55 - Fin 2

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RU - Londres
9h44

Ensevelie sous un sommeil agité mes yeux s'ouvrent soudainement en voyant la mort d'Harry dessiner sous mes paupières. Mon cœur bat à la chamade, mes yeux laissent échapper des minuscules larmes face à cette scène atroce. Et mon corps transpire comme si je venais de sortir d'un marathon.

Pour me rassurer je redresse mon corps sur le côté pour avoir une vu d'ensemble sur ma petite famille. Je soupire quand je vois mes deux enfants dormir paisiblement dans les bras de mon marie.

- C'est quel genre de soupire ? marmonne l'homme.

- Un soupire de soulagement, souri - je en entendant sa voix endormis.

- Tu as mal dormir ?

- J'ai rêvé de nos débuts ensemble jusqu'au jour de l'accident, baissé - je les yeux.

- Ne pense plus à ça, bébé.

- Lui aussi aurait pu avoir une famille et être heureux mais au lieu de ça il est enterré sous terre. Je me lève du lit conjugale dos tourner à ma famille. Et ça à cause de nous.

- Je suis sur de là où il est Zayn ne nous en veux pas, me rassure t-il.

- Je vais allé préparer le petit déjeuné, me dirigé - je vers la porte.

Je sors de la chambre pour me diriger en bas où se trouve la cuisine. Je me mets à l'arrière des fourneaux en installant un tablier sur moi puis me met au travail tel une bonne mère de famille.

Des minutes plus tard j'entend des bruits provenant des escaliers de ma fille et de mon fils de quatre ans descendent avec leur père les escaliers de chez nous. Des exclamations de rire se propagent dans la demeure, c'est chaleureux. Je souris face à tant de bonheur débordant d'amour au sein de ce cocon familiale.

- Regardez ce que maman vous à préparer les petits louveteaux.

Mes deux petits anges courent vers moi pour me faire des gros câlins, je les attrape un par un pour leur faire un chaste baiser sur le front. Et les dépose par la suite sur le sol.

- Moi aussi je veux un bisou, boude l'homme derrière moi.

Je retire mon tablier et me dirige vers lui pour déposer un tendre baiser rapide sur ses lèvres.

- J'aime quand tu boudes ça m'existe, lui soufflé - je doucement à l'oreille.

J'attrape mes deux petits monstres pour les mettre à table, sous le regard pervers de l'homme de la maison. Je les aide tout les deux à manger alors que l'homme de la maison lui finit par nous observer d'un œil tendre.

- Tu ne manges pas ? demandé - je surpris.

J'ai pourtant préparé tout ce qu'il aimait jusqu'à la température de son café.

- Je suis déjà rassasié avec tout l'amour que vous me donnez tout les trois.

Un petit rire joyeux s'évapore de mes lèvres comme réponse à sa phrase. Quelques instants plus tard toute la petite tribu m'aide à débarrasser la table pour ensuite allé se préparer à notre sorti familiale.

NUMÉRO INCONNU TOME 4 [HS] - TERMINÉOù les histoires vivent. Découvrez maintenant