Ce chapitre contient des mots à caractère sexuel pouvant choqués certain lecteurs. Âmes sensible s'abstenir.
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Point de vue de Louis
- « Harry je sais très bien que le fait que tu sois mon professeur et moi ton élève te mette un frein, mais au bout d'un moment ça... » - « Au bout d'un moment ça va quoi ? Ça va casser ? Tu vas me rejeter ? Regarde comment tu me changes Louis... Je me retiens de pleurer pour garder ma fierté d'homme devant toi mais... Mes sentiments se multiplient de jour en jour et je... Je n'ai aucun contrôle sur ça, je n'ai pas envie que tu me trouves envahissant, j'ai envie de te laisser ta liberté aussi. » - « Ecoute-moi. » Dis-je péniblement en prenant mon air le plus sérieux « Si je ne tiendrais pas à toi, je ne serai pas chez toi ce soir, d'accord ? Je ne t'embrasserais pas non plus et j'en n'aurais pas l'envie. Maintenant si... » - « Tu as envie ? » Me coupa-t-il - « Oui. Souvent mais... »
Pour la deuxième consécutive je ne pus terminer ma phrase qu'il colla ses lèvres aux miennes. Un nouveau nuage de papillon pris envole dans mon bas ventre alors que ma tête elle prenait feu. Harry laissait doucement le haut de son corps s'aplatir contre le matelas ce qui m'obligeais à me lever pour ne pas interrompe ce si doux baiser. Ses mains sont venues se coller au creux de mes reins, m'indiquant le chemin pour me positionner au-dessus de lui. Prenant appuis sur mes avant-bras, ses mains descendaient doucement sur mes fesses.
Point de vue d'Harry
Chacun de mes gestes étaient pensés et lent pour éviter qu'il ne se braque trop vite. Mes mains sur son postérieur ne semblait pas le gêné même si j'ai sentis une légère résistance au niveau de ses lèvres pendant qu'il m'embrassait. J'avais besoin de savoir ses limites et peut-être que lui aussi voulait les savoir. Ce baiser était devenu endiablé. Tellement, que j'en arraché presque les cheveux de Louis qui me rendait dans un état d'excitation pas possible. Je savais que c'était à moi de diriger cette situation par son manque d'expérience et ça ne me déranger aucunement.
Je n'avais pas envie de faire le sauvage, celui qui est en manque de sexe depuis des semaines même si j'avais qu'une envie c'était de lui faire du mal tout en le faisant jouir. Il fallait que je me contienne, ce que je réussi à faire un peu près. Je me décalai sur le côté pour qu'il s'allonge à son tour sur le lit et je passai délicatement ma main sous son t-shirt à la recherche de ses tétons. Sans que je lui demande, il ôta celui-ci et je profitai de cette vue magnifique. Il se mit à sourire en se mordant la lèvre inférieure avant de reprendre notre baiser là où nous l'avons laissé. Mes doigts caressaient chaque centimètre de sa peau qui était douce comme de la soie : c'était très agréable. Je sentais les frissons paraître sur sa peau quand je l'effleurai du bout des doigts depuis le haut de ses côtes jusqu'à ses hanches. Il se reculait parfois pour reprendre son souffle qui était devenu lourd et assourdissant. Je n'en pouvais plus, la braguette de mon jean était à deux doigts de craquer sous la pression de mon érection qui se formée dans mon boxer. Mais Louis ne semblait pas avoir envie de me déshabiller et moi je n'osais pas. En toute discrétion, je descendis mes mains vers mon pantalon pour défaire ma ceinture ainsi qu'ouvrir ma braguette pour me libéré de ce supplice.
Mon poitrine me faisait atrocement mal à présent, comme si un camion roulait sur celle-ci. C'est tout tremblant, et moins sûr de moi que je glissai mes doigts vers son jean. Je n'ai même pas eu le temps d'ouvrir son bouton, que ses mains avaient dégagées les miennes pour faire le travail, ce qui me surprit. Il fit glisser son pantalon le long de ses jambes en secouant celle-ci de haut en bas pour faciliter la chose. A peine les yeux ouverts, que cette énorme bosse dans son boxer m'interpella : il cachait bien son jeu bordel ! Cela me donna encore plus l'envie de lui retirer tout doucement pour faire durer le plaisir et me torturer l'esprit encore plus longtemps par la même occasion. Ça n'avait pas l'air de lui déplaire. Il était à présent nu, dans mon lit alors que moi j'avais encore tous mes vêtements... Malgré ceux-là, je sentais son érection toucher ma cuisse et je ne pus m'empêcher de me coller encore plus à lui pour la sentir le plus possible.
Nouvelle crise de panique : je n'osai pas descendre vers son entre jambe. Alors que nos langues s'entremêlaient, je cassai ce baiser en tendant mon cou à Louis pour qu'il m'y laisse des baisers. En vérité c'était juste pour jeter un coup d'œil à ses parties intimes qui étaient... Je n'ai même pas de mots. Je sentis mes yeux devenir blanc face à cette vue qui me mettais hors de moi. Je lui dévorai presque les lèvres tellement qu'il me donnait envie de faire des choses avec mon corps auquel je n'avais jamais pensé. J'inversai la tendance, en me positionnant au-dessus de lui, descendant doucement dans son cou, puis vers ses tétons que je léchais au passage, jusqu'à son bas ventre.
- « Harry non ! » Dit-il d'une voix toute à fait normale en se rasseyant dans le lit, me faisant face « Je ne peux pas, désolé. » Je m'en suis ouvert la lèvre tellement que j'ai mordu celle-ci sous l'effet de ses paroles qui m'ont fait voir du noir quelque instant.
- « Ce n'est pas grave. » Dis-je en offrant mon plus beau sourire « Je comprends. »
Ce moment mis un froid entre nous et autant dire que la position dans laquelle nous étions n'arranger rien. Lui était nu, assis au bord du lit et moi j'étais à genoux face à lui. A première vue il n'était plus excité comme il y a deux minutes et ça m'avait aussi coupé l'envie. Ses mots et ces circonstances me faisaient passer pour le mec sale, pédophile et égoïste. Il semblait pourtant apprécié le moment... C'était donc ça sa limite ? D'accord.
