Le lendemain, je me réveille et j'entends que ça discute. Yanis était au téléphone.
: .....
Yanis : t'as cru que j'étais un daleux comme toi ou quoi!!
: ....
Yanis : va te faire foutre tu vas taclé personne.
: ....
Yanis : je parie rien du tout avec toi.
: ....
Yanis : parce que c'est une meuf bien et t'es pas sérieux toi.
: ....
Yanis : je me soucie d'elle depuis qu'elle est hnine avec moi.
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Yanis : ça c'était avant enfoiré.
: ....
Yanis : vas-y gros je blague même pas avec toi, lâche l'affaire. Oublie pas la livraison.
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Yanis : elle veut que je l'a tue celle là.
: ....
Yanis : tu sais pas frère comment j'ai le seum déjà de devoir assumé l'enfant de cette crasseuse et en plus de ça elle va chez mon daron normal?
: ....
Yanis : ils manigancent un truc c'est sûr, je vais réglé ça quand je rentre.
: ...
Yanis : Mets lui un bon coup de pression en attendant que j'arrive.
Il a aussitôt raccroché.
Yanis : c'est bon lève toi depuis tout à l'heure je t'ai cramé sale fouine.
Moi : je voulais pas te déranger dans ta conversation hyper intéressante.
Yanis : une vraie commère.
Moi : moi commère ?
Yanis : ouais une grosse même.
Moi : clochard va si c'était confidentiel fallait allé ailleurs.
Yanis : moi clochard ? - en s'avançant vers moi-
Moi : ...
Lui : moi je suis un clochard ?
Moi : ouais.
Lui : assume ce que tu dis bouffonne.
Il est arrivé devant moi il m'a soulevé d'un coup du lit j'ai rien compris.
Moi : attend ma tête elle tourne.
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« Ne t'en fais pas Baba, je te rendrai fier »
Roman d'amourL'annonce de sa maladie nous a tous anéanti. En stade terminale, les médecins n'ont rien pu faire lui, il était trop tard. La maladie l'a emporté quelques mois après. Il nous a laissé seul dans ce monde sans aucun repère. Il était notre repère, notr...
