PDV : Tobias
Je ne reviens pas de l'idée d'Adélaïde, ce repas a été magique. J'étais sur mon trente-et-un et elle, elle portait une magnifique robe rouge, hyper moulante. Ça lui allait à ravir. Le seul hic dans la soirée, c'est que nous n'avions plus de courant. J'ai cherché des chandelles et l'ambiance était, je ne peux pas le décrire.
Nous sommes là, à danser coller sans musique. Son corps est collé au mien et je me retiens de ne pas lui enlever cette robe. Je ne suis pas habituellement ce genre d'homme, mais mon âme-sœur est la plus belle femme que j'ai vue. Je me contrôle et contrôle aussi Nooka. Je ne sais pas si je vais tenir longtemps.
PDV : Adélaïde
Mon idée était parfaite. Je me retrouve donc coller à lui, entrain de danser sur dans le musique imaginaire. Je sens mon corps chauffé, pour la première fois, que je suis avec lui, je suis à l'aise, mais c'est aussi la première fois, que je me sens prête à le faire. J'en ai longuement parlé avec Ady et nous sommes d'accord. J'ai envie qu'il me marque, je veux montrer que je suis sienne et qu'il est mien.
Mon regard croise le sien, ses yeux sont tellement beaux, je m'y perds dans cet océan glacial. Je sens mon sang bouillir, j'en ai envie... Mes lèvres s'approchent des siennes tranquillement et nous nous embrassons dans un baiser enflammé. Nous nous séparons à bout de souffle et je lui murmure à l'oreille :
- Fait moi l'amour, marque-moi!
Il se recule les yeux pleins d'étoiles. Celui-ci scrute mon regard et je lui prend la main, pour aller dans la chambre. Tobias reste planté là, à me regarder. Il attend quoi? J'ai une idée, ça va lui donner plus envie. Je me tourne dos à lui et j'abaisse tranquillement et sensuellement les bretelles de ma robe. Je peux l'entendre grogner et je souris intérieurement. Je commence à descendre la fermeture dans mon dos, quand je sens ses mains sur ma taille et sa bouche dans mon cou. Il y place plusieurs baisers qui me font décrocher des petits gémissements. Celui-ci sourit dans mon cou. Tobias descend ma fermeture éclair et ma robe tombe par terre. Il dépose des baisers sur le long de ma colonne vertébrale, je peux sentir sa bouche par-dessus la dentelle de ma culotte. Mon âme-sœur me tourne vers lui et d'une lenteur, il remonte vers moi, en s'attardant à mon intimité. Je sens sa langue par-dessus.... J'ai des chaleurs. Mon amant continu sa course vers mon soutien-gorge. Il le dégrafe et sa bouche se retrouve à jouer merveilleusement bien entre mes seins.
Je l'arrête un moment, moi, je suis quasiment nu et lui encore tout habiller. Je décide de lui enlever sa chemise. Mes mains se ballade vers sa ceinture où je peux sentir son érection. Hmm!!!! Son pantalon et sa chemise sont très vite parti restant que son boxer. Il m'allonge sur le lit et parcours mon corps de baiser. Sa main passe sur ma culotte pas le temps, de l'enlever, il l'a déchire. Mon loup écarte mes cuisses, il lèche un doigt et l'insère dans mon intimité. Sa bouche suçote mon clitoris... Tandis que je me cambre, à chaque coup de langue. Celui-ci relève la tête les yeux brillant et me dit :
- Tu es tellement mouillé...
Je lui agrippe les épaules, je l'embrasse en pleine bouche. Son boxer est la seule chose qui nous sépare. Je lui fais comprendre que je suis prête, que je le veux en moi. Il grogne. Son boxer se retrouve par terre... Je sens son désir sur ma cuisse et je souris. J'écarte les cuisses pour lui donner plein accès et mon loup se positionne. Il me regarde encore une fois, pour être sûre que je veux... Bien sûr que je veux. Je mords ma lèvre inférieure puis dans un coup de rein en douceur, il entre en moi. C'est douloureux sur le coup, mais je fais abstraction. Je lui dis de continuer. Plus que mon amant donne des coups, plus que je ressens du plaisir. Mon corps se cambre et je synchronise mon bassin avec le sien.
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Les Jumeaux Black-Wolf(suite De L' Alpha et son attirance Interdite)
Manusia SerigalaL'histoire reprend lorsqu'Oliver et Adélaïde ont 18 ans. Thomas son frère ainé ne veut pas le titre que son père a et se rebelle. April s'est rapprochée d'un loup que ses frères n'aiment pas. Qui a dit que ceux qu'on croit être faible, sont en véri...