chapitre 18

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Mes yeux s'ouvrent en grand, je ne savais même pas que c'était possible ça. Que fait-elle ici cette Pétasse?

Moi: TOI?? C'est une blague j'espèreDis-je énervée.

Merveille: ma pauvre chérie elle rit tu me fais pitié, regarde toi enfermée ici. Ça t'apprendra à jouer la maligne avec plus fort que toi.

Moi: quoi? Dis-je outrée. Je vais te...

Je lui saute littéralement au cou, on tombe à la renverse et je me retrouve à califourchon sur elle en train de lui asséner des gifles et des coups de poings. Ça lui apprendra à cette Pétasse. Soudain je me sens soulevée et jetée sur le matelas. Quoi? Lui aussi est ici? En même temps ça ne m'étonne pas, où on trouve la soeur il y a toujours le frère.

Josué: ESPÈCE DE FOLLE C'EST QUOI TON PROBLÈME À AGRESSER MA SOEUR? Me hurlait-il dessus en relevant sa soeur qui avait du sang au front et une lèvre fondue. Wow je ne suis pas allée de main morte mdr.

Moi: quoi? C'est ta soeur la folle, elle aurait pas dû venir me les casser. Me défendis-je.

Merveille: je n'ai fais que te dire la vérité, mais c'est vrai qu'elle blesse.  Dit-elle d'un ton hautain.

Moi: tu veux peut-être que je t'en replace une? Dis-je en m'approchant d'elle dangereusement.

Josué: eh oh ça va stop. Dit-il en s'interposant. Va t'en. Dit-il à l'attention de sa pute de soeur.

Moi: qu'est ce que... commençais-je.

Josué: oh boucle la putain! Ces jours que tu as passé ici t'en fais repartir à l'âge de pierre au point de devenir agressive?

Moi: je m'en fou de tes réflexions, que fais-je ici? Dis-je en regardant ailleurs. Ce qui ne lui plaît pas.

Josué: regarde moi quand tu me parles. Dit-il froidement.

Je le regarde sans rien dire. Il s'approche de moi, instinctivement je recule au point de me coller au mur. Il ne s'arrête pas pour autant et monte sur le matelas. Il se lèche les lèvres malicieusement et me tire par la cheville, ce qui fait que je me retrouve allongée sous lui. Il caresse chaque parcelle de mon visage et approche le sien près du mien pour m'embrasser mais je tourne la tête à temps.

Josué: joue pas à ça avec moi, on va finir ce qu'on a commencé la dernière fois quand ton pote est venu nous interrompre.

Moi: non... non je ne veux pas de toi sale pourriture. Lui crachais-je au visage.

Il s'énerve et commence à me frapper de toutes ses forces, par intuition je me protège le visage pendant qu'il me tabasse en criant n'importe quoi.

Tombé Dans Son Propre Jeu Où les histoires vivent. Découvrez maintenant