Je me redresse en entendant le grincement strident du bois .
Par un merveilleux réflexe de survie , je pousse l'énorme lit contre la porte , non sans quelque difficulté.
L'énorme bois massif bloque complètement la porte .Je l'entends donner des coups dans la porte .
Je continue , une fois la vieille porte condamnée , à fracassé le bois des volets.
Une fois cela fais , je regarde entre les deux volets ouverts .
Un jardin muet , qui était délimité par une forêt dense et sombre .
J'entends la porte commencé à cédait . Paniqué, je commence à faire signe à Axelle de sauté. Elle me dévisage.Nous sommes au premier. Malgré tout , on peux se faire sévèrement mal . Voir mourrir . Le béton de la terrasse était horriblement lisse et solide .
La porte craque .
Tristan entre en scrutant la pièce de ses iris assombri par un profond noir . Il observe sous le lit , lapes draps derrière la porte . Rien . La chambre était atrocement vides .
Le bruit du vent parcourait la pièce de son souffle frais qui lui glacé les joues . S'attardant sur le rebord de la fenêtre qu'il avait si soigneusement fermée.Il aurait dû penser à enlever la lampe . La tige en métal roulais à ses pieds , il l'a saisis et l'envoya par la fenêtre . Puis il donna un coup de pieds dans le mur en faisant claqué sa langue d'agacement.
"- Je vous attraperais ... " murmura t-il frénétiquement entre ses dents .
Puis il lança un regard assassin à la fenêtre endommagé en soufflant :
"- ... et je vous tuerai . " un sourire sarcastique étire lentement ses lèvres tandis que ses yeux sombre s'éclaire d'une folie démesurée.
La porte en bois claqua avec une violence assourdissante .
Sur un rebord du mur , caché par les deux grands volets meurtri, Axelle et Anna soufflait de soulagement.
Tristan ne les avait pas vu .
Leur talon reposés sur une fine lamelle de ciment tandis que le devant de leur semelle pendait dans un vide d'au moins 6 mètres .
"- Et on fait comment, maintenant ? Qu'est ce qu..."Je met ma main précipitement sur sa bouche . Tristan est déjà dans le jardin .
Mon poul s'accélère et je sens mes mains devenir moites et suantes.
Il avance , sans se retourné, le long de l'herbe humide et fraîche . Sa silhouette sombre s'efface à mesure qu'il avance , puis il disparaît totalement.
Je passe deux ou trois longues minutes a m'assurer qu'il est belle et bien partis .
Je sens qu'Axelle gigote a côté de moi . Elle se hisse difficilement jusqu'à la chambre et me fais signe d'entrée. J'aimerai l'y rejoindre . Mais un obstacle de taille m'y empêche : le vertige . Sur le coup du stress , j'étais parvenu à oubliée mon handicap. Seulement, maintenant, ma tête tourne affreusement, Je vois le vert du jardin et le gris de la terrasse en béton se flouait . Mes membres parcouru d'une sorte de fourmillement est comme paralysé. Mon cerveau me hurle de bougeait au plus vite tandis que mes membres raidit m'implore de resté là.
Prenant mon courage à deux mains , je me colle au mur et m'avance prudemment vers la chambre , la main de Axelle me serre profondément Le bras .
J'inspire bruyamment l'air parfumé de la forêt, il sent le bois et les châtaignes, seule une petite odeur de cigarette fumée lui donne un côté puant.
Soudain , mon pied droit se balance dans le vide , m'arrachant un petit cri de détresse . Je réussis finalement à me stabilisée , et je rentre dans la chambre .
Nous nous apprêtons a sortir lorsque un doute , comme un pressentiment horrible me parcours l'échine .
Je me précipite vers la fenêtre pour détaillé la forêt.
Rien .
Seul le vent secoue vivement les branches des arbres en emportant des feuilles d'arbres dans sa course .
Puis mon œil est attiré vers quelque chose .
Un buisson à la délimitation de la forêt bouge bizarrement . Ses branches assombris se secoue comme si une bête sauvage agitait ses racines jusqu'à la naissance de ses bourgeons.
Puis un grognement raisonne jusqu'à moi . Un grognement strident. Un grognement familier .
Je me penche vers le jardin en m'appuyant nonchalamment sur le bois de la fenêtre.
Une ombre trapue se dessine peu à peu vers moi . Deux yeux jaunis luisant dans le pénombre de la nuit . Un animal au pelage noir et brun clair apparaît dans la lumière blafarde de la lune .
Un énorme chien .
Thor .
Il me fixe tandis que je distingue de profondes plaies au niveau de son ventre et de son cou . Le sang donne un reflet rougeâtre et colant à son pelage .
Il me regarde en poussant un aboiement étouffé. Il hurle à la mort .
Une décharge électrique me traverse le corps : LUÏSSE.
Comment va Luïsse ?!
Pas question qu'il meurt avant que je n'ai pu l'égorgeait pour la photo qu'il a pris avec Eva . Cette photo ensanglantée . Cette photo qui me cache une vérité. Cette photo où j'ai découvert leurs double-vies . Cette photo qui a effilé leur tissu de mensonge .
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Ennemis , amoureux .
Ficção AdolescenteAnna s'installe en silence sur la table a côté de Luïsse. Les lèvres pulpeuses de ce dernier dessinant un fin sourire forcé sur sa mâchoire carré . Anna lui adresse un sourire contraint , pose ses affaires sur la table , prend une grande inspiratio...