nouveau compagnon (partie 14)

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  « Peut être qu’il y as des survivant… »
Rob était toujours le premier à parler optimiste dans ce genre de situation. Auror répondis par un simple non de la tête. Elle avait déjà expérimenté le malheur de chercher des survivants, de non seulement rien trouver, mais en plus de tomber dans un piège éventuel. Les démons adorent utiliser la tristesse des anges pour les battre d'avantage. Henry demanda à Nolhan de faire apparaître des clones de eux même, et de les faire avancer jusqu'au centre du champ de bataille. Nolhan tendis  simplement son bras droit, et six clones apparurent, et les véritables anges disparurent.
      En même temps, Nolhan remarqua que l’ amplificateur que Rob lui avais offert était toujours a son doigt, et que celui-ci avait réagis de la même manière que sa marque.  Il Se découvrit d'ailleurs une autre variante de ses pouvoirs de création : il voyait à travers les yeux des clones, les contrôlais , pouvais même les faires parler. En réalité, les clones qu’il avait créé sont une partie de lui-même. Bizarrement, un tel pouvoir demande énormément d’énergie habituellement, mais la, Nolhan n'avais rien ressenti, comme si il avait puisé de l'énergie d'un autre corps, d'un autre objet.
L’amplificateur…
Rob n’avait pas fais un amplificateur a proprement parlé, mais il avait fais une batterie, une pile magique qui emmagasine de la magie prélevé sur son porteur, et qui lui permet de la réutiliser après.
    Il n’eu cependant pas le temps de révéler les pouvoirs extraordinaire de l'anneau a Rob, car le clone-Nolhan avait entendu du bruit, un léger gémissement sans doute. Un bruit trop faible pour être clairement interprété. Les faux anges tournaient donc vers l'origine de ce petit son. Après quelques mètres, ils trouvèrent un cadavre dont on voyait encore un peu de peau sans coupure et sans sang. L'ange était vivant.
     Nolhan rompis le sort, et ordonna violement à Auror de se rendre sur place grâce à la vitesse dragon, de le prendre et de le ramener. Elle commença par sortir son armure, mais Nolhan l'arrêta aussitôt.
« Tu n'as pas le temps de te préparer. Tu dois y aller tout de suite. Il ne vas pas tarder a rendre l’âme.
-Si c'est un piège, je dois être préparer.
-Ce n’est pas un piège, mes clones ne se sont pas fais attaqué.
-Bon les amoureux, c’est quand vous voulez pour nous aidez. » c’était Henry qui a la grande surprise de Nolhan comme de Auror avait prononce c’est mots. Le merlin avais utilisé son pouvoir de téléportation pour aller secourir le blesser et le ramener. Alpha et oméga commençaient déjà à le guérir, mais vu la quantité de blessure, cela prendrais du temps, même à deux. Rob pendant se temps courrait dans tout les sens, affolé de ne pas savoir que faire. Auror lui attrapa le bras et lui ordonna de faire le tour rapide du périmètre pour trouver d'autre blessés. Pendant ce temps, Auror se préparais à défendre les deux cygnes, Henry se téléportait a droite et à gauche pour trouver d'autres rescapés, Nolhan se préparer lui aussi à se défendre. Et la suite des événement leur donnèrent raison.
*
       Henry venais de réapparaitre juste à la droite de Auror, et Rob arriva en courant à côté de Nolhan.
« Aucun autres survivant. » dirent ils en cœur. Alpha et oméga c’étaient levé, avaient quittés le blesser, qui gisait encore à terre. Il commencèrent par garder le silence, jusqu’à ce que Auror demande son état générale.
« Il devrait s'en sortir sans mal par rapport au physique, mais il délire encore.
-Son état émotionnelle est catastrophique et l'on ne peut rien pour lui.
-Par contre si on arrivait à le guérir de cette état désastreux, il n’aurais aucun mal à nous expliquer ce qu’il c’est passé.
-Mais Je ne sais pas si quelqu’un arrivera à le sortir de sa torpeur.
-Il gémit assez souvent, alors que ces blessures sont fermés.
-Nous pensons que ce n’est pas un bleu comme les autres.
-Ce devait être leur guide.
-Il as perdu quelque chose de bien plus cher que ses hommes.
-Si quelqu’un a une idée.
-Nous nous avons déjà essayer mais cette état de paranoïa ne pourrai même pas être guéri par un trône avec ses pouvoirs. »
    Les deux jumeaux parlais l’un après l’autre, chacun complétait les propos de son frère. 
  A la fin de leur petit monologue en duo, il y eu as nouveau un blanc particulièrement dérangeant, avec les gémissements du bleu en arrière son.
   Finalement, Nolhan s’approcha du blesser, s' agenouilla, et tendit sa main au dessus de sa tête, puis il ferma les yeux, et ses marques se mirent à rougirent.
    Le bleu ouvrit les yeux la seconde d' après, et regarda autour de lui, l’air de dire qu’il allais bien.
   Auror s'approcha de l'assassin, et lui demanda par quel miracle il avait fais sa.
« Ben j’ai utilisé mon pouvoir de disparition. Pour l’instant, j’ai fais disparaître ses maux, mais sitôt que j’aurai plus de force, il les retrouvera. Ton boulot maintenant est de lui dire ce qu’il vas ce passer, de lui dire de lutter quand la douleur reviendra. Je ne pourrai pas le protéger longtemps, donc dépêches  toi. »
     Auror commença donc à parler au survivant, lui demanda son nom, ce à quoi il répondis qu’il s’ appelait Arthur, qu’il était un merlin, et qu’il faisais partit de la troupe des samouraïs.
   Bien que l’ incompréhension s’installa dans l’esprit de Auror et de ses compagnons( un merlin, venant des samouraïs, ici ?), elle fis ce que Nolhan lui demanda de faire : le prévenir, lui dire quoi faire, et pourquoi.
   Lorsque Arthur répondis qu’il comprenais et qu’il ferais de son mieux, Auror se retourna vers Nolhan, qui tentais d’économiser ses forces, pour lui dire qu’il pouvait relâcher la pression.
     Lorsque la marque autour de l'œil de Nolhan redevient noir, Arthur  se raidit, et lorsque celle de la main reprit sa couleur normal, le survivant se mis à gémir.
     Bien que rien ne pouvait être fais, toute la garde céleste se tenais à ses côtés, impuissants. Cela se voyait que Arthur souffrais, mais ça se voyais aussi qu’il se battait pour se libérer.
¤
   Petit cours de magie : empoisonnement mental :
     C’est un sort découvert pendant l'antiquité par l’un des seigneurs démons de l'époque : Janus lupus. C’était un sorcier, et il avait découvert que le meilleur moyen d’assurer une mort douloureuse à ses ennemis était l’empoisonnement mental. Il s’agit d’un sort qui supprime toutes les sensation externes ( vu, gout, audition, touché), et qui en impose d'autre, tel que la morsure, la paralysie, la brûlure, la coupure, les sons stridents, les goûts acides et amère, et la vue d'images variant celons les peurs de chacun.
   Il s’agit de l’un des sorts démoniaque les plus compliqué à contrôler, mais dont le résultat est sans appelle. Le seul moyen de s' en sortir est de parvenir à retrouver le contrôle de l’un de ses  sens, par n’importe quel moyen.
¤    
    Cependant, Arthur ne semblais pas réussir a retourner dans la santé. Nolhan venais de se relever, et demanda les nouvelles à Auror. Celle-ci répondit qu’il n’avait toujours pas réussi à ressentir la moindre chose.
    Nolhan ne comprenais pas vraiment. Pour s’en sortir, Arthur devait ressentir quelque chose? Eh bien, mais il suffisais de lui faire mal alors.
    Il donna un bon coup de pieds dans l’entre jambe du merlin a terre, et celui-ci se recroquevilla sur lui en un instant, hurlant de douleur. Puis Nolhan se retourna et donna une petite tape amicale sur les deux cygnes en disant gentiment :  « faites votre boulot ».
    Toute la garde céleste était stupéfait par ce que Nolhan venais de faire, mais après avoir franchi l'étape d' incompréhension total vint le rire incontrôlable. Arthur ne pouvait plus bouger. Sa douleur était bien pire que toutes les douleurs inspirés par le sort d’empoisonnement, mais bon sang, qu’es ce qu'il était content que le sort de guérison existe…
    Alpha et oméga faisaient leur boulot tout en rigolant un maximum. Ils ne rigolaient pas parce que c’était une blague stupide de gamin, enfin si, un peu, mais ils rigolaient surtout parce que le geste était tellement simple, évident et radicale qu’il ne s’ attendaient pas du tout à ce que se soit si facile  de sauver Arthur.
     Quelques instant plus tard, alpha, oméga et Arthur se relevèrent, heureux d’avoir réussi à sortir le merlin de sa souffrance. La garde céleste pouvait enfin respirer, l’ange était sauvé. Malgré cela, deux problèmes subsistaient : le carnage, et la présence d’un samouraïs ici.
   « je vais commencer par vous expliquer pour quel raison vous avez du me sauver.
     Il y as environ trois jours, je suis arrivé ici. Sans doute était je attendu car ils me firent  quasiment une ovation, et me traitaient comme un roi. Ils attendais des messagers des trônes, qui devait leur réparer leur matériel de communication. Malgré le fait que se ne fus pas moi qu’ils attendaient, et que ils furent tous dessus, ils me permirent de rester avec eux un laps de temps relativement court : environ une semaine, afin de pouvoir remplir ma mission. Cependant, deux jours plus tard, c’est-à-dire hier, dans la matinée, le campement fus sauvagement attaqué par des démons. Il y avait de tout, sauf des attrapeurs, ce qui les forcèrent a nous anéantir.
Nos troupes, bien quels aient été courageuses, n’était pas assez entrainé pour combattre autant de démons. Nous fûmes rapidement encerclés, et plus de la moitié de nos effectifs étaient déjà au ciel.
    Soudain, les démons cessèrent le combat, et ce qui était sans doute leur chef, un sorcier, s' avança. Il commença a demander qui était l'assassin dans les rangs. Il lui ordonnait de sortir. Mais comme personne ne semblais être assassin, il s' arrêta devant moi, et me demanda, tout à fais poliment, de bien vouloir dénoncer l'un des anges qui m'avaient accueilli. Sans doute pensait il que son intimidation fonctionnerait, mais il ne reçut en retour que le retour au combat.
   C’est moi qui dirigeais cette bataille perdu d'avance, et ces pour cela qu’ils ne me tuèrent pas de suite, ils m’ont donc jeté ce sort, puis son répartit, laissant leur morts sur le champ de bataille où gisent les nôtres. Ensuite vous êtes arrivés, et la suite n’as pas besoin d’être rappeler.
-Et pourquoi un samouraïs, alors qu’ils sont censé avoir du travaille au Japon, c’est il retrouvé ici ?
-J’imagine vu que c’est vous qui étiez censé nous rejoindre, que vous savez que les démons dont l’ont devais trouver la trace et arrêter les agissements sont partis de notre secteur. Nous nous doutions que c’était pour vous, donc j’ai été envoyé chez les bleus afin de vous prévenir qu’un odieux piège se dresse devant vous. La bataille dont je suis le seul survivant en est la preuve. Je pense qu’ils ont peur, peur de l'assassin, peur de vous. »
    En finissant sa phrase, Arthur désigna Nolhan du doigt. Ce dernier était certainement étonné étant donné qu’ils ne lui avaient rien dis sur leur identité. Mais qu’importe… voici la suite du monologue :
« Enfin bref, j’ignore pour quels raison ils ont peur de vous, mais ils sont bien décidé à vous éliminer. Ils vont sans doute sois revenir, sois vous attendre quelque part. Vous allez devoir faire très attention, car je doute finalement qu’ils ne savent pas où et qui vous êtes.
-Nous ferons attention, mais commençons par brûler les corps de nos morts comme il se doit, puis nous partirons. Si il s’agit réellement d’un piège, notre mission est de tomber dedans pour les détruire. Vous devriez retourner dans votre famille a présent.
-Certainement pas. J’ai ordre de venir avec vous.
-Ordre de qui ?
-De Lero, trône de l'espoir.
-Et à quoi nous servirez vous ?
-Mon pouvoir spécial vous sera d’une grande aide : je détecte tout pièges dans un périmètre de cent mètre environ. »
*

la créature incompriseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant