15: La rando.

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Rebonjour/Rebonsoir! Ça faisait longtemps qu'il n'y avait plus de sexe dans mes histoires XD ^^ du coup je profite de ces vacances au lac pour faire se "retrouver" mes héros favoris^^! J'espère que vous m'en voulez pas et que vous aurez une bonne lecture!

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Laink

    Et je me propulsais loin de lui nageant le plus vite possible et me retournais pour le voir, immobile, complètement déboussolé par ce qu'il venait de se passer. 

    J'éclatais de rire en le voyant ne rien faire. Ses plans étaient tombés à l'eau si je puis dire. Puis, sans que moi aussi je ne comprenne rien, Terra avait disparu. Je le cherchais des yeux quand je sentis des mains s'accrocher à mes mollets et me tirer vers le bas. 2 secondes après être remonté à la surface, elles s'agrippèrent à mes hanches et je sentis une grande douleur en moi pendant que Terra remontait pour respirer et me fixer. 

   Tout fut très rapide et Damien faisait des vas et viens forts, grands, profonds et durs. Je m'accrochais à sa nuque et mes jambes l'entouraient. Je ne pouvais le regarder en face et cachais ma tête dans son torse pour étouffer le plus possible mes cris. Je le griffais pendant qu'il retournais sur la berge sans me laisser une seconde de répit. Ça faisait mal mais il s'en fichait et souriait, heureux de s'être vengé. Il me posait assez brutalement le dos contre l'herbe fraîche et continuait de plus en plus rapidement ses mouvements. Mes mains se posaient sur ma bouche pour baisser le volume des sons qui sortaient de ma bouche, en vain. Toujours debout, Terra continuait ses coups, toujours plus profonds. Il se mit alors à 4 pattes au dessus de moi et ne s'arrêtait pas, une main m'agrippant la taille et l'autre l'herbe au dessus de ma tête. 

Damien: Tu-tu fais trop de bruits. Tu vas alerter les autres.

Moi: Da-damien, je-je suis dé... aaah... Je suis désolé.

     Je n'arrivais pas à parler correctement. Aussi bien par la douleur mais également le plaisir qui venait de s'installer en moi mais Terra devait être satisfait car il daigna enfin me donner ses lèvres que je quémandais depuis assez longtemps. L'herbe de faisait mal au dos mais Terra se décidait à changer de position et s'allongea, toujours en me martelant de coups. Il me tenait assis sur lui de sorte à ce que je puisse bouger tout seul. Damien me maintenait les poignets dans une main et l'autre se plaça derrière sa tête de sorte qu'il puisse admirer cette vue. Gêné de la situation et ne voulant pas le regarder dans les yeux, je tournais la tête mais à chaque fois il me la remettait droite. Je me couchais alors sur lui, épuisé de bouger seul. Je m'appuyais sur mes genoux et mes avants -bras pendant que les siens griffaient mon dos. Trouvant mon mouvement trop lent, je sentis ses mains sur mes fesses et me faire bouger. Je le laissais faire. J'avais trop mal pour bouger seul. Il n'y allait pas de main morte mais malgré tout, je jouis avant lui. 

    Épuisés, nous ne bougions pas tout de suite et il s'enleva enfin de moi. Je me poussais sur le côté de sorte à ce qu'il puisse respirer. Il me regardait, sourit et m'embrassait puis me caressait tendrement le dos et le torse, en me faisant une légère pression de sorte que je me couchais complètement sur le dos. Mon amant massait ma poitrine, mes abdos et mon entre-jambe ce qui m'arracha un soupir suivit de gémissements. Je le regardais et me mis sur mes coudes pour embrasser cet homme. Je me mis sur lui, le forçant ainsi à arrêter ce qu'il faisait et nous roulions pendant que nos lèvres ne se laissaient une seconde de répit. Je me cognais contre un tronc et m'asseyais toujours sans quitter la bouche de Terra. Il s'assis également et me posa sur ses cuisses. Il était sur ses mollets donc je glissais un peu mais il passait ses bras derrière mon dos défoncé par l'arbre, l'herbe qui frottait et lui qui me griffait. Mes jambes passèrent autour de sa taille et mes mains dans son dos. Je ne le quittais pas d'une seule seconde. Damien me souleva très légèrement et je m'assis sur son membre. Je me sentais déchiré en deux mais c'était une sensation  devenue presque habituelle. Il me secouait légèrement au début puis accélérais au fur et à mesure que le temps passait. 

Plus Jamais Sans Toi  ( Terraink )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant