Chapitre 27 ou l'irresistible Walter

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Chapitre 27 :

- Mes félicitations princesse.

   Walter pencha la tête, une invitation pour lui retirer son masque. Je défis le nœud à la base du crâne puis lui retira.

- C'est fou ce qu'un masque peut changer... Tu n'es ni alcoolique ni libertin.

- Je devais justifié mes rentrées au petit matin.

- Pourtant les servantes parle de toi comme l'amant qu'elles ont toutes eut, dis je presque accusatrice sous la brûlure de la jalousie.

- Certaines femmes veulent ce que les autres ont. J'ai eus pour amante cinq servantes alors les autres ont fait croire que j'étais passé chez elles aussi pour avoir le même prestige.

- C'est si froid, commentais je en le regardant dans le blanc des yeux.

    Je n'osais pas demander, étais je pareil à elles ? Un pion, non j'espérais bien que non.

- J'étais bien obligé, il est dure d'aimait le corps d'une femme quand tu penses à une autre.

- De ?! Quand as tu fais ça pour la dernière fois ?!

    Walter sourit en me tapotant le crâne, sa main sur ma taille remonta le long de mes côtés pour me rapprocher de lui.

- Il y a plus d'un an.

- Mais... Je ne suis Jo que depuis quelques mois.

- Je sais. Casa voulait que je t'intègre à la rébellion mais moi le premier je rêvais que tu comprennes notre cause. J'aime Joyce, sa douceur et son élégance, même si je critiquais je reconnaissais la force dont tu avais besoin pour sortir de ta chambre. Je me méfiais de ton chocolat j'avais besoin qu'une tasse sorte du palais pour faire un contre poison.

- Alors tu as réellement demandé deux chocolats ce jour là ?

- Oui, nous les nobles sommes tellement capricieux et tête en l'air que personne n'a osé dire que je me trompais.

   Walter m'embrassa les tempes puis les oreilles et la gorge, doucement je tirais sur mes liens, je voulais posé mes mains sur son torse.

- Et j'aime Jo, si courageuse, joueuse et intrépide. Jo est une femme qui ne panique pas d'être menotté en présence d'un homme qui pourrait utiliser cet avantage.

- Je me disais aussi : pourquoi tu ne me libérais pas ?

- C'est excitant d'avoir pour soi une guerrière soumise, finit il en m'embrassant d'une manière plus sauvage que ce à quoi il m'avait habitué.

   Je me laissais faire, je voulais ce baiser mais je tirais de toute mes forces sur les chaînes. J'entre-ouvris un œil pour voir que le socle allait céder. Je tirais encore, Walter le remarqua car il releva la tête mais je passais un bras par dessus sa tête. L'emprisonnant dans les chaînes.

- Tu as raison il est excitant d'avoir pour soi un guerrier enchaîné.

   Ses bras étaient coincé sous les chaînes.

- Ouvriras tu mes chaînes maintenant ?

   De la force de ses avant-bras il remonta la chaîne et m'attrapa des deux mains au niveau des hanches et me déposa sur le lit il tomba toujours enchaîné sur moi mais en faisant attention pour que les chaînes ne me fasse pas mal.

- Soumise et allongée, c'est parfait.

   Il commença à m'embrasser sur le décolleté. Je gigotais dans tout les sens mais n'arrivais pas à inverser nos positions.

- C'est bon tu as gagné, me résignais je.

   En souriant fièrement comme un roi il sortit une clé de l'une de ses multiples petites poches, je lui tendis mes poignets. Après les avoir libérés il entreprit de se défaire des chaînes autour de lui mais j'en profitais pour me relever et m'assoir sur lui, j'entendis ma robe se déchirée, le tissus était aérien mais fragile.

   Malgré l'avantage qu'elles m'apportèrent je lui retirais les chaînes. Allongé sur lui je le regardais en souriant.

- Arrogant, qui gagne ?

- On sait tout les deux que je peux reinversé les rôles.

   Je sentis sa main sur ma cuisse je fus suffisamment surprise pour qu'il reprenne le dessus.

- Une robe si délicate pour une femme si sauvage.

   il remonta sa main, malgré mon désir je manquais de confiance, je savais si peu sur l'amour.

- Comment ça vous ne voulez pas les dérangez ! Se scandalisa Grand-mère. Je vous informe que ma petite fille est une princesse, elle ne se laissera pas toucher avant le mariage !

   Surpris et dégrisés nous nous regardâmes comme deux enfants bientôt prit en faute.

- Je lui dirais que tu m'as séduit, fit il en souriant et en se relevant. Sinon elle me tirera les oreilles.

- Et moi alors !

   Je me relevais aussi, entendant les pas de Grand-mère dans l'escalier.

- Sors ! Tu es plus présentable que moi dis lui que je vais me changer pour sortir.

   Il me caressa une mèche de cheveux avant de sortir.

- Tu es démasqué ?

   La surprise fit oublié à Grand-mère de venir. Je retirais la robe et ses sous couches pour mettre les vêtements pour sortir.

- Je vais voir Jocelyne.

- Elle se change.

- Où allez vous ?

- Je pensais passé chez Bella si je ne la trouvais pas au refuge et après nous irons faire un tour en ville, les deux camps doivent bouillonnaient après l'enlèvement.

EN RÉÉCRITURE tome 1 : Nry le rebelleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant