Mienne pour l'éternité... (En Réécriture)

Chapitre 34 : Retrouvailles

Encore désolé pour le retard, bonne lecture en espérant que ça vous plaise !

~ Nicole ~

Je sens les larmes coulées les longs de mes joues, des larmes de joies, de tristesses et de colère. Un mélange particulier qui exprime tous ses sentiments contradictoire mais qui pourtant son des sentiments que je ressens,, maintenant, devant eux, et plus particulièrement à sa vue. Sa vue que j'aurai aimer contempler chaque jour, chaque minute, chaque seconde. 6 ans. Le nombre d'années que j'ai raté à ses cotées, 6 ans où j'ai perdu l'amour d'une mère auquel je subit à la place l'amertume et le dégout d'une femme qui m'a volé mon père. Mon regard ne peut se détacher cette femme. Ma mère. Ses yeux expriment avant tout de l'amour. L'amour qu'elle a toujours voulu me donner et qui pourtant n'a pu m'atteindre. Elle m'a tellement manqué. Et pourtant je ne peux pas m'approcher d'elle, la prendre dans mes bras, lui dire à quelle point je l'aime... 6 ans plus tard, alors que je peux enfin l'avoir, je suis condamné à la regarder, de loin et de ne peut pouvoir seulement l'observer puisque je suis attacher au pied de ses montres qui m'ont volé ma mère.

A côté de cette dernière, mon père est là, complètement perdue, la pute de Johanna ne doit pu avoir aucune emprise sur lui. Il voit ma mère et lui aussi pleure. On pleure tous les trois. Son regard tournée en ma direction n'exprime que de là tristesse et de la culpabilité. Il doit savoir pourquoi nous sommes ici et doit aussi être heureux d'avoir l'amour de sa vie et sa fille puisqu'il a dut combattre pour ne pas que Johanna le contrôle mais malgré tout la magie est toujours forte.

Les autres brutes épaisses les emmènent près de moi. J'ai tellement envie de les prendre dans mes bras mais je peux pas rien faire à causes des menottes accroché à mes poignets derrière mon dos.

- Oh comme c'est mignon les retrouvailles de famille.

Il veut mon point dans sa gueule de merde parce qu'on peut s'arranger à se foutre de notre gueule. Je crois que c'est impossible pour lui de se la fermer de temps en temps un peu comme la prostituée à côté de lui.

Ma mère le fusille du regard.

- Qu'est ce que tu veux, Marc ?

- Tu sais très bien qu'est ce que je veux.

- Ne les mêle pas à ça, ils ne savent rien.

- Ca c'est à moi dans juger.

Le dénommé Marc me regarde avec un air espiegle. Qu'est ce qui me veut celui la ?

- Commençons avec ta fille.

- Ne la touches pas, c'est clair !

Le mec s'approche de moi mais alors qu'il se plie à ma hauteur j'arrive à lui envoyer mon pied dans ses bijoux de famille. Il croyait quoi, celui la, que j'allais me laisse faire. Il tombe et je rigole intérieurement. Ma mère ne peut cacher un gloussement, Zack avait surement raison, on se ressemble, disons qu'on est pas mère et fille pour rien.

- Sale pute !

- Qui tu traites de pute ?! Commence à s'énerver ma mère

- Ta salope de fille !

Cette fois ci c'est moi qui m'énerve.

- Et oh je te permet pas connard !

- Quoi ? Tu sais à qui tu parles !!!!

Le mec s'approche de moi et s'apprête à me frapper mais à ce moment là quelqu'un l'intercepte.

- Marc, calme toi. Je m'en occupe. 

Un autre homme apparaît derrière le dos de Marc et lui tient son poing. Celui ci le retire de la proximité de mon visage et je peux alors relever la tête et apercevoir mon " sauveur" si on peut dire. Mais alors que je vois son visage, le temps s'arrête autour de moi, qu'est ce qu'il fait là celui là.