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 Pdv Shoko

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Pdv Shoko.

La partie qui occupe Irina l'a laissé en plan et elle est allée à la salle des profs où se trouve Karasuma qui lui a offert les roses. On est planqués sous la fenêtre à observer,même moi, ce qui me vaux des moquerie de Karma. Irina est contente, ça se voit mais Karabrutit l'a fait tomber de haut.

- « Bon anniversaire en retard, c'est la première et dernière fois que je vous le souhaite. »

- « Première et dernière.. ? » demanda-t-elle sans comprendre.

- « Soit on meurt tous, soit la mission sera finie et on ne se reverra plus. »

Le visage d'Irina s'est noirci, c'est mauvais. Elle s'est dirigée vers la fenêtre et l'a ouverte.

- « J'aurais dû m'en douter, comme si ce coincé pouvait m'offrir des fleurs. » dit-elle froidement.

C'est trop tard, elle a retrouvée un visage froid de tueur. Elle a tiré vers le ciel pour faire tomber Koro le voyeur.

- « Vous vous êtes bien amusés, j'espère. » continua-t-elle.

- « Vous vous trompez, ça partait d'une bonne attention. » tenta Koro.

- « N'importe quoi ! » s'énerva-t-elle.

- « ça sert rien de lui parler dans cet état. » dis-je.

- « Peut importe mon état, ça ne servira plus à rien. »

- « Et quoi alors, vous allez partir ? » demandais-je.

- « Pourquoi pas. » dit-elle en allant à la porte.

« Merci pour ce cadeau, j'ai ouvert les yeux. » finit-elle en rendant le bouquet à Karabrutit.

Elle a ouvert les yeux sur qui elle est vraiment, c'était qu'illusion. Vais-je tirer la même conclusion ? Je suis perplexe. Elle est partit malgré les appellations des élèves. Elle doit se calmer et Poulpy pense la même chose.

- « Karasuma, vous y êtes aller un peu fort. »

- « Vous n'avez toujours pas comprit ? »

- « J'ai l'air si bête que ça ? Ça a l'air sans cœur mais si elle n'est pas capable de garder son sang-froid, j'engagerais un autre tueur. » dit-il.

- « Vous l'avez prise pour un robot ou quoi ? On est des humains. » m'énervais-je.

- « Je le sais mais toi et elle êtes des professionnels. Si votre lame s'use pour l'amour alors vous n'êtes pas faite pour ce boulot. » dit-il indifférent.

Il se permet de me dire ça parce que je suis une pro.

- « Karasuma, ne dites pas ça, c'est une enfant. »

Une enfant... J'arrive pas à savoir qui a raison.

- « Penses ce que tu veux le poulpe, ce n'est que la vérité, c'est une enfant mais une pro avant tout, une tueuse redoutée de tous. » dit-il en partant sans écouter Poulpy.

Tourments et sentiments d'un assassinOù les histoires vivent. Découvrez maintenant