⛔️ ATTENTION ⛔️
Ce chapitre contient des mots à caractère sexuel pouvant choqués certain lecteurs. Âmes sensible s'abstenir.
Point de vue de Louis:
J'avais abandonné Summer en plein milieu du couloir comme une veille chaussette. Quand je suis rentré au vestiaire, mes camarades m'ont porté sur leurs épaules criant mon nom. J'étai heureux, mon t-shirt n'était pas trempé de ma sueur mais de champagne qui éclaboussé partout dans la pièce. Mais une fois l'euphorie du moment finie, mon moral retombait dans mes chaussettes. Tout le monde voulait aller boire un verre mais je n'avais pas la tête à faire la fête pourtant je venais presque de signer mon entrée dans un club de professionnel... Bon aller juste une bière. Je n'ai eu le temps de prendre une vulgaire douche, que tout le monde me poussais pour que je me dépêche. A la sortie du vestiaire, je vis Summer qui m'avait attendu tout ce temps... Elle s'était invitée toute seule à la fête alors que c'était la seule fille. En sortant je cherchais des yeux la voiture d'Harry mais il semblait déjà partit à mon plus grand désespoir.
Nous avons marchés à peine cinq minutes dans la ville à la recherche d'un bar ouvert pour fêter la victoire de l'équipe et mon but. La bière coulée à flot à notre table. Moi qui n'avais pas envie de faire la fête j'étais encore au même endroit deux heures plus tard alors que presque toute l'équipe était déjà partie. « Louis on va rentrer ? Il est presque onze heures. » J'étais saoul ou presque. Ma vue me jouait seulement quelque tour mais je tenais encore sur mes jambes. Je saluais les derniers joueurs et nous quittons le bar bras dessus, bras dessous.
A pied, nous étions rentrés presque vingt minutes après notre départ de la fête. Je montai les escaliers sans allumer aucune lumière cette fois-ci. J'étais presque à quatre pattes pour monter ceux-ci. Summer m'a évité à plusieurs reprise de me taper la tête dans les murs que je trouvais vachement étroit ce soir. Je me jetai sur mon lit, couché telle une baleine échouée. Je sentis son poids s'appuyer au creux de mes reins et son rire strident raisonner dans mes oreilles. « Je suis fier de toi, tellement fier. » J'avais l'impression qu'elle était en mode répète depuis tout à l'heure. Je souris même si j'avais la moitié de mon visage affaissé dans la couverture. Je commençais à m'endormir quand je sentis ses lèvres chaudes se plaquées contre les miennes. « Ne me dit pas que tu vas dormir... » Je ne bougeai pas pour autant.
J'avais compris ce qu'elle disait sans trop comprendre. Enfin si, jusqu'à ce qu'elle me retourne violemment sur le lit pour que je lui fasse face et qu'elle retire sa robe. En un quart de seconde la voilà en sous-vêtement sur moi. Je laissai perdre mes mains sur son corps qui sentait bon le monoï pendant que nos lèvres bougeaient ensemble. Son souffle devenait presque étouffant, peut-être que ses vêtements la serrée de trop ? Mais elle n'en avait plus. Je fis donc glisser mes mains derrière son dos pour dégrafer son soutien-gorge qu'elle enleva à ma merci.
C'était plus qu'un baiser endiablé qu'elle me donnée à présent et je commençais à sentir mon érection se former dans mon short. Elle déposa des baisers tendres dans mon cou et mon torse jusqu'au bas de mon ventre. Ses doigts se glissèrent délicatement sous l'élastique de mon boxer pour le faire glisser le long de mes jambes en même temps que mon short. Sa main chaude entoura mon membre qu'elle s'empressa de mettre dans sa bouche enchaînant les vas et viens. C'était une sensation inexplicable. Je poussai un soupirement lourd à chaque fois que sa langue passait doucement sur ma verge. C'était la meilleure pipe qu'on m'est faite de toute ma vie. Je laissai mes paupières se fermaient pendant que mademoiselle était à genoux par terre.
- « Harry... » Soufflais-je
- « Pardon ? » Bafouilla-t-elle en retirant mon sexe de sa bouche. Je levai un peu la tête pour trouver son regard « Tu m'as appelé Harry ? C'est qui ça ? »
- « Non... Non je n'ai pas dit ça. J'ai dit... Vas-y. »Elle ne bougeait pas, son regard en disait long que ce qu'elle pensait. Elle se releva en vitesse ramassant ses vêtements sur le sol. Je me rassois sur le lit en la regardant faire, essayant de la retenir mais j'avais l'impression que plus j'ouvrai la bouche plus elle avait envie de me tuer. Je n'ai pas eu le temps de compter jusque dix qu'elle était déjà partie de chez moi en claquant la porte à minuit. Je laissai le haut de mon corps tombé sur le lit, épuisé. On verra tout ça demain, je n'ai plus les idées clairs.
Point de vue d'Harry
Nuit de merde. Je n'ai pas fermé l'œil de la nuit et mon reflet dans le miroir me le confirme encore plus. J'ai l'air d'un mort vivant avec ce teint blanc et ces cernes noir sous mes yeux. Je traînai des pieds se matin, chaque geste me demandai un réel effort. Un café bien corsé changera peut-être quelque chose. Merde il est déjà l'heure de partir. J'emportai donc ma tasse avec moi dans la voiture. J'avais les yeux rivés sur la route mais je n'y prêtais pas vraiment attention. Il ne fallait mieux pas qu'un chevreuil traverse la route car je n'aurai pas le réflexe de freiner. Je n'avais toujours pas ouvert la bouche depuis que je m'étais réveillé mais j'avais cour fallait bien que je parle. En passant à la salle des professeurs je jetai un coup d'œil à mon emploi de temps : je commençais par la classe de Louis. Je marchais, toujours à la vitesse d'un escargot jusqu'à la salle qui m'étais réservé. Assis devant mon bureau, je regardais dans le vide en attendant mes élèves qui commencer doucement à arrivés. Je fis le plus vite possible l'appel et je me rendis compte que Louis n'était pas là. Au moment où j'énumère son prénom je sentis le regarde vicieux de Zayn se poser sur moi mais je restais froid, sans sentiments quelconque à son égard. Pour calmer son vilain sourire, j'annonçai une interrogation surprise pour qu'ils puissent tous me foutre la paix et que je n'ai pas besoin de jacter dans le vide pendant une heure. Ils étaient soudainement tous devenu d'une humeur exécrable comme moi : bienvenue.
Voilà presque une demi-heure d'écroulé, toujours dans un silence parfait, je manquais à plusieurs fois de m'endormir sur mes feuilles. Heureusement quelqu'un frappa à la porte. C'était Louis.
- « Désolé d'être en retard. » Il affichait encore une plus mauvaise mine que moi
- « Tu sors, je ne veux pas de toi ici. »
- « Quoi ? Mais pourquoi ? »
- « Parce que la moitié de l'heure est écroulée, je ne suis plus obligé de t'accepter dans mon cour. » Crachais-je en revenant à mes feuilles de correction.Je le vis rester quelque instant avant de disparaître derrière la porte. Je levai les yeux sur mes élèves qui me dévisagés presque tous à présent.
- « Un souci monsieur Malik ? » Demandais-je sans gêne en le voyant marmonner
- « Vous savez ce que je pense, mais je vais rien dire parce que ça risque de m'énerver. »
- « Sage décision. »
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Teach me - Larry Stylinson (terminé)
FanficMonsieur Styles, apprenez-moi à vous aimez. Ce n'est pas l'élève qui vous le demande.