J'aime mon Prof...♥️

Chapitre 13: rencard partie 2

-William: Hey! Princesse, on se réveille!

J'ouvrais doucement les yeux, et me redressa.

-William: On va manger?

Encore dans le gaz, j'acquiesça et étira mes bras. Mon pull laissais apparaître mon ventre, soudain il me pinça à cotés du nombril. Je laissa échapper un couinement, surprise.

-Moi: Kya!
-William: Hahaha!

Il explosa de rire. Je rougis, et lui donna une petite tape sur l'épaule. Je descendus de la voiture, on étais en plein centre-ville. Je ne savais pas du tout où je me trouvais, je n'avais pas spécialement besoin de le savoir, là, j'avais juste faim! Je crevais la dalle!

-William: J'ai pris une table dans un resto pas loin, il me semblait sympa.
-Moi: Euh..j'ai pas d'argent, enfin pas beaucoup, je sais pas si j'arriverai à payer..
-William: C'est moi, qui paye bébé!

Mon cœur loupa un battement, ce surnom..Trop mignon.! Arrêtez Laura! C'est ton Prof, tu es son élève! Même si pour le moment, je m'en fiche pas mal.
On se dirigea vers le restaurant, puis on s'installa à un table, de deux personne, dans un coin confortable et isolé.
Un dîner en tête, pourquoi fait il tout cela pour moi alors que je l'aime déjà, et qu'il le sais? Ce type m'intrigue.. Il n'est pas comme les autres. J'adore ça!
Un serveur nous interrompu en nous amenant les menus.

-Serveur: Tenez les menus, vous souhaitez boire quelque chose avant?
-William: Un bon vin rouge, et toi?

Du vin? Je vais passer pour une gamine, si je prend un ice tea mais en même temps je bois jamais de vin. Qu'est que je dois faire?
Il me regardes tout les deux, attendant ma réponse, je deviens mal à l'aise et essais de balbutiais quelque chose, en bégayant, Sinon c'est pas marrant.

-Moi: Euh..bah un b..bon enfin un verre.. de, de jus de fruit..

William se retient de rire, tandis que le serveur me regarde sans vraiment savoir quoi faire.

-William: Elle va prendre un jus de fruit.
-Serveur: Bien, ananas, abricot, pomme, ou bien.?
-Moi: Ananas! ... s'il vous plaît..
-Serveur: Bien! Je reviens.

Il repart. Le sourire de William s'élargit encore plus.

-Moi: La ferme!

Merde! Je place ma main devant ma bouche, me rendant compte de ce que je viens de lui sortir.

-William: Mademoiselle Smith, seriez vous stresser? Mal à l'aise? Gênée?
-Moi: Pas le moins du monde Mr Thomson.. tout va très bien, dans le meilleur des mondes.
-William: C'est ça.
Je l'ignore, et me concentre sur le menus, le serveur nous ramènes nos boissons et nous laisses finir de choisir.

-William: Hum.. J'ai pas d'idée..

Je l'observe. Il réfléchie, en passant sa main sur sa barbe de quelques jours. Ce gars ne se rend pas compte de l'effet qu'il me fait, et de l'effet qu'il fait à toutes les femmes autour de moi. Certaines ne se préoccupent quasiment plus de leur mari, les serveuses manquent de faire tomber de leurs plateaux louchant à moitié sur mon Prof. Elles sont pathétiques, mais bon je dis ça mais je ne peux m'empêcher de faire pareil.
Soudain il lève les yeux vers moi, son regard croise le mien, et des palpitations m'envahisse de partout. Je suis pathétique.

-William: Que vas tu prendre?
-Moi: Hein?! Euh..

Trouve un truc! Trouve un truc! Ah! Ça c'est bien, ça!

-Moi: Un steak avec un œuf à cheval, et des frites avec du ketchup!

Il sourit.

-William: Ah? Pas de salade?

J'arque un sourcil.

-Moi: Pourquoi?
-William: Pour rien, haha.
-Moi: Je ne suis pas du genre de toutes ces nanas qui veulent et S'obligent à rester minces comme des cure-dents! Alors salade, très peu pour moi!
-William: Je préfère ça!

Je lui sourit.

-William: Je vais prendre comme toi, tiens!
-Moi: Vraiment? Et la salade alors?

Je souris avec sarcasme. Il arque à son tour un sourcil vers moi.

-William: Pour la même raison que toi.

Je laissa échapper un petit rire, et déposa le menu à cotés de moi. Il fit de même.
J'en profita pour boire un peu de mon jus de fruit, très bon! Et très frais. Lui sirotais son verre de vin.
Honnêtement qui aurait cru que quelqu'un comme lui invite quelqu'un comme moi dans un magnifique restaurant. Des mots sortirent de ma bouche sans que je m'en rende compte.

-Moi: Pourquoi?

Il prit un air interrogateur.

-William: Pourquoi, quoi?
-Moi: Pourquoi tu m'as invité moi alors que..y a plein d'autres filles qui..

Il plaça sa main sur la mienne, cela me déstabilisais, je rougis immédiatement.

-William: Des filles qui quoi?
-Moi: Des filles beaucoup plus belles que moi, et moins jeunes, avec qui tu pourrais être heureux et..

Il se pencha vers moi en fronçant les sourcils.

-William: Est ce que tu te fiches de moi?

Je ne savais pas quoi faire, ni quoi dire non plus.

-William: Laura! Tu n'est pas belle, tu es magnifique! Certes tu n'as que 16 ans mais et alors?! Et tu me rend heureux! Je n'ai pas besoin des autres femmes, ni des autres filles, et ce n'est que le début.

Je me sentais bête. Je détourna le regard, il serra ma main plus fort.

-William: Et plus, tu es amoureuse de moi!

Son sourire en coin me fit sourire.

-Moi: hum..tu as raison..
-William: Comme toujours.

Je soupira, mais qu'elle idiot celui là, il avait le don pour me faire sourire.
Peu après le serveur arriva et prit nos commandes. On mangea tout en discutant.

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Pdv William.

À la fin, je paya le repas, et on repris la route pour la ramener chez elle.

-Laura: Je..je suis contente..pour aujourd'hui, Merci!

Elle m'a sortit cela d'une toute petite voix. Comment pourrais-je résister? Je lui adressa un sourire bienveillant. Je ne dis rien, je la laisse trifouiller ses mains, à stresser. Cela m'amuse. Je la trouve mignonne, elle a du caractère mais en vérité est toute timide.
Nous arrivons devant chez elle, je me gare pas loin de sa maison.

-Laura: Bon eh bien..je vais y aller..
-Moi: hum.. Tu te rend comptes que lundi, on devra faire comme si de rien été..
-Laura: je me rend compte, même si c'est dur à imaginer..
-Moi: Donc tout ce qui se va se passer dans cette voiture va être oublier?

Je la regarda avec mon petit air malicieux.

-Laura: Oublier.? Je sais pas mais, ce sera quand même dans un coin de ma tête.
-Moi: Ah.
-Laura: Bon au revoir, Mr Thomson à lundi!

Elle ouvrit la portière, je la retînt par le bras et lui donna un baiser sur la joue. Il ne lui en fallait pas plus pour devenir aussi rouge qu'une pivoine.

-Moi: À lundi, Mlle Smith!

Elle sortie de la voiture et partit en courant chez elle. Je voulais la troubler, j'avais réussi!