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Ils me sautèrent dans les bras.

Tout en criant "mama".

L'un des plus beaux jours de ma vie.

Je voyais le bonheur dans leurs yeux, la joie, que des sentiments positifs.



[...]




-Samir: Alors ça c'est bien passer tes retrouvailles avec les jumeaux?

-Grave. Tu sais pas comment j'étais heureuse limite je pleurer de joie.

Moi ce que je trouvais bizarre c'est qu'il ne m'a fait aucun scandale quant à l'état des jumeaux.

-Mais euhh Samir?

-Samir: Ouais.

-T'as rien remarqué?

-Samir: De quoi ?  Non ya quoi? Dis moi vite c'est sure qui déjà.

-Les jumeaux...

-Samir: ILS ONT QUOI PUTAIN PARLE AU LIEU DE FAIRE TON SUSPENS À DEUX BALLES.

-Sur leur torse. T'as pas vu les marques?

-Samir: Non j'ai rien vu.
Bah tu sais quoi on va aller voir tout de suite.

On se rendit dans la chambre des jumeaux qui eux dormaient.
Et je leva le haut de pyjama de chacun d'eux.

-Samir: *rire nerveux* Me dis pas que ce sont des marques de clopes ?

-Si.

Il sortit de la chambre en se tenant le crâne.
Pour se rendre dans la sienne. Et moi je le suivit.

-Samir: J'vais l'canner, il est mort il est mort, il est mort, c'est sa fin. Et moi comme un trimard j'ai rien remarqué je suis trop bête c'est abusé.
Mais il va pas s'en tirer comme ça il est dans la merde. Il sait pas dans quel bourbier il c'est mit. Putain d'où on touche à mes enfants à moi Samir on me touche à ma famille. Il est cuit je vais le dead. Il force ma femme à faire des trucs dont j'ai pas eu le droit et il touche mes fils. J'le trouve c'est moi j'le baise. Ce chien d'la casse.
*s'adressant à moi*
Et toi t'étais où tu faisais quoi pendant ce temps là?
Vieille huuuum.

-Arrête Samir. Ce sont tes fils autant que ce sont les miens jamais j'aurais laisser qu'on leur fasse du mal.

-Samir: Pourtant t'as laissé faire.

-Il m'avait péter le crâne j'étais dans les vappes.
Et quand je l'ai apprit j'allais le tuer mais ça n'a pas marcher.

-Samir: Et bah moi je vais le faire sauf que ça va marcher.



[...]




Cela fait un mois que ma vie à reprit son cours.
J'ai put rattraper tous mes cours pour pouvoir valider mon année.
J'ai apprit de Nabil que le directeur avait démissionné tant mieux.
Lui se pose beaucoup de questions quant à mon absence je lui ai fait croire que j'avais des problèmes familiaux mais il semble perplexe.

Entre moi et Samir c'est le vide on ne se parle pratiquement jamais mais beaucoup lorsqu'il s'agit des enfants. Mais, nous dormons ensemble je pense que nous en avons besoin tous les deux de se retrouver au chaud dans les bras d'une personne. En temps normal ce serait un de mes frères ou bien ma mère mais là c'est impossible.

Mes fils vont bien j'ai l'impression qu'ils ont oublier ce passage tragique de notre vie.

Et moi je souris, rigole, devant les gens mais plus les jours passent plus selon moi mon état s'aggrave j'ai le ressentis d'être dans un état de plus en plus minable mais je fais tous pour que personne ne le remarque et sa semble marcher.

Ce soir la mère de Samir nous a invité à dîner chez elle je n'avais pas spécialement envie de sortir mais obligé.

Je me prépare puis me vêtit.

Prend le gâteau que j'ai réalisé histoire de ne pas partir les mains vides.

Et rejoins les autres dans la voiture.

À mon arrivée comme à son habitude Samir m'a dévisagé et il commence à vraiment m'énerver c'est mieux il calme ses yeux.

Il a seulement soupiré et bouger la tête de droite à gauche au lieu de remarques sur ma tenue.

-Pourquoi tu me regarde tout le temps mal?

-Samir: Parce que tu fais la même.

-Pas du tout. Et dans le pire des cas si c'est vrai donc si moi je saute par le fenêtre toi aussi tu sautes.

-Samir: Et tu sais quoi fermes ta gueule sa ira plus vite.

-Tship vieux chien mouillé va.

-Samir : Commence pas à faire la diva avec moi parce qu'en ce moment j'ai pas de patience si tu veux pas te faire insulter bêtement c'est mieux tu te tais.
Et on va arriver dans quelques minutes je te rappel que devant ma mère on doit faire les grands amoureux.




[...]





-Mère de Samir: Salam Aleykoum les enfants!

-Nous: Aleykoum Salam.

Je la salue puis salue mon beau père.

Arrivée dans le salon c'est avec stupéfaction que je retrouve cette personne.

Personne que je déteste tant mais qui m'a peut-être sauvé la vie.




À votre avis qui est cette personne?









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Il était une fois : ma mère Où les histoires vivent. Découvrez maintenant