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Aliyah


Je me réveille avec une forte douleur au crâne et je remarque que j'ai un pansement.

Mais je ne me rappelle de rien.

Mes fils sont allongés à mes côtés torse nu je les inspectent et je vois qu'ils ont des brûlures qu'il n'avait pas auparavant.
Je les touchent et je réalise qu'il s'agit de brûlures de cigarettes c'est à ce moment que tous m'est revenu.

Pendant plusieurs minutes aucune réaction de ma part puis quand je me remémora toutes les scènes en m'imaginant le calvaire qu'ils ont dut passer je rentra en furie dans la salle de bain qui est directement reliée à la chambre je prit une lame de rasoir et descenda les escaliers faisant le plus de bruit possible sous le regard des hommes et de l'homme cagoulé je me dirigea vers lui et le planta d'un seul coup à la cuisse. Puis dans la deuxième.

-*: AHHHHHHH SALOPE !

-*pleurant de nerf*: JE T'AI DIS QUOI DÈS LE DÉBUT MOI TU ME FAIS TOUT CE QUE TU VEUX MAIS MES FILS TU LES TOUCHENT PAS ILS ONT UN AN BORDEL UN AN ET TOI TU FAIS QUOI *en bégayant* TU TU TU LEUR FAIT ÇA GROS FILS DE PUTE VA CRÈVE PD.

-*: PRENEZ LÀ ET METTEZ LA DANS LA CAVE.
*s'adressant à moi* TOI GROSSE KEH JE RENTRE T'ES MORTE J'AVAIS TE FAIRE DU SAL TU VAS VOIR.
ON TE MENACE TU PIGES PAS J'MEN PRENDS À TES P'TITS TU FAIS ENCORE PLUS LA FOLLE BAH LA APRÈS C'QUE JVAIS TE FAIRE ON VERRA SI T'AURAS TOUJOURS ENVIE DE JOUER À LA OUF AVEC MOI.

Tous ses hommes me sautèrent dessus afin de me paralyser et je peux vous assurez que ça a marché dans la seconde qui suivait je ne pouvait plus rien faire ils me jetèrent dans la cave en prenant bien soin de fermer la porte à clé.


[...]



J'attendais encore et encore la faim et la soif commençais à se faire ressentir mais surtout mes enfants me manquer.
Comment vont ils? Où sont ils? Ou encore ont ils mal.
Je ne savais rien de tout cela pourtant à cet instant c'était mes seuls préoccupations.

Je pensais à mes fils quand la porte s'ouvrit brusquement sur l'homme cagoulé.
Il avait un bandage à la cuisse avec une béquille et était vêtit d'un
short et d'un polo à maches longues il s'approcha dangereusement de moi.

Il me dit doucement à l'oreille

-*: Alors comme ça on me plante.

-[...]

-*: Qu'est-ce qu'il y a t'as perdu ta grande langue.

-[...]

-*: Passons au choses sérieuses.
Déshabille toi!

-Mais mais pourquoi dis-je en bégayant.

-*: MAIS TOI EN SOUS VÊTEMENTS VITE SINON C'EST MOI QUI LE FAIT.

Je commença par déboutoner ma chemise en prenant une minute pour chaque boutons.

À un moment il perdit patience alors il prit un couteau et coupa tous les boutons de ma chemise puis me l'arracha mon pantalon subit le même sore.

Il était une fois : ma mère Où les histoires vivent. Découvrez maintenant