Chapitre 7.1

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    Debout dans l'espace réservé à Luz j'observe ce dernier tourner en rond.
Depuis que je lui ai annoncé ce que j'ai entendu il semble prit dans un engrenage de réflexion que je ne lui connaissait pas.

Je prends les devants et fait appel au deux tueurs que Luz garde le plus souvent à ses côtés. Ceux ci ne mettent pas longtemps à paraître. Je leurs ordonnent de se mette dans la salle voisine pour ne pas nous déranger. Une fois fait je me réoriente vers Luz.

_Luz je me trompe ou il y a un détails que tu ne me partages pas, je suis ton bras droit j'ai besoin d'information pour satisfaire tes exigences n'est ce pas? Je soupçonne en le voyant creuser presque la moquette à force de marcher.

Son visage d'ordinaire inexpressif, tel que mon oncle, paraît fissuré. Il est certain que cette affaire n'est pas si simple que ça. Mais quel moyen un humain aurait-il pour rendre le futur souverains des enfers aussi pensif? Toutes les personnes auquel Luz voue une quelconque affection sont immortel. Ne parlant pas de sa soeur elle ruinerait à elle seule la moitié de la terre en un claquement de doigt. Suivit de notre beau frère qui n'a plus aucune limite lorsqu'il s'agit d'Artemis.Quand à ma tante ses dons nouvellement acquis lui procure une immortalité et une étendue de puissance nom mesurable. Sans compter que mon oncle anéantirait à la minute près le fou qui tenterai ne serait-ce un regard sur elle. Quand à mes parents ces derniers sont invulnérable.

J'ai beau me questionner sous toute les coutures mais je ne trouve aucun moyen susceptibles d'atteindre Luz.
Au bout de cette longue réflexion il finit par déclarer.

_Lors d'une descentes pour une âme damnés j'ai fait la rencontre d'un humain. Ou plutôt la fille de l'humain qui à été rongé par cette âme. Elle avait six ans. Et je l'ai épargnée. Et l'ai emporté au pallier d'une maison.

Je reste abasourdie par cette révélation. Luz n'épargne personne. Ce n'est pas de son ressort enfant,femme ou autre peu importe.

_Avant d'avoir eu cette âme j'ai eu une discussion avec ma mère. Je lui ai donné ma parole que je ne tuerai plus d'enfant.

Je reste incapable de toute diction en assimilant l'information. Il est vrai qu'il lui est impossible de nuire au bien-être de sa mère. Aussi ferait-il n'importe quoi pour le bonheur de sa mère. Mais il manque un détail pourquoi s'inquièter pour cette enfant qui à sûrement grandit.

_Lorsque nous avons fait la descente au Couvent je l'ai retrouvé. Une des âmes l'a prise en otage, je l'ai épargnée à nouveau et je ne lui ai pas effacé la mémoire.

Je vais de surprise en surprise en écoutant ses révélations.

_Quand à mon retard d'aujourd'hui il est bien possible qu'elle soit en partie responsable. Assure-t-il visiblement irrité par ses propres propos.

_Pourquoi ne pas la laisser à son sort? Ce n'est plus une enfant. Je plaide.

Je n'ai pas le temps de réagir que déjà que je me retrouve projeter au travers de quatre salle privée. Créant la panique et l'émeute dans la boîte. Je suis maintenant convaincu que mon hypothèse est juste.

Cette humaine n'a pas été seulement épargné. Elle détient aussi l'entière protection de Luz. Même si ce dernier ne voudra aucunement le stipuler.

Les deux tueur m'ayant vu traverser les deux pièces avancèrent jusqu'à moi me redressant de suite.

Je les remercie et propose à Luz de nous engager sur la recherche de cette jeune femme lorsqu'il ajoute.

_Ce n'est pas Sergio qui l'a prise par initiative. Lorsque je suis partie vérifier si elle était saine et sauve au couvent. Il y avait un message.

Je fronce à nouveau des sourcils interloqué lorsqu'il complète ses dires.

_"Je ne retournerai pas en Enfer". Cita-t-il.

_Hors personne à part moi ne connaissait l'identité de cette personne. Sauf le chasseurs qui à exécuté l'âme damné ce jour là. Rajoute-t-il.

Je déchante en faisant les gros yeux.  La toute première âme que Luz à libérer pour accomplir les tâches d'élimination s'est évaporé avec une autre âme.
C'est précisément pour cela que Luz traque d'arrache pied les âmes damnés.
L'ironie dans tout ça c'est que cet âme était la plus grande figure emblématique de la Mafia du monde des humains.

Le silence est de mise lorsqu'il hèle les deux chasseuses.

_Séraphine ! Mérida !

Les deux apparaissent aussi rapidement. Vêtu en tant qu'humaine elles s'inclinent face à Luz et déclarent.

_Prince Luz c'est un honneur de vous assister. Que pourrions nous faire pour vous satisfaire?

J'observe Luz qui défait l'écharpe noir autour de son cou en le leur tendant. L'une d'elle s'en saisit promptement avant de déclarer.

_Grande, pulpeuse, Pourpre Auburn,peau clair, Grande beauté, parfum de cerise. Elle se trouve au quartier opposé dans une station thermale désaffecté. Dans une salle aménagé comme une cellule. Elle est en vie.  Quels sont vos ordres ?

_ Prenez avec vous Basile Hannibal et Jack. Éliminer chacun des humains présent dans cette station sous les ordres. Pourchasser les jusqu'au dernier tuer leurs familles quant aux enfants vous leurs effaceraient la mémoire et les mettraient à un orphelinat. Remonter jusqu'au contact de leur Patron n'hésitez pas à éliminer n'importe quel obstacle.  Et Laissez moi Sergio et Capone.

Les deux sorcières chasseuses disparaissent en emportant les deux tueurs  à leurs suites. Je n'attends pas ses directives et ramène tout en ordre en direction du lieu donné par les chasseuses.

Même si Luz est de loin le plus cruel face à l'humain, il n'en reste pas moins que l'Homme est à l'origine des maux de la terre. Et le fondateur même de leur propre malheur.

 
Luz  et moi même arrivons à bon port. La station thermale abandonné possède encore des bains remplis. Les clapotis de l'eau partent en écho à chacun de nos pas. Nous croisons plusieurs cadavre aux sols. Certains baignes dans les bas leurs viscère flottant ça et là.

Je les compte un à un curieux des différences entre chacun des cadavres.

Certains sont simplement mort et bleuit comme empoisonné. D'autre sont clairement éventré. Une autre dizaine est étalé sur le sol la cage thoracique ouverte le coeur visiblement manquant.  Et une autre semble avoir été torturé avec un degrés de perversité qui m'assure que ça ne peut être que l'oeuvre d'une des chasseuses.

Je me fonds dans l'ombre de Luz qui laisse sur son passage une aura que je n'avais jamais encore vue. Le sol se fissure petit à petit et les particules de l'atmosphère s'alourdissent. Je ressens le froid et les plantes qui arboraient une teinte verte se figent et se vident de leurs essences vitale pour s'accumuler sur les ailes de Luz. Chaque plume en amasse individuellement.

Les cadavres noyés dans leur sang s'effritent petit à petit avant de rester figés et gelés.

  

Luz 🔱Où les histoires vivent. Découvrez maintenant