C'est moi qui fais la gamine alors que le mec a voulu me tuer il y a même pas 2 secondes. Il est marrant lui. C'est mieux je lui réponds pas.Moi : ...
Lui : Sofia!
Moi : ...
Lui : vas-y viens au moins que je regarde si t'as rien.
Moi : ...
Lui : bah vas-y casse-toi tu crois je vais te courir après ou quoi ? Elle est folle celle-là. - en parlant tout seul -
Moi : ...
Il était entrain de parlé je l'écoutais même plus. J'avais juste trop mal à mon dos. Il m'a laissé planté là entrain de pleurer de douleur pendant que lui est sorti.
Après 20 minutes, il revient et me voit encore assise par terre.Yanis : c'est bon tu t'es calmée ?
Moi : - en le frappant - con de toi tu m'as tué le dos. T'as cru qu'on avait la même corpulence ou quoi?
Yanis : c'est toi et tes deux pieds gauches.
Moi : je t'emmerde.
Yanis : - en me portant - la prochaine fois tu réfléchiras avant de venir me réveiller avec ton aspi.
Moi : pff, tu connais que la violence toi.
Yanis : vas-y montre ton dos j'ai pas ton temps.
Moi : t'as pas mon temps? Quand c'est pour mangé ce que je fais par contre tu as du temps la hein? Ton gros crâne dur.
Lui : c'est pas pareil là.
Je me retourne et relève mon teeshirt.
Lui : t'as rien bouffonne, tout ton cinéma pour ça.
Moi : mais toi t'as un soucis. Tu peux aligné deux mots sans insulter!
Lui : ouais. Mais t'as une tête à insulte toi.
Moi : je rentre même plus dans ton jeu à toi.
Lui : seumeuse. Vas-y m'attends pas pour manger, je sais pas à quel heure je rentre.
Moi : ok l'homme d'affaire.
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Passons 3 moisAvec Yanis ça se passait très bien, c'était limite trop beau pour être vrai. On était de plus en plus proche. On avait vraiment crée un lien, une bonne complicité. C'était un autre homme que je découvrais, plus doux, moins méchant et surtout plus calme. Pour ma part, plus on avançait dans le temps et plus j'aimais ce que je voyais de lui.On passait toutes nos soirées ensemble car oui Monsieur ne sortait plus le soir. Si il n'était pas avec Amine, Anouar et tout ses autres potes, il était à la maison.
On a eu une discussion sérieuse à propos de ses "activités illégales". Au début il n'assumait pas, il me disait « vas-y je parle même pas de ça avec toi, t'y connais quoi? » , au final il a baissé la garde, il m'a parlé de ce qu'il faisait, pourquoi il le faisait. Je lui ai expliqué par A+B que c'était pas bien, qu'il faisait du mal à ses parents, que si il se faisait choppé il décevrait son père. J'ai essayé de lui faire comprendre que c'était une mauvaise chose et que c'était pas ça qui fera de lui un homme bien, respecté pour les bonnes choses. Je lui ai sorti tout les arguments valables et je l'ai laissé réfléchir sur ça.
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« Ne t'en fais pas Baba, je te rendrai fier »
RomantizmL'annonce de sa maladie nous a tous anéanti. En stade terminale, les médecins n'ont rien pu faire lui, il était trop tard. La maladie l'a emporté quelques mois après. Il nous a laissé seul dans ce monde sans aucun repère. Il était notre repère, notr...