinthe, et je cachais le boîtier dans la forêt. Personne ne le trouverait. Je trouvais Newt. Quand il tournait la tête vers moi, la colère s'emparait de lui.

{Newt} Viens avec moi toi. Dans la cabane.

{Moi} Tu rigoles, c'est un ordre ?

Son regard noir aurait pu tout percer.

{Newt} Dépêches toi. Tu crois quand même pas que j'avais pas remarqué ton absence ?

On était dans la cabane, je l'avais suivi, parce que je voulais faire un point sur notre relation. Qui venait à peine de commencer, ironique.

{Newt} Tu joues à quoi exactement Charlie ?

{Charlie} Eh, je m'y étais jamais intéressée, j'avais envie c'est tout.

Je parlais très calmement, mais sans en être douce. Lui était agressif.

{Newt} Mais t'aurais pu te faire tuer ! Et même si tu avait ton arc ! Je t'ai couverte au groupe, sinon c'était le gnouf ! Je le referrais pas ! Putain mais c'est pas possible, t'es vraiment inconsciente !

{Moi} Bon, on va faire un point, parce que je tiendrais pas. C'est pas parce que je suis avec toi, que je dois rester à côté de toi toute la journée, et surtout, surtout, je peux me débrouiller seule, je l'ai toujours fais. Et tu le sais. Arrêtes de t'occuper de moi, sinon ça va mal finir cette histoire.

Il me regardait, il avait compris que notre relation ne tiendrait pas s'il me couvait trop.

{Moi} Je prends ma douche, sors.

Le labyrinthe de CharlieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant