OS [Footballeurs] 2

Toni Kroos x OFC

Cette OS est pour la merveilleuse KroozilPerfect108 j'espère qu'il te plaira, poulette 😘😘 

Toni Kroos

Justine s'impatiente sur son siège alors qu'elle n'a aucune idée de l'endroit où je l'emmène passer une semaine. Sa destination de rêve : New York. J'aurais pu l'emmener n'importe où, là où il y a du soleil, mais elle rêve de New York. Mesut s'est bien foutu de ma gueule quand je lui en ai parlé. Il riait nettement moins quand il a cédé à sa gonzesse qui rêvait d'aller en Pologne et qu'il a prévu un voyage là-bas. Moi, par contre, j'étais bien en train de rire à ce moment là. Mesut qui emmène sa femme en Pologne, faut avouer que je ne m'y attendais pas.

Justine : Rassure moi... Ca envoie plus de rêve que le voyage d'Yvana !

Toni : Eh ! Yvana, elle l'a demandé son voyage en Pologne. Et ouais : notre destination envoie plus de rêve que Varsovie.

Elle soupire alors que le pilote de mon jet nous invite à nous asseoir et nous attacher à cause de l'atterrissage imminent. Justine s'assoit et s'accroche alors que j'aide ma fille à faire de même. Leon se débrouille comme un chef alors que je m'installe à ma place. New-York : la famille Perfection Kroos arrive !

* * *

Justine regarde tout autour d'elle, émerveillée. Mes enfants font la même chose et j'avoue être impressionné aussi. Des mains se posent sur mes yeux et je grogne. C'est vraiment débile comme blague.

??? : Moi aussi, je suis ravie de te voir, Saint aimable !

Je me retourne et mon frère se tient devant moi, souriant. Oh merde ! Qu'est-ce qu'il fait là, lui ?

Felix : Les enfants, je vous emmène manger les meilleurs glaces de New York ?

Je lui lance un regard et il pose ses yeux, brièvement, sur Justine. 

Felix : Vous êtes en vacances. Profitez en pour faire un nouveau Mini-Kroos, OK ? Moi, je m'occupe des deux premiers en attendant.

Il entraîne mes enfants et Justine sourit en secouant la tête. Félix est un vrai numéro, sérieusement. Mais, d'un autre côté, il n'a pas tout à fait tort : il faut que je profites de ma femme le temps de ce voyage.

* * *

Justine pose son sac dans un coin alors que je m'écrase dans le lit de la chambre parentale de la suite que j'ai réservé pour la semaine. Quand elle s'approche, je me redresse. Elle se penche pour m'embrasser, mais je la fais s'asseoir sur mes genoux. Mes mains sur ses hanches, j'approfondis rapidement le baiser. Mes mains se posent sur mes cuisses et je la fait basculer sous mon corps. Allongé au dessus d'elle, je me sépare de ses lèvres pour respirer. Ses doigts passent dans mes cheveux alors que ma tête glisse dans son cou, et mes mains sous son haut. Je mordille la peau de son cou pour y laisser quelques traces. Je me redresse rapidement et nous retirons nos vêtements dans la précipitation, gardant simplement nos sous-vêtements. Je l'embrasse puis descends dans son cou. Elle met la tête sur le côté, me laissant plus d'accès. Je lèche sa carotide et mord sa clavicule avant de lui laisser une nouvelle trace violette alors que les mains de ma femme fourragent mes cheveux. Elle soulève son dos et je retire son soutien gorge d'une main experte avant de la repousser sur le lit pour aller lécher, mordiller et sucer ses tétons.

Justine: Bébé...

Sa respiration est saccadée. Mes mains glissent sur son corps en même temps que ma langue glisse sur ses seins. L'une de mes mains atteint sa culotte et décide d'en franchir la barrière. Quand ma main entre en contact avec son sexe, elle rejette la tête en arrière. Je joue avec mes doigts, sa cyprine les mouillants. Elle lâche de faible gémissements. Quand j'entre un doigt en elle, elle grogne. Je fais entrer un autre doigt et commence à faire des vas et viens. Quand un troisième doigt entre, elle soupire de plaisir. Je souris et fais des vas et viens rapide. Ma langue abandonne ses seins pour rejoindre son intimité. Je fais, doucement, descendre la culotte et lui écarte les cuisses. Je remonte et l'embrasse alors que je guide mon sexe en elle. Sa bouche s'ouvre et j'entre ma langue à l'intérieur. Je commence mes coups de bassin, langoureusement. Peu à peu, j'accélère le rythme, le plaisir nous guidant. Quand elle jouie, sa vision me fait venir aussi. Je me retire, bientôt, d'elle et me laisse tomber à ses côtés.

Justine : On remerciera ton frère et ses excellentes idées.

Je lâche un petit rire. C'est vrai : je vais pouvoir remercier Félix de s'être occupé de mes enfants pendant que je passais un moment seul et tranquille avec ma merveilleuse femme. Elle roule sur le côté pour se coller à moi et poser sa tête sur mon épaule alors que mes doigts font des arabesques dans son dos. J'ai la femme la plus parfaite du monde.