( je vois bien ce qu'ils veulent ces curieux. )
Et comme je l'avais si bien prédis, ils m'ont posé des questions comme "alors le plan avance ou pas? " ou "ne serais-tu pas en train de tomber dans ton propre jeu? ". Alors je décide de leur répondre pour qu'ils arrêtent de me harceler.Moi: bien sûr que non! Plus je parle avec lui, plus je me rend compte qu'il est complètement fake avec moi, certes il ne laisse rien paraître mais à force d'avoir côtoyé des types dans son genre je reconnais directement le vrai du faux, et je peux vous assurer qu'en sachant ça je ne peux pas me permettre de tomber dans son jeu.
Thomas: quelle joie de savoir ça, parce que je commençais déjà à me faire des idées.
Lydia: attend un peu. Je crois que tu as dis que tu avais déjà côtoyé des types comme Leroy, tu nous expliques? Et shit! Pourquoi je leur ai dis ça? Je suis maintenant obligée de tout leur expliquer or c'est quelque chose que je voulais oublier. Mais bon! Tôt ou tard ils le sauront et le plus tôt serait le mieux.
Christelle: Lyne tu nous écoutes? Me demande-t-elle en faisant de petits gestes avec ses mains en face de mon visage et par la même occasion me sortant de mes pensées.
Moi: hein? Euh... oui oui je... vous écoute.
Lydia: écoute lyne t'es pas obligée de nous répondre maintenant si tu n'en as pas envie. Nous n'allons pas te forcer mais sache que nous serons toujours là pour toi. Ok? Me dit-elle finalement en ayant compris mon embarras.
Jerry: elle a raison. Tu as et auras tout notre soutien. Acquiesce- t-il en me lançant un clin d'oeil.
Moi: merci les amis. Répondis- Je en leur rendant leurs sourires.
Yann: eh lyne Thomas nous a raconté la façon dont tu as remis le prof de français à sa place. Dit-il entre deux fous rires. Ce qui nous entraîna nous aussi dans un fou rire collectif. C'est fou comme ils arrivent à me faire passer de la tristesse à la joie en une fraction de secondes.
Après ce bon moment, nous sommes retournés dans nos classes. Le reste de la journée s'est bien passée, entre les rires avec mes amis, les disputes absurdes entre Jerry et Lydia et les regards entre Leroy et moi. Il est seize heures et je suis en train de rentrer chez moi. Mes parents ne seront pas là donc je serai seule et libre. Pas que quand ils sont là ils me compressent mais juste que ça fait aussi du bien d'être un peu seule.
Je rentre à la maison, direction ma chambre où je pars directement jeter mon corps sur mon lit. Je fais d'abord un tour à la douche, je porte mon pyjama qui est composé d'une mini culotte et d'un haut longue manche , il y a dessinées dessus des licornes, oui vous avez bien entendu, des licornes. J'assume! Je descends mettre la télé et pars dans la cuisine voir ce que je pourrais à faire manger, quelque chose de rapide et de consistant. J'opte pour des pâtes au fromage. En attendant que les pâtes sont au feu je pars me poser devant la télé. Il n'y a rien à suivre alors j'opte pour mon dessin préféré, kaeloo. Franchement quand je suis énervée ou triste il faut juste que je suive ça pour être de bonne humeur. Je retourne à la cuisine terminer de préparer mes pâtes. Au bout de vingt minutes c'est prêt, je me sers et vais m'asseoir sur le canapé avec un jus d'orange. Quand je termine je fais le tour de la maison pour m'assurer que toutes les portes sont fermées à clef. Et soudain on cogne à la porte d'entrée. Bon sang j'espère que c'est une blague, il est déjà plus de vingt- deux heures. Et si c'était un bandit? Je prend la première chose étant dans mon champ de vision pour me défendre, le vase de maman. Je sais que si je l'abîme pour rien elle va me massacrer, mais c'est une question de vie ou de mort là. Je m'approche lentement de la porte et la personne continue de cogner. Je demande qui c'est et là mon coeur rate un battement.
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Tombé Dans Son Propre Jeu
Teen Fictionvous ne vous êtes jamais demandé pourquoi dans les histoires de bad boys la fille tombe toujours et forcément sous le charme du bad boy? Eh bien voici une histoire bel et bien différente de toute autre, dans laquelle c'est le bad boy qui va se faire...