SHADOWHUNTERS
∴SYNOPSIS∵
❝ Celui dont le cœur est ressuscité par l'amour ne mourra jamais ❞
Proverbe persan.
《 _ Maman, j'aimerais vivre la même chose que toi et papa. Je veux être avec un garçon que j'aimerais autant que tu aime papa.
_ Nous a...
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∵ISAAC LAHEY∴
Putain, je n'en reviens pas qu'elle m'a foutu à la porte pour cette folle. Je suis fou de rage qu'elle ne veut pas assumer pleinement devant ces parents. Il faut toujours qu'elle se mette au milieu. J'aime sa fille et elle continue à me mettre des bâtons dans les roues. Je ferais mieux de m'en charger moi-même de cette affaire. Je vois dans ces yeux à qu'elle point elle est terrifiés que sa mère nous vois ensemble. Je m'en branle de ce qu'elle peut penser de moi si c'est ça qui l'inquiète. Je n'ai pas peur de lui faire face et lui dire ces quatre vérités en face. J'en ai rien à faire si elle le prend mal ou pas. D'un autre côté, je ne peux pas l'envoyer chier comme ça, c'est la mère de Malia et je n'ai pas le droit de lui manquer de respect. Déjà qu'elle ne même pas pour je ne sais qu'elle raison d'ailleurs, je ne veux pas aggraver mon cas. Je me retiens de faire demi-tour et de revenir rien que pour la faire chier. Il faut que je m'efforce à pensée à Malia et des conséquences si je fais une chose pareille. Elle a dit que ce n'était pas le bon moment, mais quand ça le sera ? Elle me reproche que je suis distant quand je suis face à ma bande mais elle s'est pire. Sa mère ne doit pas avoir son mot à dire, nous sommes ensemble, ça s'arrête là. Putain, elle a 19 ans bordel ! Il est temps qu'elle lui tête pour de bon et s'il faut que je sois à ces côtés, je serais là. En attendant, je me retrouve une nouvelle fois comme un con au à bord de ma voiture à rouler sans but dans la ville.
Le soleil commence à se coucher, signe qu'il faut que je me dépêche de faire quelque course à ma mère que je dépose au bas de sa porte quand elle n'est pas là. Malgré que nous nous sommes disputés dernièrement, je sais qu'elle a dû mal à finir ces fins de mois avec sa maigre paye. Cet enfoiré qui lui fait office de patron lui paye une misère. Et comme une imbécile, elle se casse le cul à travailler d'avantage, n'hésitant pas à faire des heures supplémentaires pour espérait en échange qu'il lui donne une prime. Tu parles, elle peut toujours rêver. Des enflures comme lui en a rien à foutre de savoir qu'elle vit dans un taudis depuis sa séparation avec mon père. J'étais content de l'apprendre. A présent, mon père vit seul comme un con. Il ne pourra plus nous faire du mal, c'est terminer pour lui. J''espère qu'il crèvera tout seul dans son appartement de luxe. Malgré tout, ma mère subit la pauvreté tous les jours, renonçant au confort d'autrefois. Elle s'en sort plutôt bien à ce qu'il parait. Toute ces amis lui ont tourné le dos mais ça n'a pas l'air de la déranger. Même si je ne lui dirais jamais, je suis content qu'elle ait pris cette décision de quitter cet enfoiré qui la frapper chaque soir quand il rentré bourré lors d'une des soirées de bourgeois à la con. Malgré les apparences, ils ne sont pas mieux que nous. J'ai baigné toute ma jeunesse dans ce monde corrompu. J'ai même perdu ma virginité avec l'une des filles du meilleur ami de mon père. Elle avait quelque année de plus que moi et moi, j'avais à peine 15 ans même si j'en faisais plus que mon âge. Elle insister tellement et elle faisait tout pour que je cède et j'ai foncé sans me poser de question dès que nos parents ont eu le dos tourné. Je ne me rappel plus de son nom et je sais encore moins ce qu'elle est devenu, car le lendemain, nous nous sommes plus jamais revus. Une fois qu'elle à ce qu'elle voulait, elle n'est plus revenu chez moi. Quand j'étais tout petit, bien avant que mon père se mettent à nous frapper, je voulais que ma première fois soit avec une fille que j'aimerais et que je passerais le reste de ma vie avec elle. Depuis, ma vision des choses à bien changer. Tout ceci, c'est volatilisé et j'ai fait tout le contraire, détruit par une enfance difficile. Chaque soir, dans mon lit, j'entendais ma mère pleurer, de la vaisselle ce brisée, des cris et des pleurs. Je me cachais sous ma couette comme si j'imaginais qu'elle allait me protéger de mon père. Maintenant que j'y pense, j'admire le courage de ma mère me forçant à m'enfermer à clé dans ma chambre avant que mon père ne rentre et elle m'interdisait d'ouvrir tant qu'elle ne m'a pas donné l'autorisation. Pourtant, rien ne pouvait empêcher mon con de père à me faire du mal. Dès qu'il en avait l'occasion, il m'enfermait pendant des nuits dans un placard à balais. Je pleurais au début puis après, j'essayais de penser au jour, quand je serais plus grand, que sa serait moi qui lui tiendrais tête.