Le divorce

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             Si vous saviez....Si vous saviez comment vos cries m'effraie, se soir encore je m'assoie sur mon lit et je me recouvres mes oreilles a l'aide de mes jambes. Dehors il pleut et dans ma chambre j'entend vos échos qui ne font que de traverser les murs, la maison serais si silencieuse si vous vous aimiez. Je t'est vue pleurer maman mais dans la nuit c'est papa que j'entend dessécher ses larmes. Les comtes de fées n'existe plus, je ne suis plus la princesse de cette histoire, je  ne croit en se que vous appelez  l'amour et j'ai bien l'impression vous n'êtes qu'un mensonge vivant. Vous avez tous foutue en l'air, je cherche ou tout a basculer où tout c'est déchirer comme un simple papier brisée. Il y a tant d'enfant dans ce monde qui rêverait que leurs parents s'aiment comme au premier jour, il y a tant d'enfant dans ce monde qui n'attende que le jour où un brin d'amour renaîtra. Nous suivons derrière a se demander comment l'amour peut survivre, on suit derrière...on suit vos choix car on peut faire que sa. Nous sommes pas le royaume de vos sentiments, nous sommes pas le roi qui les fait vivre, nous sommes ni le fou ni les villageois qui les exprimes. Vous êtes les murs qui depuis notre enfance nous font croire aux bonnes choses de la vie, vous êtes les personnes synonyme de la vie parfaite, vous êtes les deux âmes inséparable des histoires romantique, mais votre amour rîmes avec le plus fragile de tous les vers. Quand il tombe tout explose en de millions de morceau qui risques de blesser ceux qui se tienne debout devant cette scène misérable, on a peur de s'y retrouver, de gâcher quelque chose qui parait si bien commencer, on essaye d'y croire, d'y croire sans arrêt. On essaye de faire de ces souvenirs quelque chose de plus colorée que du gris constant, on bourre nos têtes d'histoire fabuleuse, de sentiments magique, de prince et de princesse qui se marier et heureux pour toujours. Et vous nous montrer que toutes c'est paroles son signes de danger, d'énormes conneries qu'on comprendra sans doute jamais, vous avez tout les droits de vous haïr, de vous détester, mais pas de nous pousser à penser à votre façon. Cesser de penser donc de penser qu'à vos sentiments, on y croit vous savez et on vous laissera pas supprimer tous vos rêves de comte de fées.


Texte oral de B l A c K b I r D


~Si vous voulez que je publie quelque chose sur un thème précis dites le moi je les publierais tous~

Texte D'une Fille Pas Comme Les AutresOù les histoires vivent. Découvrez maintenant