Comment tout à commencé ? Pour que Sebastian et cette femme en viennent à être si fusionnelle ? Que le comte n arrive plus à respirer calmement sans avoir la certitude de revoir ce garçon ? Ce sont des questions intéressantes. Dont je détiens la réponse. Laissez moi y répondre sous forme d histoire.
*
La fête battait son plein. Chacun assistait avec intérêt à ce beau bal organisé par le jeune comte Phantomhive, en l'honneur de sa fiancée, Lady Elizabeth Midford, Marquise de Midford et futur comtesse Phantomhive. La salle de bal était rehaussé de lumière, de champagne, de vins couteux et de plats savoureux que Sebastian avait préparé et travailler d'arrache-pieds à sauver de Bard, le véritable cuisinier, normalement. Mais à pars lui et Sebastian, les trois autres domestiques étaient des plaies. Enfin, on pouvait aussi féliciter Snake quand les invités n'étaient pas effrayés par son aspect étrange.
Durant ce petit comité de noble, ou tous se mêlaient un peu les uns aux autres, se tenait un jeune garçon, venu avec sa mère. Il n'était pas son chaperon mais plutôt que lui, son petit plaisir était de voir la belle étoile et dame la lune. Ce genre d'endroit le rendait nerveux. Il était dans un coin de la pièce, jetant de rapide coups d'œil vers sa mère dont la beauté l'étonnait chaque seconde un peu plus. Il fallait dire que sa mère détenait de bien grande capacité alors que lui.. Il n'était que l'enfant de cette femme et d'un salopard de démon.
Il jeta un regard sur le reste du petit monde des nobles. Sa mère se fondait dans la masse mais elle était toujours visible. Son âme était un véritable rayon de lumière furtif et constamment en mouvement. Il savait que par le mélange qu'il incarnait, il était à moitié humain. Mais être à moitié ne l'empêchait pas d'être plus grand que le comte. Lui qui était plus jeune. Un concept étrange mais si rare. Il ne bougea pas, ses yeux passant d'une âme à une autre. Ses cheveux était d'un brun-noir. Le mélange se voyait par quelque mèches si et là. Ses yeux ressemblaient à une palette de nuance du crépuscule, oscillant vers le rouge écarlate quand sa nature caché se dévoilait. Et là, vêtu élégamment et simple observateur, il ne vit pas cet œil bleu qui le fixait Avec curiosité.
Un peu plus tôt, quand il était arrivé avec sa mère, une belle jeune femme dont il avait du mal à défaire le regard comme il ne pouvait quitter ce garçon des yeux, Ciel avait cru déjanté. L'un comme l'autre était presque semblable à cette description surfaite que le Baron Kelvin avait fait sur lui et sa famille. Mais ces deux-là. Ils étaient vraiment comme ce qui est beau et intouchable. Il s'approcha doucement de son majordome, lui jetant un coup d'œil pour qu'il le suive. Le démon le comprit et laissa le soin à Snake de suivre la suite tandis qu'il allait se tapir avec son maître dans un coin de la pièce.
- Monsieur ?
Ciel lui désigna les deux personnes. Le garçon calme et la belle jeune femme qui écoutait le marquis et donc Frances ne supportait que peu la présence.
- Plaît-il ? lança le démon, curieux.
- Qui sont-ils ? Je sais que tu as envoyé des invitations aux Wonderland qui sont une famille de noble bien curieux et calmes mais.. Je ne crois pas les connaître.
Sebastian jeta un regard vers le duo. Elle était.. indescriptible. L'âme de son maître était incomparable mais cette âme avait une tendance à changer de couleur autant que son visage changeait de sentiment. Elle oscillait sous divers couleurs. Et le mélange.. Un vrai bonheur à regarder. Une sorte de faim le titilla et il réfléchit à quel genre de jeu jouait avec elle puis il porta son attention sur le garçon. Il détenait une partie de cette jeune femme mais l'autre. Il ne s'y trompait pas. Cet enfant était la preuve existante d'une union entre un humain et un démon. Et à juger par sa mère, son père fut le démon.
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Recueils de tout les diables
RandomIl est Diabolique, sadique, moqueur, Sexy et terriblement convoité. Je parle du majordome de la maison Phantomhive, Sebastian Michaelis. Tout le monde saura le reconnaître par ses iris rouges, parfois striés et signe de sa véritable nature, ses chev...