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Lui : tu fais la maligne toi mais va pas pleuré auprès de ton père quand je vais  te défoncée.

J'ai juste entendu ton père. Le gars il avait vraiment les paroles pour blesser les gens. Il sait que mon père est mort et il me pique sur ça alors qu'il sait que ça allait m'atteindre.

Moi : tu sais que mon père est plus là et tu me dis ça? T'as vraiment pas de cœur. Insulte moi si tu veux mais évite de parler de mon père.

Lui : je...

Moi : vas-y je m'en fou de ce que t'as à dire. Parle pas avec moi.

J'ai quitté le salon et je suis partie dans ma chambre. Je ne l'ai plus calculé de la journée. Le lendemain, je ne travaillais que le matin. Je suis rentrée à midi, il n'était pas là et tant mieux.
J'ai envoyé l'adresse à Ali et j'ai fais à mangé.

Ali est arrivé vers les coups de 15h, tout beau tout propre.

Lui : ça va ma petite?

Moi : ça va et toi?

Lui : tranquille.

Moi : vas-y entre, fais comme chez toi. Je te sers quelque chose à boire ou à manger?

Lui : c'est si gentillement proposé.

Moi : arrête de faire genre tu parles bien la France aussi.

Lui : vas y commence pas. J'ai toujours parlé comme ça.

Moi : toz. Je te ramène une assiette, installe-toi, fais ta vie allume la télé si tu veux.

Je suis partie lui réchauffer une assiette et je lui ai apporté.

Ali : merci, ça va c'est tranquille chez toi.

Moi : ouais c'est calme ça va, trop calme même.

Lui : t'inquiètes tu vas t'y faire. Il est pas là ton mari?

Moi : je sais pas où il est et je m'en fou.

Lui : raconte-moi tout.

Moi : il m'insupporte. Il fait trop son beau. Je le déteste en vrai.

Ali : si ton père a approuvé cette union, c'est pas pour rien. Il a dû voir un truc en lui. Donc laisse lui une chance.

Moi : lui laisser une chance pourquoi? Il me respecte pas, il respecte pas mon père et il arrive encore à me faire des réflexions en faisant bien en sorte de me piquer. Il me prend pour la bonniche et je devrai lui laisser une chance? C'est mort, il fait sa vie et je fais la mienne.

Lui : il est dans le même cas que toi, il n'a pas voulu de ce mariage non plus. Au lieu de vous faire la guerre, soutenez-vous.

Moi : je veux rien entendre c'est mort pour moi.

On a continué de parler de tout et de rien, quand Yanisthug est arrivé avec Oussama et une meuf que je ne connaissais pas.

«  Ne t'en fais pas Baba, je te rendrai fier »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant