Toni Kroos x OFC

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Cet OS est pour la merveilleuse PerfectionKroos8


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Justine Kroos


Et comme à chaque fois que je rentre alors que Toni a invité ses potes pour une soirée, c'est la débandade. Déjà quand c'est avec les gars de la Mannschaft, c'est pas triste, mais alors quand c'est avec les gars du Real, c'est encore pire. Et là, Yvana et moi échangeons un regard. Nos maris, complètement déchiré par l'alcool rigolent pour rien. Ou pour le spectacle que nous offrent Modric et Marcelo. Le croate est limite en train de se frotter au brésilien. Varane est le seul manquant et je peux, sans mal, imaginer qu'il s'est barré dans une chambre avec Corentin. Yvana souffle et frappe violemment le crâne de Sergio qui grogne. Mon mari relève la tête et sourit avant de se lever et de venir m'embrasser.

Yvana : Allez, débile ! Je te ramène à la maison ! 


Le capitaine madrilène grogne et marmonne des trucs incompréhensible, ce qui fait rire Toni. Je tire sur son bras pour le faire monter. Les autres partiront petit à petit. Je me demande pourquoi j'ai surnommé mon mari : Perfection Kroos. Quand il est avec ses potes, il fait n'importe quoi ! Quand on arrive dans la chambre, il me pousse sur le lit et je souffle. Quand il commence à se déhancher sur la musique qui résonne d'en bas, je comprends où il veut en venir. Lentement, il retire son haut, faisant son show. Mon regard tombe sur son torse musclé alors que je vois ses mains arriver au niveau de sa ceinture. Il la retire et la lance dans un coin de la chambre. Le bruit métallique qu'elle émet me fait souffler, mais il s'attaque déjà à son jean et je ne peux m'empêcher de suivre ses mouvements des yeux. Il se déhanche sensuellement et, bientôt, tous ses vêtements sont éparpillés sur le sol. Je me lève et m'approche de lui pour l'embrasser. Il sourit contre mes lèvres, visiblement fier d'avoir obtenu ce qu'il voulait.


Le lendemain


J'entre dans le salon et soupire. C'est un terrain totalement impraticable. La plupart des gars dorment pèle mêle sur le sol. Seul gagnant du canapé : Isco. Je souris. Je ne sais pas comment il s'en sort, mais c'est toujours celui qui gagne le canapé. Et celui qui a le moins la tête de bois au réveil. Je me dirige vers la cuisine et commence à me préparer mon café. Quand je me tourne, l'espagnol du canapé vient d'entrer.

Justine : Salut, Suarez !


Je le vois grimacer. Son nom de famille ne semble pas être un sujet très bon chez lui. Sans doute parce que l'un de ses adversaires réguliers portent le même.

Isco : Je préfère encore quand c'est Yvana qui m'appelle "Francisco", comme une sale mioche ! Sinon... la chemise de Toni te fait la robe parfaite.


Je baisse les yeux sur le vêtement que j'ai enfilé en me levant. La porte s'ouvre et Yvana et Sergio sont précédés par une bonne odeur de viennoiseries. J'entends Toni, Raphaël et Corentin dévaler les escaliers, comme à chaque fois. Ils savent qu'Yvana ramène toujours le petit déjeuner les lendemains de soirée du Real. Et probablement aussi de l'Espagne. Donc ils en profitent. Mon mari passe ses bras autour de ma taille et m'embrasse rapidement.

Toni : Perfection Kroos, t'es sûr que c'est moi ? Parce que même dans une chemise deux fois trop grande pour toi, t'es magnifique.


Yvana et Corentin font semblant de vomir alors que Sergio vient de piocher dans le sachet. Toni leur fait un fuck et s'installe pour petit déjeuner aussi. Peu à peu les gars se lèvent. Et deviner qui va devoir se taper le ménage aujourd'hui ? Justine Kroos.

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