Chapitre 7 : Grillés?!

8K 382 197
                                    


Il continua de me fixer durant quelques secondes puis il se retourna pour retourner dans l'obscurité, me laissant sur place. Je jetta un coup d'oeil vers les ruines et rattrapa Livaï en courant. Je le stoppa en lui attrapant le bras. Il avait réussit à me redonner confiance. A faire confiance à mes camarades, à mon père et à lui. A croire en eux. Il avait réussi à faire revenir "l'ancienne moi".

(t/p) : Merci...

Livai : Tch. Y'a pas de quoi. Dépechons nous de rejoindre ton père et le reste du bataillon avant que le jour ne se lève.

J'approuvais de la tête et je monta derrière lui, sur son cheval. Nous nous mettions en route pour retrouver mon père. Je me colla contre lui et l'enlaca. Je posa ma tête sur son dos.

(t/p) : Moi aussi.

Livaï : De quoi, moi aussi?

(t/p) : Je répond seulement à ce que tu 'a dis tout à l'heure. Moi aussi je t'aime.

Livaï : ...

.

Pour toute réponse, il me baisa la main et je pu deviner assez facilement qu'il souriait. Mais malheuresement, je ne pus pas voir son sourire étant donné que j'étais derrière lui. Quelques minutes plus tard, nous arrivions enfin au niveau des soldats du bataillon. A peine je fus descendu du cheval de mon petit-ami, oui car je peux considérer que nous sommes en couple, non?, tout les cadets de la 104ème brigade se jetèrent sur moi, à la limite de m'étouffer. Sasha et Connie pleurait comme des bébés, Jean me fit un sourire tout comme Armin et Mikasa. Parmi les cadets, ce fut Eren qui fut le plus affectif en me faisant un énorme calin. Je lui tapotais le dos pour le rassurer. Je jetta vite fais un coup d'oeil à Livaï. Et vu le regard qu'il avait envers Eren, si il avait des fusils à la place des yeux, il aurait tuer Eren sur place. Il le gerta de moi.

Livaï : Oïe les gamins. Laissez Erwin retrouver sa fille.

Erwin s'avança vers moi. Je baissai la tête tellement j'avais honte de ce que j'avais fais. Il me regarda.

(t/p) : Je suis désolé. Je pensais qu'en partant d'ici, je pourrais tous vous protéger...

Et il me pris dans ses bras,E me serrant très fort contre lui.

Erwin : Tu nous protège déjà. Ne refais plus jamais ça. Rentrons maintenant.

Nous reprenions donc la route en direction du QG. Une fois arrivés, le jour était levé et les soldats du bataillon était tous exténués par l'expédition. Erwin nous accorda à tous deux jours de repos. Les trois quarts des soldats partirent donc en direction de leur dortoir pour dormir un peu. Et c'est ce que je comptais faire moi aussi. Je suis exténuée. Alors que je me dirigeais vers mon dortoir, Livaï me retient par le bras.

(t/p) : J'aimerais aller dormir, la crevette.

Livaï : Tch. Tu viens avec moi.

(t/p) : Et mes heures de sommeil alors?! Elles sont précieuses!

Livaï : J'avais oublié à quel point tu étais une gamine qui gueule tout le temps.

(t/p) : C'est pour ça que tu m'aime.

Livaï : Dis pas ça en public, idiote. Tu veux qu'Hanji nous grille et nous harcèle comme des titans?

Je déglutit. C'est vrai qu'Hanji était un peu, voir beaucoup, folle sur les bords. Et quand il s'agissait de relation entre moi et Livaî...Je ne donnais pas cher de notre peau.

(t/p) : Finalement, je tiens à ma paix et à ma vie.

Livaï : Voila quelque chose de pas stupide. Bon, maintenant, tu viens avec moi.

Je le suivis donc. Il m'emmena donc dans sa chambre, qui était à côté de son bureau. Son lit était parfaitement fait. La chambre était aussi propre que Monsieur Propre. Trêve de plaisanterie, sa chambre était impeccable. Livaï me fit un signe de la tête vers le lit.

Livaï : Va dormir. Moi, je vais continuer mes papiers.

(t/p) : Tu retourne dans ton bureau?

Livaî : Non, tu vois bien que j'ai un bureau ici aussi. Je vais faire mes papiers ici.

(t/p) : Mais je dois aller chercher mon pyjama.

Livaï : Tu ne sors pas d'ici. Tu va prendre une de mes chemises.

Il avait dit cela tout en ayant déjà le nez dans ses papiers. Il y avait déjà une chemise propre, bien pliée sur le lit.

(t/p) : Ne..ne regarde pas!

Livaï : Hm.

Je tenta de me changer le plus vite possible et de ne pas rester trop longtemps en sous-vêtement devant lui. En deux minutes chrono, j'étais en chemise, dans son lit. J'étais tellement exténué que je ne mis pas longtemps à fermer mes yeux Mais quelques minutes plus tard, avant que je ne tombe dans les bras de morphée, j'entendis la porte de la chambre du caporal-chef s'ouvrir, sans toquement Et je reconnu la voix qui parlait avec Livaï Mon père était la 

Coeur Et Âme. [TERMINEE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant