Serard LEMON

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Sergio Ramos


J'arrive dans ma chambre d'hôtel. Quand je vois mon petit ami, en boxer, allongé, les bras croisés derrière la tête, bien réveillé, je souris. Il se lève et viens glisser ses mains sous ma veste, frôlant mon torse à travers mon t-shirt.

Gerard : Encore un but de la tête, hein ? Ta grande spécialité.


Il embrasse ma mâchoire et je me rapproche de son corps. Il fait une chaleur à crever dans les rues espagnols, mais je sais qu'une autre chaleur va prendre possession de cette pièce. Sa langue glisse le long de ma carotide et je lâche un gémissement. Il ricane, conscient que c'est l'un de mes points sensibles. Ses mains glissent sur mes épaules et fait tomber ma veste sur le sol. Elles descendent et passent sous mon t-shirt. Mon souffle s'accélère. Je ne suis pas surpris de ce qu'il se passe. Après chaque match que je fais sans lui, il s'occupe de moi de cette façon, pour me féliciter. Enfin, seulement en cas de victoire. Si on perd ou fait match nul, il peut même pas me toucher. Je suis pire que Trapp, pour ça. Il colle nos bassins ensemble et je peux sentir son érection. A croire que me voir courir derrière un ballon l'excite. Il me retire mon t-shirt, ses lèvres quittant ma peau. Je grogne et il ricane à nouveau. Il attrape mes hanches et m'embrasse amoureusement avant de me faire tomber dans le lit. Il reste debout, devant moi. Son regard plonge dans le mien et il attrape une télécommande au pied du lit. Il lance un musique et commence à se déhancher. Je sens mon membre devenir dur et douloureux. Il m'allume, clairement. Son regard n'a pas quitté le mien et je vois le désir dans ses prunelles. Je laisse ma main glisser le long de mon torse avant de la glisser sous mon short. Il saute sur le lit et vient m'embrasser sauvagement, m'interdisant de me toucher en attrapant mon poignet. 

Gerard : Tu  jouiras quand je l'aurais décidé, mon chat.

Sergio : Baby...

Gerard : Tu tu tu ! Plus tu parles, plus tu attends, chéri. T'avais qu'à pas te défringuer avant de prendre ton très cher Luka dans tes bras.


Je donne un coup de rein, mais il se relève pour que ça soit dans le vide. J'halète et il vient m'embrasser, sa main se glissant sur mon membre à travers le tissu. Il frotte, doucement, me faisant languir.

Sergio : Geri, j't'en pries...


Il vient m'embrasser et me retire mon short et mon boxer. Il retire le sien, sans faire se quitter nos lèvres. Quand il se rapproche enfin de mon corps, nos sexes se frottent et je gémis dans sa bouche. Je passe mes jambes autour de sa taille et le colle à moi. Pour m'allumer un peu plus, il roule des hanches. Quand on se sépare, ma respiration est dans un état critique.

Gerard : Tu sais que je déteste Luka, pas vrai ?

Sergio : Tu sais qu'il se tape Marcelo, pas vrai ?

Gerard : M'en fout. J'suis jaloux, tu te souviens ?


Je fronce les sourcils alors que sa main vient d'empoigner mon membre turgescent. Il fait des mouvements rapide pour me branler. Je comprends ce dont il parlait quand il s'enfonce en moi, d'une seule poussée sans me préparer. Je crie de douleur et il vient m'embrasser. Contracté, je n'arrive pas à me détendre. Sa langue glisse sur ma joue puis sous mon oreille et je commence à me décontracté. L'enfoiré ! Il m'a détruit. Ses coups de reins commencent, brutaux. Ils touchent, systématiquement, ma prostate et le plaisir ne tarde pas à m'envahir. Je grogne, gémis et hurle de plaisir alors qu'il s'acharne sur cette boule de nerf. Je ne tarde pas à jouir en hurlant son prénom et il me suit, rapidement, grognant mon prénom.

Gerard : Je t'aime.

Sergio : Moi aussi.


Il se retire de moi et s'écroule à mes côtés pour me prendre dans ses bras. Il m'a détruit le bas du dos. Demain, j'vais pas réussir à m'asseoir, je crois. Mais je l'aime, et je sais que c'est réciproque alors ça va.

OS [Footballeurs] 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant