Chapitre 13

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Une fleur encore, pour la deuxième fois cette semaine je recevais une fleur, une jonquille jaune. Et encore une fois il n'y avait pas de carte.

Je doutais fortement qu'elles soient de Diego, non lui il aurait laissé un mot. Un mot arrogant et provocateur.


Non la il n'y avait que cette jonquille jaune et cela commençais à m'intriguer, cette fleur exprime principalement les retrouvailles et à par Sia personne ne vivait loin d'ici. Et n'y avait aucune chance pour que ce soit elle, elle n'ai pas particulièrement fan des fleurs.


Je devenais surement paranos, après tout ce n'était qu'une simple fleur. Et ce n'était pas comme si j'avais reçu des menaces de morts.


Je parti donc travailler cette crainte dans un coin de ma tête et l'esprit occupé. Cela ne passa pas inaperçu puisqu'en début d'après midi je renversa mon café sur l'un de mes supérieurs, et déjà qu'a l'origine il n'est pas très sympathique, cette brûlure n'arrangeait rien.

Après avoir subis ces jugements et insultes il parti, surement pour se plaindre. Tout ça pour un café!

C'était vraiment une mauvaise journée.


Il ne fallu seulement  quelques minutes pour que je me retrouve dans le bureau du grand patron et la jonquille jaune chez moi n'était maintenant plus qu'une lointaine préoccupation.


Alors comme ça on brûle mes employer Mademoiselle Morella? Me demanda t'il en me scrutant de haut en bas. Peu habituée à ce nom de famille je fus légèrement déstabilisée qu'il m'appelle ainsi.

J'allais ouvrir la bouche pour répondre mais il leva la main pour me faire taire. Quel culot!


Vous savez quand je vous ai engagez j'ai vu en vous un énorme potentielle. Dit il avant de se pencher en avant sur son bureau et de me fixait cette fois si dans les yeux d'une manière assez déstabilisante.


Alors ne gâchez pas tout! Me dit il avant de se remettre au fond de son fauteuil sans pour autant arrêter de me regarder.


Je ne vais pas vous faire la leçon j'ai d'autres choses à faire! Vous aussi vous devez avoir du travail alors je ne vous retiens pas. Me dit il en se levant avant de m'ouvrir la porte de son bureau.



Vous aimez votre travail Mademoiselle Morella? Me demanda t'il alors que j'étais devant lui et que je m'apprêtais à franchir la porte de son bureau.


Ou-oui bien sur. Lui répondis je d'une petite voix.


Alors ne me forcez pas à faire quelque chose de regrettable. Il fit une pose et me regarda de haut en bas tout en insistant sur certaines parties de mon corps. Ce serez du gachi. Finit il par me dire alors qu'il commençait à m'écœurer. Déstabilisée et agacée je partis en ignorant son regard insistant.  



De retour à mon bureau je souffla et me remémorais les paroles de Diego et ses amis à son dîner à propos de mon patron. J'aurai peut être du les écouter finalement.


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Amour IncompatibleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant