chapitre 7

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(Je fais mes devoirs et après une heure trente d'études acharnées, Je me laisse tomber dans les bras de Morphée pour une bonne nuit réparatrice)

Ce matin est le début de mon week-end. Enfin! Je compte rester au lit mais c'est sans compter sur mon téléphone qui s'est mis à sonner, je décide de répondre pour en finir le plus vite possible.

Moi: allô?

?: Lyne White?  Cette voix...

Moi: euh c'est qui svp?

?: ton pire cauchemar ça je le sais déjà mais je fais comme si de rien n'était.

Moi: pa... pardon mais j... Je ne comprend p... pas.

?: à bientôt petit coeur. Profite de ton lit parce que bientôt tu vas profiter du mien de gré ou de force. Et il raccroche. Je commence à étouffer, Je vois flou, ma vision se trouble et je comprend qu'une immense vague de larmes s'apprête à sortir de mes orbites. Il est revenu et il va encore me faire du mal. Soudain mon téléphone sonne une seconde fois et j'hésite à répondre, j'ai peur que ce soit lui. Et puis shit je décroche.

Moi: a... allô?  Commençais-je d'une petite voix comme celle des personnes qui ont pleuré.

?: lyly ça va? Tu pleures? Je reconnais instantanément sa voix et ce surnom. 

Moi: tho...mas?

?: oui c'est moi. Dis moi tu pleures? Qu'est ce qui se passe? Et puis bref j'arrive, je serai là dans dix minutes. Il raccroche sans même me laisser le temps de répondre. Pendant que Thomas arrive je vais prendre une douche et me préparer, je ne vais quand même pas le recevoir en pyjama. Quoi que! Non rien je vais me préparer.
Je suis en train de m'habiller quand j'entends la porte d'entrée claquer. Eh merde je l'ai laissé ouverte. J'entends crier mon prénom dans toute la maison.

?: LYLY? LYLY OÙ ES-TU? Je déduis que Thomas est là. Mais je ne peux pas descendre en sous-vêtements.

Moi: EN HAUT, PREMIÈRE PORTE À DROITE. Lui criais- je pour qu'il m'entende.

Je m'habille le plus vite et simplement possible pour ne pas qu'il me trouve ainsi. J'entend toquer à ma porte et un sourire s'affiche sur mon visage. Je cours pratiquement pour lui ouvrir, j'ai pas le temps de l'observer que je saute directement à son cou et on tombe à la renverse.

Thomas: oh la doucement princesse. Me dit- il en riant et je le rejoins dans son rire.

Moi: pardon mais c'est juste que je suis contente de te voir Thomas. Lui répondis-je en laissant couler quelques larmes.

On reste comme ça, allongés au sol, l'une sur l'autre pendant cinq minutes. Puis on décide qu'il est temps de se lever. On descend au salon, je lui propose quelque chose à boire en se dirigeant vers la cuisine.

Moi: alors que bois-Tu cher Thom? Lui demandais-je en souriant.

Thomas: un peu d'eau ou de jus d'orange ça ira princesse. Me répondit-il en me rendant mon sourire.

Moi: ça arrive monsieur.

Thomas: très bien.

Je lui apporte son jus d'orange et on se met à papoter quand il me pose LA question.

Tombé Dans Son Propre Jeu Où les histoires vivent. Découvrez maintenant