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Point de vue de Louis:
Je n'avais qu'une envie c'était que ce samedi après-midi à faire les courses avec ma mère passe vite et que Zayn vienne me chercher pour qu'on parte. Je profitais de ce moment pour demander ce qu'elle faisait ce soir. J'appris qu'elle était de sortit avec son mec : merci de me prévenir que maintenant. Je la tenue au courant que j'allais dormir chez Zayn et elle émit une légère réticence. Mais comme d'habitude j'ai réussi à la convaincre.
Le soir venu, j'attendis qu'elle parte avec Steve pour commencer à me préparer. S'il elle me voit partir avec une belle coiffure, bien habillé, parfumé elle va se douter de quelque chose. A peine la porte refermée derrière eux, je courus à la salle de bain pour rattraper mon retard. Je me mettais un dernier coup de laque quand j'entendis Zayn klaxonner en bas de chez moi. Je courus à ma chambre débrancher mon portable qui était en charge et je jetai un dernier coup d'œil dans le miroir avant de descendre.
- « Cendrillon ? C'est toi ? » - « Ferme là. » - « Tu comptes conclure ce soir ou quoi ? Tu t'es fait beau pour moi ? Ah non pour Sum... » - « Prononce son nom et je te fais bouffer ton volant. » Crachais-je sérieusement ce qui le fit redescendre en pression.
J'avais l'impression que c'était la femme de ma vie cette fille. Pourtant ce n'était qu'une histoire de plus, une fille ajouter à ma liste et lui il en faisait des tonnes. Pourquoi ?
On passé prendre Niall sur le chemin et nous allions chez Jelena. A première vu il semblait avoir une bonne ambiance, on entendait la musique de 'l'autre bout de la rue et le jardin devant était bonder de monde qui prenait l'air et fumés. Un peu intimider nous traversons toute cette foule pour rentrer à l'intérieur se servir un verre sans gêne avant de tomber sur Jelena qui était... Bien foutue. La musique qui passée était bonne. Très vite je pris place sur le canapé pour siroter mon verre tranquillement en regardant les autres danser et discuter. Niall me rejoint très vite, il avait perdu Zayn de vu. Il me montrait quelque truc un peu inintéressant sur son téléphone.
Un verre, deux verres, puis presque une dizaine étaient passé dans mes mains avant que je me sente saoul. Je me levai avec du mal en zigzagant entre les personnes pour atteindre la piste de danse où je perdu contrôle de mon corps. Tout le monde était défoncés par l'alcool ou la marijuana qui tourner dans la maison. J'attrapai le joint dans la bouche de quelqu'un pour tirer une taff avant de lui rendre et continuer ma danse sans aucune pression.
Ma main avait trouvé quelque chose de doux à caresser et mes narines une bonne odeur à reniflée. Ce n'était rien d'autre de Jelena qui danser contre moi, ma main sur sa cuisse et mon visage dans son cou. Toute cette chaleur et la fumée qui stagnée dans la pièce me donner la nausée. Je frayai mon chemin entre la foule pour aller respirer dehors en allongeant dans l'herbe.
- « Tu tapes le mal ? » - « Summer ? C'est toi ? » Dis-je avec du mal en me redressant. Elle prit place à côté de moi - « Tu es pitoyable dans cet état. » - « Je ne sais pas ce qu'il m'a prit, c'est arriver d'un coup. » Elle baissa la tête et une mèche de cheveux est venue cacher son sourire - « Pourquoi tu ne m'as jamais rappelé ? » - « Je...» je me retournai pour regarder ce qu'il se passé derrière nous «C'est pas trop le bon moment pour parler de ça tu crois ?» Ses yeux me tuaient du regard et je compris que je n'avais pas le choix de lui donner une réponse«Parce que tu semblais ne plus avoir envie de me voir. » - « Je regrette. Je n'arrive pas à t'oublier. » - « Tu as quelqu'un d'autre dans ta vie, tu vas changer tu verras. » - « De quoi tu parles ? Je suis seule. » - « Zayn m'a dit qu'il t'avais vu tenir la main à un mec l'autre jour... » - « De quoi ? Jamais de la vie ! » Rigola-t-elle « J'ai eu personne depuis toi Louis, et je ne veux personne d'autre que toi je crois. » - « Non Summer, je... Je ne suis pas celui qu'il te faut, crois-moi. Je ne sais même pas moi-même qui je suis. Je suis dans une période assez bizarre de ma vie en ce moment. » - « Tu me crois si je te dis que je commençai à oublier ton visage ? » - « Tu n'aurais pas dû venir. Je commençai à oublier le tien aussi.»
Je prétexté ma soif comme excuse pour partir précipitamment. Je manquai de tomber en me relevant sur mes deux jambes. En entrant à l'intérieur je cherchais surtout Niall et Zayn mais je ne les voyais pas, pourtant je voyais chaque visage en double, je n'aurais pas pu les louper. J'avais envie de rentrer mais je n'arrivais plus à marcher. Je poussai la première porte que je trouvai à l'étage et par chance c'était une chambre. Je me laissai tomber sur le lit en fermant les yeux. Je sentais la Terre tourner autour de moi, et cette sensation d'être sur un bateau flottant sur une mer agitée... J'essayai de reprendre mes esprits.
Point de vue d'Harry
J'avais envie de prendre mon téléphone et de le jeter contre le mur tellement j'avais la haine qu'il ne sonne pas. Sa faisait près de trois heures que j'étais accroché à lui et je n'avais toujours aucunes nouvelle de Louis. Pourtant j'ai rallumé mon téléphone plusieurs fois par peur que mon réseau soit bloqué mais je n'avais rien : ni message, ni appel. Je pense que c'était signe que la soirée se passée bien pour lui. Pour moi c'était la catastrophe. Le fait de stresser comme ça, me faisait m'enfermer dans une bulle ce qui fit éclater une nouvelle dispute qui me passais au-dessus de la tête.
- « Qu'est- ce que tu me caches ? C'est quoi ces sauts d'humeurs ? Je ne te reconnais plus Harry... » - « Moi non plus... » Dis-je à voix basse - « Hier ont été si heureux de se retrouver on a fait l'amour et ce soir tu... Je ne peux même pas t'adresser un mot sans que tu me parles comme un chien. J'ai l'impression que toute notre relation est en train de partie en fumée et tu ne fais rien pour arranger les choses, bien au contraire... Je peux partir trois jour, deux semaines, tu t'en fou. Tu ne prends pas de mes nouvelles, tu ne me demandes pas où je suis, ni avec qui.» - « Parce que je m'en fou. J'ai envie d'être seul en ce moment alors tu devrais repartir quelque temps, je ne sais où comme tu dis.» Crachais-je sans lâcher mon téléphone du regard
La porte claqua puis je me retrouvais seul chez moi, tant mieux sinon je crois que ma tension allait exploser un peu plus.
Dans mon salon je tournai en rond, je regardais par la fenêtre sûrement en espérant le voir arriver même si je savais que c'était quasi impossible : il avait mieux à faire. Je n'avais même pas son numéro pour prendre moi-même de ces nouvelles et je ne sais pas où habite cette Jelena. Je perdais tour espoir au environ de deux heures du matin. La pression redescendait, je me rendais à l'évidence que je ne le verrais que lundi matin. Figé dans mon canapé, mon téléphone se mit à sonner. « Allô ? Louis c'est toi ? »
