J'aime mon Prof...♥️

Partie II, chapitre 17

Il raccrocha. Je me laissa tomber sur mon lit. Effectivement il s'amuse bien et beaucoup. Et c'est qui cette jolie blonde de tout à l'heure?!!
Merde! Ça m'énerve! Je devient jalouse. Je n'avais pas du tout penser à la possibilité qu'il puisse voir d'autre femmes. Je ne pensais pas non plus qu'il sortirai dans des boites.. Ah! Je suis trop naïve!!
On est à New-York, idiote! Pas dans monastère remplies de moines bouddhistes ayant renoncé à toutes formes de plaisir charnel! Argh!

Sans réfléchir, je pris mon sac et ma veste et sortit. Je pris un taxi vers la 5eme Avenue et me précipita vers l'hôtel dont il m'avait parlé. Il faisait froid, nous étions bientôt dans la période de Noël. Je me rua sur l'hôtesse d'accueil.

-Moi: Hello, excuse me, but do you Know "Thomson"? William Thomson?
-Hôtesse: 2 seconds please..

Elle chercha sur son ordinateur et me sourit de façon robotique, blancheur colgate.

-Hôtesse: Yes, They are in the 271 rooms.
-Moi: Thanks!

Je partis sans lui laisser le temps d'ajouter quelques choses. Je m'enfonça dans l'ascenseur bondé de monde, et surtout de gros riches en costumes entourés de dindes gloussantes peu couvertes.
Un peu plus et j'explose!!
Arrivé aux bonnes étages, je courus dans le couloir en bousculant quelques personnes aux passages. C'était un couloir sans fin, avec un long tapis rouge, et de jolies vases remplis d'énormes bouquets de fleurs.
Oups.
J'en fis tomber un.
Bien joué Laura! Bon tans pis, d'abord il faut que je trouve William.
Je continua à courir, 269...270..271! Yes!
Je tambourina à la porte.

-Moi: Oh! Ouvre!

La porte s'ouvrit. Mon regard croisa celui de Thibault. Il me regarda de haut en bas. C'est là que je me tendus compte de ma tenue. Un jean un peu destroy, un t'shirt gris et une veste foncé et ma grosse écharpe crème que j'ai depuis 107 ans, donc pas le tailleur dans lequel il a l'habitude de me voir. Mes cheveux pareil, cette fois pas de brushing mais juste moi, au naturel pas coiffé..

-Moi: Bon..Bonjour..
-Thibault: On peut savoir ce que vous faites ici?
-Moi: Euh.. eh bien..

Tiens c'est bizarre? Où est passé toute l'assurance que j'avais pour trouver cette fameuse blonde du bar?

-Moi: Rien du tout! Je ne fais que passer!

Je m'avança vers lui, il se décala et je l'obligea à me laisser passer. La pièce donnait sur un superbe appartement, William était là, une bière à la main en compagnie de deux autres hommes. Quand il me vit, ses yeux se transformèrent en deux billes bien rondes.

-Moi: Surprise!

Je croisa mes bras sur ma poitrine et détourna les yeux.

-Gars1: c'est qui? Tu la connais?
-Thibault: Ma secrétaire.
-Gars2: Sérieusement?
-William: Laura..
-Thibault: Que faites-vous ici?
-Moi: C'est personnel.
-Thibault: Vous étiez blessé pourtant.
-Moi: Pas tans que ça! Et.. je...j'ai autre chose à faire!

Je m'avançais vers William et lui attrapa la main.

-Moi: Il fait qu'on parle!
-William: Très bien.

Il reprit ses esprits et on partis dans la salle de bain s'enfermer.
Je le gifla une fois seules à seuls avec Lui.

-Moi: C'est qui cette jolie blonde?!

Il sourit et se frotta la joue.

-William: Tu es jalouse?
-Moi: Non! Je voulais te faire une surprise et j'entends que.. que tu as parlé à une autre fille!
-William: jalouse!
-Moi: Non!
-William: Jalouse!
-Moi: Espèce d'idiot! Je t'ai dit que non!

Je voulais le frapper mais il attrapa mes deux poignets et me plaqua contre le mur.

-Moi: Lâches moi!

Je devins rouge pivoine. Son visage était bien trop près du mien. Son sourire en coin faisait accélérer les battements de mon cœur.

-William: Tu es jalouse! Comme cela est mignon!
-Moi: Will..!

Je ferma les yeux et avança mon visage vers le sien. Il ria.

-William: Tu veux que je t'embrasse?
-Moi: Oui.. C'est en parti pour ça que je suis venu.
-William: Même si les autres sont à cotés?
-Moi: Peu.. peu importe! Je m'en fiche! J'ai juste envie de toi!

Il sourit une nouvelle fois, une lueur espiègle était apparut dans ses yeux. Il me lâcha, desserra sa cravate.

-William: Tends tes mains.
-Moi: hum..

Il me retira ma veste, mon t-shirt puis mes baskets et mon Jeans. En dernier il dégrafa mon soutif.

-Moi: Qu'est ce que tu vas me faire..?
-William: Tu vas voir.

Il lia mes poignets ensembles et les leva au dessus de ma tête. Soudain ses lèvres se ruèrent sur les miennes. Il m'embrassa langoureusement et à pleine bouche. L'une de ses mains caressa ma poitrine tandis que l'autre descendus vers mon intimité. Je ne pus m'empêcher de gémir.

-Moi: Aaah..
-William: Chut.. on va t'entendre..

Il déboucla sa ceinture et descendus son pantalon. Sa main fit glisser ma culotte à mes pieds et me souleva en me pénétrant.

-Moi: Kya!

Je passa mes jambes autour de sa taille, et lui ses mains sous mes fesses. Ses mouvements étaient intenses, brutaux et hyper agréable. Je mordus dans sa chemise pour essayer de me taire. Lui suçota mon lobe d'oreille puis mon cou. J'en avais des frissons.

-William: Hum.. hum..

Je descendus mes bras autour de sa nuque et colla encore plus contre lui. Comme si j'en voulais encore plus, je n'en n'avais pas assez.
En plus qui aurait cru que je puisse faire des choses intimes avec mon supérieur à cotés, enfermé dans la salle de bain avec mon petit ami? Et qui plus est à New York!
Soudain il jouit dans un gémissement bestiale, je le rejoins en resserrant mes jambes autour de sa taille.
Nous étions tous les deux essoufflés, nos respirations saccadés se calmaient peu à peu. On ne se quitta pas des yeux, immobiles, l'espace d'un instant nous étions dans Notre Monde!

-Moi: Will..
-William: Laura.

Il sourit et m'embrassa doucement et se retira.

-William: Je compte sur toi pour te rhabiller, je vais aller leur dire de sortir. Reste ici.

Il pressa la poignée de la porte.

-Moi: William attend!

Il se retourna vers moi. Je devins rouge pivoine et détourna les yeux.

-Moi: Je.. Je.. D'accord..

Il souris et m'embrassa le front une dernière fois avant de sortir. Je me rhabilla rapidement et attendu que William revienne patiemment.
Eh bien moi qui croyais trucider William à cause d'une "blonde du bar qui paraissait sympa", voilà que je me suis retrouvé à faire des cochonneries avec mon beau brun dans la salle de bain avec mon boss et ses collègues à cotés! Argh! J'en peux plus de moi!
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